Le blog de chercheur d'histoires

Lu dans la presse nationale cette semaine

" L'Hôtel DROUOT : symbole de l'effondrement du marché de l'art français :

dans un marché déclinant, la descente aux enfers de Drouot qui devient un simple vide-greniers  etc. "

Heureusement que nous avons l'Hôtel de Ville de Pont-Aven pour remonter le niveau.

Nos élus n'ont pas de soucis à se faire, , en fin de mandat, ils trouveront certainement un emploi dans l'antique institution nationale.

Les cols rouges savoyards remplacés par des cols bleus bretons, on n'avait pas vu un tel chamboulement à Drouot depuis la révolution française.
Vive Pont-Aven et ses élus.( c'est du Botrel ) 

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Ce n'est pas fini

Ce n'est pas fini, on en parle encore dans le bourg et ça risque de durer longtemps.

Je parle du tableau bien sûr, comme tout le monde ici, et on en apprend un peu plus chaque jour.
Je résume : proposé à 40 000 € par le propriétaire, acheté par la commune à 25 000 €, cette œuvre a été acquise en 2008 en salle des ventes aux Etats-Unis pour la somme de 4 800 €.

C'est du joli

Comme l'a dit Mme le maire lors du dernier conseil municipal, ce (devenu célèbre tableau)

sera le clou de la prochaine exposition du musée consacrée aux

" 25 ans d'acquisitions de l'établissement "  

Il sera certainement accroché au clou, tout neuf, de la honte de la municipalité.

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Sur France Info cette semaine

GAUGUIN est une nouvelle fois à l'honneur à l'occasion de la Grande Exposition qui lui est consacrée à la TATE BRITAIN de Londres. L'événement a été présenté par le Commissaire de l'Exposition sur France Info cette semaine.

Si vous y allez, vous aurez le plaisir à en croire le présentateur, de voir ou de revoir les célèbres bigoudennes que le Maître a peint à Pont-Aven entre 1886 et 1889.

Cette exposition prend de la hauteur sur toutes les précédantes, vous ne trouvez pas ?

Il fallait y penser.

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Exposition :

L'exposition consacrée aux années 1920-1930 ouvre ses portes ce samedi après midi

dans la salle Gauguin à l'Hôtel de Ville.

Depuis au moins 1945, des salles de ce mythique Hôtel JULIA, aménagées à cet effet, étaient réservées aux habitants pour y organiser et présenter au public leurs projets culturels. 

Jusqu'ici, cet hôtel était non seulement MAIRIE, mais également salle des fêtes et centre culturel des associations locales.

Un demi siècle d'histoire qui vient d'être balayée comme un malpropre par la municipalité. Les habitants seront bientôt expulsés des lieux.

Je propose à tous ceux qui y sont attachés de me rejoindre pour écrire cette histoire.

Cette exposition est donc à classer comme l'une des dernières organisées par des habitants en ce lieu. 

J'y participe à ma manière en présentant un ensemble de documents " dans l'esprit du Pays des années 1920 -1930 " : tableaux de peintres oubliés, vieux papiers, photographies etc.  + de rares curiosités sur le mouvement breton AR SEIZ BREUR .

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Pont-Aven.com

Pont-Aven, la rayonnante mérite mieux tout de même qu'un ".com ", ou même qu'un ".fr ",

ou même qu'un ".gouv "

Je propose de créer le suffixe  " .cul't "

Je prend l'exemple de la mairie. 

son adresse mail serait : " biseau.cul't "

Prenez l'exemple d'un habitant lambda :

son adresse serait par exemple " rivet-biseau.cul't "

ça aurait de la gueule non ? certainement de quoi redorer son image culturelle qui commence dangereusement depuis quelques décennies à se ternir.

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ça tourne à Pont-Aven

Les producteurs de films se bousculent dans le bourg depuis quelques mois ? Voilà au moins quelque chose qui tourne dans le pays.

Au train ou vont les choses, Hollywood ne sera bientôt plus qu'un lointain souvenir.

J'imagine déjà la colline de Saint Guénolé affublée en grosse lettre du titre culte :

" LA  METTE-TROP  GAUGU'IN  MEILLEURE "

" Actions ... "

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La causette de la semaine

La causette de la semaine à Pont-Aven. Pour une fois la pluie et le beau temps

ne sont pas au top des conversations.

Tous le monde ne parle que de l'achat par la commune du tableau de JOLLY intitulé :

"les goémoniers"

A 25 000€ ce n'est pas du goémon qu'ils ont acheté mais des algues vertes

barbouillées de jaune pour imiter le style Gauguin.

Cette affaire en rappelle une autre. L'achat il y a quelques années par la commune d'un tableau de  Paul Sérusier représentant des cochons. Avant le vote, l'un des élus de Nizon n'ayant pas vu l'œuvre, demandait au maire combien de cochons figuraient sur les tableau, faisant observer au conseil municipal qu'au prix de l'achat: "ça faisait cher du cochon".

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Encore un petit mot gentil

Encore un petit mot gentil sur les propos de Mme le Maire lors du dernier conseil municipal : 

" le musée rayonne sur le pays " 

C'est très vrai au point d'en aveugler les élus, mais pas plus que la kyrielle de musées

qui rayonnent massivement sur la planete entière.

Je parle de ces musées, aux intentions purement touristiques, qui poussent comme des champignons dans tous les lieux dits culturels.

Ces rayonnements ne seraient-ils pas l'une des grandes causes du réchauffement climatique ?

 Si ce n'est pas ça, et pour reprendre l'exemple de Pont-Aven, son musée rayonne surtout sur les loyers des galeries de la ville, agglutinées comme des berniques autour de l'édifice. 

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Le GRAND PARDON !

Le Grand Pardon de Pont-Aven restera dans la mémoire locale comme le plus important des siècles passés de toute la région. Il attirait, au XIXe siècle, les populations avoisinantes d'un vaste secteur englobant Quimperlé, Scaër et Concarneau.

Ce pardon et ses milliers de participants, fut décrit de nombreuses fois par des écrivains ou des voyageurs tout au long de ce Siècle.

BOTREL va égratigner cette fête en créant en 1905 son théâtral pardon folklorique pour touristes. Mais c'était du théâtre de rue. Rien a voir avec un traditionnel pardon, celui défini par quelques érudits en la matière : Un événement permettant aux participants de s'oublier dans la fête. (oublier les dures conditions de la vie) 

Aujourd'hui, de tous les pardons du Finistère, je ne pourrais même plus dire que celui de Pont-Aven est le plus minable de tous, non ce n'est même plus cela : c'est pire, il n'existe plus. Seule la presse le mentionne encore avec au programme un très banal concours de boules.

Heureusement que celui de Nizon est encore là pour nous rappeler le bon vieux temps.

Une époque où, à Pont-Aven, les habitants : de talentueux organisateurs d'irrésistibles fêtes,  savaient faire la fête.

Une époque où le Grand pardon de Pont-Aven rayonnait sur toute la région, comme le furent plus tard; les célèbres hôtesses telle Julia GUILLOU.

Le rayonnement de Pont-Aven, il n'existe plus que dans les livres, et ...

j'en remets une couche :

... dans la propagante touristique mensongère comme vous le savez..

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J'allais l'oublier

Je ne vous l'ai pas dit, mais  lors de ce dernier conseil municipal Mme le maire s'en est prise verbalement et très violemment à ma personne. La scène m'en a rappelé une autre du même gabarit concernant le précédent maire, embourbé dans ses gros mensonges concernant la vente de l'ancienne usine Sea-Deal et ses 6 ha admirablement situés à l'entrée de la ville, (il avait solennellement déclaré dans la presse qu'il n'avait pas été informé de cette extraordinaire opportunité pour la commune : 6ha pour 60 000 frs). Au cours d une inoubliable réunion du conseil, l'opposition apporta la preuve irréfutable qu'il avait scandaleusement menti à la population. Il faut tout de même le dire, les loueurs de galeries du centre ville avaient tout intérêt à ce que cette opération ne se réalise pas. Leurs seuls d'ailleurs sur la commune; qui pourrait me contredire ?

L'accusé explosa dans une brutale crise de nerfs, déclarant hors de lui, que ça suffisait et qu'il ne voulait plus entendre parler de cette l'affaire : définitivement close.

Cette fois c'est la prononciation d'un seul mot par un élu : Rustéphan, qui provoqua la brutale crise de nerfs à mon égard superbement interprété à la manière du précédent maire.. Et oui, voilà une façon bien facile mais des plus hypocrites de ne pas répondre à des questions très embarrassantes pour le questionné, piégé dans ses contradictions et mensonges.

Je l'avoue ici, c'était pour moi le but recherché. Maintenant, fini la diversion, il serait peut-être temps que le conseil municipal tout entier s'intéresse sérieusement à la dangerosité et à l'avenir des ruines de Rustéphan. N'aurait-il plus la moindre autorité face aux délires de Mme le maire ?

A suivre j'espère rapidement. Ma proposition, rejetée catégoriquement par Mme le maire, d'organiser une réunion publique sur le sujet et d'y participer activement tient toujours. 

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