L'opposition municipale en plein délire (page n° 2)

Publié le par chercheur d'histoires

L'opposition municipale en plein délire (page n° 2)

Le presbytère de Nizon : suite

Je ne vais pas me mêler sans raison d'une affaire juridique que je ne connais pas.

Cependant, je sais qu'un notaire a été chargé de vendre cet édifice.

Jemenfouristes : pour ne pas continuer à vous ridiculiser, laissez le accomplir son travail. S'il y avait un problème juridique dans cette affaire - ce que je ne crois pas - il saurait le résoudre sûrement mieux que vous.

Toutefois, je profite de cet incident politique pour faire une petite déclaration opportune :   

Les membres de la municipalité qui souhaiteraient sincèrement mettre de l'ordre dans les ténébreuses opérations foncières sur la commune, auraient bien d'autres choses de plus intéressantes à se mettre sous la dent dans l'intérêt général de la commune et de ses habitants.

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Je pense bien entendu en premier lieu aux ruines de Rustéphan. 

J'ai déjà : ici ou ailleurs, tout dit de ce qui pouvait être raconté sur ce lieu, mais je sais qu'à Pont-Aven, pour se faire entendre, il faut rabâcher sans arrêt les mêmes choses.

Il s'est passé 17 ans durant les règnes de Rivet puis Biseau, pour que la précédente municipalité reconnaisse enfin le bien fondé de mes dires sur la situation juridique de ces ruines.

Une partie du problème est réglée : ces ruines appartiennent dorénavant à la commune.

Pour autant il reste à proximité de ce tas de cailloux (comme le pense un bon nombre d'incultes crétins du coin) une portion de terre de 3200 m2, en état de "bien sans maître"  en raison d'une entente "cordiale" restée secrète, entre dame la soutane, aujourd'hui défroquée, et des voisins de cette portion de terrain particulièrement gloutons de morceaux de biens abandonnées.

Les élustucrus de cette époque se sont laissés berner comme des bleus sur cette affaire. (comme d'ailleurs sur bien d'autres)

Régler définitivement le problème juridique de Rustéphan qui perdure depuis deux siècles : Voilà une bonne action patrimoniale à entreprendre s'il y avait à Pont-Aven, une opposition municipale (ou une association patrimoniale) soucieuse de l'intérêt général de la commune et de ses habitants.

Cela est d'autant plus d'actualité que ces ruines : classées au patrimoine des Monuments Historiques, présentent une gravissime dangerosité publique contre laquelle : "grande dame la soutane" avait pris un Arrêté contre une mise "en péril imminent", envers les propriétaires des lieux.

Un arrêté municipal contre ...  la commune !

En cas de survenance d'accident corporel en ce lieu, la responsabilité de l'actuel maire serait immense; et celle des pontavénounours, financièrement tout aussi immense.

J.M. : Où es-tu ?, que fais-tu ?, m'entends-tu ? nom de dieu !

Jemenfouristes de tout poil, à quoi servez-vous bon Dieu ?

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- Durant chaque génération qui passe, ce sont des portions de venelles communales qui disparaissent sans raison juridique du patrimoine commun à tous les habitants.

- Ce fut au XIXe siècle, des portions du domaine public maritime sur le port qui furent usurpées.

(des biens  qui en Droit Français, restent inaliénables et imprescriptibles)

- Tout récemment, c'est le fonds de tableaux de peinture et le fonds de documentation de l'ancien musée de la commune "bien de chez nous" qui ont changés de propriétaire de façon pas très catholique, sans le moindre accord des habitants et contrairement aux affirmations officielles et répétées de Madame Biseau.

Conclusions :

- J.M. : où es-tu ?, que fais-tu ?, m'entends-tu vieux têtu ?, dans la soupe de qui

manges-tu ?, dans celle de qui postillonnes-tu ?

- Jemenfouristes de tout poil, où être-vous ?, que faites-vous ? dans la soupe de qui vous régalez-vous ?, dans celle de qui crachez-vous ?

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