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Je ne peux pas

Publié le par chercheur d'histoires

Je ne peux pas

Non, je ne peux pas vous raconter toutes les infamies qui circulent à Pont-Aven.
Il y a un individu en particulier, qui après avoir regardé l'émission sur FR3 l'autre jour, déclare à tous ceux qui veulent bien l'écouter que ce qu'il a vu entre les mains de la restauratrice des archives du musée, ne sont pas des œuvres d'un fonds de musée mais d'un fond de musette d'un fouineur de poubelles.

Ne comptez pas sur moi pour vous rapporter des propos aussi ignominieux.

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Le pire est que je suis de l'avis de cet individu, et qu'un doute m'habite sur la sincérité 

d'une l'émission qui tendait manifestement à discréditer la précédente équipe du musée.

Et c'est bien en ce sens qu'il y a du scandale dans l'air.

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Entendu à la TV

Publié le par chercheur d'histoires

Entendu à la TV

Connaissez-vous la toute dernière description du centre ville de

Porc’t-Aven ? Je l'ai entendu sur FR3.

" Il y a 15 galeries, 65 ateliers de peinture, 200 artistes " …

 … et 1 char à bancs.

C'est une belle description typiquement rurale de la ville, vous ne trouvez pas ?

On se croirait dans une ferme de  Nizon en inventaire :

J’ai 15 vaches, 65 cochons, 200 poulets … mais pas de char à bancs.

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Interlude : j'ai mangé un morceau de chocolat

Publié le par chercheur d'histoires

Interlude : j'ai mangé un morceau de chocolat ...

 Philippe G. me fait un petit caca nerveux tous les jours. J'ai sélectionné l'une de ses crottes. Je vous livre cette sélection sur ce plateau, et la commenterai après. 

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J'ai fait un test intéressant aujourd'hui: j'ai mangé un morceau de chocolat noir en buvant une petite gorgée de bourbon. Essayez, c'est délicieux

------------------------------------- Philippe, un garçon sympa finalement -----------------

Il n'y a rien à redire mais je me pose tout de même deux questions fondamentales :

1° : Philippe a-t-il bien fait son ROT après ces appétissantes agapes ?

et, 2° :  Où a-t-il donc acheté son chocolat ?

J'ai des craintes à ce sujet car la plupart des commerçants de Pont-Aven se plaignent de ne plus compter parmi leur clientèle, que très exceptionnellement, les grosses bêtes pensantes (en chocolat) de la commune : élus et amis du musée compris.

J'ai mangé moi aussi du chocolat, mais acheté dans l'une des excellentes chocolateries

de la cité. En ce qui concerne le bourbon, je n'ai pas les moyens d'un haut fonctionnaire en retraite pour me le payer. Ce n'est pas grave, je n'aime pas ça et de toute façon, en matière d'alcool, je crois que je préfère la quantité à la qualité.

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aïe!, aïe!, aïe!

Publié le par chercheur d'histoires

aïe!, aïe!, aïe!

Un jour, Pont-Aven n'est que soleil radieux, et déjà le lendemain c'est le déluge.

On s'en fout, le principal n'est-il pas que l'on parle du pays dans les médias ?

L'émission de TV de l'autre jour : c'est déjà oublié. Dès le matin suivant, la UNE des journaux faisait la part belle à l'état de délabrement extrême de la caserne des pompiers. A rendre jalouse votre passoire. C'est à la nage que les secouristes devront bientôt rejoindre leurs engins de secours.

C'est peut-être un détail pour vous - là-là là - mais comment financer la construction

d'une nouvelle caserne en ce moment ?

J'ai une idée, mais vraiment une seule. Faire parler notre Inspecteur du Trésor Public pour qu'il nous dévoile la combinaison du coffre fort de son établissement.

Et vous ?

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Nouveau sur ce blog

Publié le par chercheur d'histoires

Nouveau sur ce blog :

Il a reçu des commentaires transmis sous le pseudonyme "berthelom",

puis  rapidement après un autre signé pg (Paul Gauguin ou Philippe G. ?)

sic :  

"Tiens; le CH s'autocommente maintenant ! Je me demande si , comme le dit un vieil adage, on peut être à la fois au four et au moulin ?"

Je n'ai rien à ajouter

-------------------------------------- voir l'article du jour ci-dessous ---



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Interlude-hic !

Publié le par chercheur d'histoires

Interlude-hic !

Débordé par les événements, je ne suis pas en mesure de répondre aux innombrables messages, plus ou moins compréhensibles, que je reçois actuellement. J'en ai fait une compression, et je vous livre ici l'impression que j'ai retenue de cette "pression de C." qui encombre ma boite à lettres. 

Il y une certaine "moitié de clé à molette" qui me joue du Botrel, "j'aime Pont-Aven, j'aime son musée ..."

Il y a un ancien inspecteur du Trésor Public, qui me fait du cocorico tous les jours, et qui, à trop fréquenter la peinture, se mélange les pinceaux dans ses calculs sur le coût du futur musée. J'y pressens d'ailleurs un mauvais présage sur le coût final de cette opération  au bord d'un gouffre financier qui pointe son nez.

Les grands penseurs de le commune ne pensent plus, sauf à dépenser de l'argent qu'ils n'ont pas. Le monde est petit.

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A ce sujet, il paraît que, comme la petite bête qui monte, qui monte..., les enchères sur ce coût grimpent pour atteindre aux dernières nouvelles la somme de 8M€,

(Je ne compte pas les phénoménaux dégâts collatéraux qui ne tarderont pas à se faire entendre. A chaque jour sa peine).

Soit, si mes calculs ne sont pas trop mauvais :

- Pour une commune d'environ 3000 têtes : 2666 € par bipède vivant,

- et, si l'on considère qu'une famille de Pont-Aven comprend en moyenne 3 personnes : 7998 €/famille

Des sommes dont Pont-Aven aurait besoin pour améliorer l'ordinaire des habitants, ou pour créer des emplois valorisants par exemple. ................................................................................................................................................................

 

Mais tout cela n'est pas grave mon trésor, car, fait rarissime :

" tu aimes GéGé ( le Grand Gauguin)  "  

Tu aimes et tu aimes ..., tu aimes comme la clé à molette,

Mais hélas, vous aimez comme on aime le choux à la crème,

et c'est bien là le problème.

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Nostradamus

Publié le par chercheur d'histoires

Il se prend pour Nostradamus

Ce jeudi 25 novembre 2010 restera un grand jour dans la mémoire des habitants. Pont-Aven ou plus précisément son musée, passe en direct à la TV à 12h et 19 h

Nous verrons tous la même émission, mais verrons-nous tous la même chose ?  J’en doute.

J’en connais qui brûlent déjà de connaître mon sentiment sur le sujet.

J’ai décidé de leur faire plaisir. Il est 9 heures : voilà ce que j’ai retenu de ce que nous allons ensemble écouter dans les heures qui suivent :

 L’histoire de Pont-Aven qui se construit dans ma tête n’a retenu de cette future émission qu ’une nouvelle tapageuse manœuvre de propagande mensongère, orchestrée par la classe dirigeante de la commune. Une manœuvre en faveur du rêve insensé de Mme le maire et de son principal acolyte : la construction d’un nouveau musée, tout juste 25 ans après le précédent qui, jusqu’à présent, satisfaisait tout le monde.

Les arguments avancés pour le justifier sont ceux, au mot près, que Pont-Aven bassine à tous vents depuis 50 ans. - du GéGé en vois-tu en voilà –

 ( le Grand Gauguin, dit GéGé pour ses intimes de Pont-Aven)

Il y a un demi-siècle, ces arguments avaient du sens pour les habitants, mais aujourd’hui ils sont usés jusqu’à la corde. Tous les médias, dans leur incroyable crédulité, tombent pourtant les uns après les autres, dans le panneau, oubliant de porter leur regard sur l’envers du décor : celui de l’illustre passé de la cité qui n’est plus que champs de ruines.

La municipalité et ses attachés sont dans le déni de la situation catastrophique de la commune, palpable dans de nombreux domaines vitaux pour la survie du pays et caractérisée par la perte jusqu’à l’épuisement de son dynamisme commercial, artisanal et industriel. Le déni de ses régressions sociales (il y a de la misère et des souffrances cachées), culturelles (par exemple, la décadence de la Grande fête des fleurs d’ajonc), et patrimoniales : promenez vous dans les rues de la ville et observez. 

 

Observez l’hôtel de ville qui, par manque d’entretien, détient le triste record de la mairie la plus délabrée de l’ouest de la France et qui, sans la fuite en avant du projet de musée, placerait la ville en état de déconfiture.

L’émission présentera par ailleurs le fleuron de l’activité économique du pays : La galette dans toute sa splendeur, remettant une couche sur l’éternel refrain « officiel » de son histoire, en escamotant de façon insolente et avec parti pris, d’une part sa moitié (la biscuiterie Penven), et d’autre part l’existence d’une autre version du refrain plus proche de la vérité historique fondée sur des éléments tangibles qui discréditent quelque peu la version officielle. 
Plus grave, et c’est bien là l’envers du décor, cette activité est depuis des lustres, la seule subsistante dans le pays, perdue à l’orée de l’unique zone artisanale de la commune. Une zone artisanale qui n’a pas vu un seul artisan 
depuis sa création, il y a 35 ans. (exception faite d'un magasin d'encadrement) ;

Si cette propagande n’est pas outrancièrement mensongère par omission, c’est quoi d’autre ?

L’envers du décor, c’est aussi du scandale : celui de la légende de Rustéphan qui ne peut survivre que dans les majestueuses ruines du même nom : ruines hélas, trois fois hélas, de plus en plus brinquebalantes car délaissées  comme un vulgaire tas de cailloux par une municipalité ignoble à son égard.

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Me suis-je trop avancé  dans mes commentaires à la Nostradamus ?

Sûrement.

N'oubliez pas le rendez-vous à la TV cet après midi

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Un doute m'habite (page 2/2)

Publié le par chercheur d'histoires

Un doute m'habite (page 2/2)

Remettre l'art en débat à Pont-Aven : c'est l'une de mes principales marottes

lorsque je pense avant tout " au public ", celui, curieux de tout et un peu rebelle, que la cité a hélas perdu et auquel j'appartiens si j'en crois mes détracteurs.

Le fondement de ma pensée repose, c'est mon droit,  sur cette idée que, en matière picturale, la visite d'une exposition ne doit pas être perçue comme une simple posture contemplative : le meilleurs le moyen d'encombrer un peu plus l'esprit somnolent qui nous possède, mais comme son contraire : le moyen de le désencombrer de tout ce qui est inutile et néfaste au développement de notre capacité d'analyse critique. 

- Expurger son cerveau des blocages dogmatiques et artificiels, qui l'encombre -

Une démarche, dans le domaine de la culture, aux antipodes de la politique actuelle du musée ; il n'est pas le seul, c'est vrai.

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Mes contradicteurs, les grands garants de l'unique vérité qu'ils ont la prétention de vous révéler - ces individus qui paradoxalement n'acceptent pas la contradiction -, vous racontent que le parasite que je suis, n'est qu'un débile irresponsable. Vous comprendrez que dans ces conditions, pour me défendre, j'ai besoin d'un avocat. Je viens justement d'en trouver un excellent : le philosophe et écrivain Frédéric LENOIR qui vient de publier un ouvrage.

Je vous en livre ici un extrait qui me va droit au cœur :

Le grand paradoxe de la connaissance philosophique, et qui constitue son point de départ, c’est qu’il faut commencer par désapprendre. Il faut mettre en doute nos certitudes acquises sans réflexion critique personnelle par le biais de l’éducation familiale, de la religion, de la société. Car si certaines vérités sont ainsi transmises, des erreurs et des préjugés sont ainsi véhiculés . Chaque époque, chaque pays, chaque culture, chaque famille transmet son lot de visions limitées ou erronées du réel. La reconnaissance de notre propre ignorance est donc au fondement même de la quête de la sagesse. Socrate l’a fort bien exprimé : « je ne sais qu ‘une chose, c’est que je ne sais rien » déstabilisant ainsi ses interlocuteurs et les obligeant à remettre eux aussi en doute leurs propres certitudes.

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Comme quoi, l'esprit mesquin qui m'habite et qui irrite tant les nouveaux messagers culturels du pays, répond bien à des règles universelles profondes et lointaines. Merci à mes potes de bistrots, de m'avoir transmis en leur temps, quelques fragments incandescents de leur fiel et de l'esprit malin contenu dans cette boutade : "un doute m'habite" qui rayonnait dans les périodes glorieuses la cité des peintres. 

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Un doute m'habite (page 1/2)

Publié le par chercheur d'histoires

Un doute m'habite (page 1/2)

Une expression que j'entends encore parfois résonner dans ma tête et qui me projette dans le temps, aux côtés de Georges LE DEZ, (à qui j'emprunte l'expression : l'une de ses favorites), dans l'une des interminables discussions nocturnes, auxquelles nous participions, dans l'un des inoubliables bistrots culturels de la ville.

J'ai été l'un des derniers fidèles de ces établissements "cultes" jusqu'à leurs tristes et successives fermetures définitives.

(Je salue ici Stéphanie du Café des Arts , j'ai bien reçu ton message : tout va bien, et comme tu vois, on sait encore s'a-musée à Pont-Aven)

Depuis les années 1960, je fus également l'un des plus fidèles visiteurs du musée de Pont-Aven * (Pour me situer par rapports aux gardiens actuels du temple qui ont perdu la mémoire, je dirais : l'un des jeunes gardiens des lieux de 1959 à 1961) :

Ce lieu magique qui permis à son public d'origine : non seulement de découvrir l'essentiel de ce qu'il faut connaître de l'histoire de la peinture dans la cité, mais également pour les cerveaux les plus sensibles à ce pays : terre d'asile de nombreux anciens artistes marginaux, de s'intégrer plus profondément que dans les seuls bistrots (ou auberges), dans ce que j'appelle aujourd'hui l'esprit des lieux.

* je dis "musée" depuis 1960  (mais je pourrais tout autant faire un bon d'au moins un siècle en arrière : Voir précédemment sur ce blog) pour rétablir une réalité bafouée par tous ceux qui ne reconnaissent que le nouveau musée étatisé en 1985.

Ce n'est que tardivement qu'un doute envahit mes certitudes sur le bien fondé de ce musée. Lui être fidèle prenait, petit à petit pour moi, un sens nouveau qui ne correspondait plus à mes convictions; à sa raison d'être telle que imaginée par ses initiateurs  - lire leurs déclarations de l'époque -. Ce mot prenant, un peu plus chaque année, un sens religieux, l'éloignant de l'esprit de liberté de penser et d'expression auxquels Pont-Aven et sa faune culturelle m'avaient habitué. Je découvrais que, de plus en plus,

" ses fidèles " entraient au musée comme on entre en religion. ( d'où l'expression que je leur ai attribué : la secte du christ jaune, dans une plaquette que j'ai publiée en 2007 sous le titre :

" Le testament des maudits de la secte du christ jaune "

Les bistrots se sont éteints et un dogme culturel étatique a pris possession, sans partage *, de la cité. 

les commentaires déposés depuis quelques jours sur ce blog, en sont la preuve formelle, non ?  

Fini le temps où l'on participait aux vernissages des expositions du musée, ou celles des peintres contemporains, en y entrant avec nos certitudes, en y sortant avec de doutes dans l'esprit après avoir été interpellé par d'énigmatiques créations, principalement picturales.

Nous étions dans un Pont-Aven, propice à la réflexion, à la discussion et aux débats d'idées contre lesquelles cette secte a lancé une croisade.

Qu'en reste-il ?

----------------------------------------------------- A suivre demain ---

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interlude, en option sur ce blog

Publié le par chercheur d'histoires

interlude, en option sur ce blog

Je n'y avais pas pensé jusqu'à présent, mais introduire, de temps en temps, un petit interlude entre deux articles, c'est peut-être une entorse à mes habitudes, mais une bonne idée divertissante. D'ailleurs l'actualité récente sur ce blog m'y pousse.

En ouverture de rideau, je donne dans la réplique.

Le premier concerné est  ... ? :

Docteur Philippe G. des chevilles de coquelet, lorsqu'il me diagnostique des déformations corporelles : à savoir :

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Tu devrais exposer tes chevilles aussi: elles doivent être énormes !

énooorrrrrmmmmmeeeeeeeessssssssssssss !!!!!!!!!!!!!!

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Merci docteur, d'autant plus qu'il me vient une idée. Pourquoi ne pas organiser un grand concours, consacré aux chevilles pour déterminer les plus grosses enflures de Pont-Aven ?

Le premier prix étant récompensé par un bijoux en or massif, en forme de cheville, ou si vous y tenez vraiment : de rivet, je ne vais pas faire de fixation sur le sujet, l'essentiel étant que  le remise du prix soit le clou de l'opération, non ?

Je ne me fais pas d'illusion sur mon sort à l'issue du concours, car, contrairement à tes insinuations, mon coco, je n'ai pas la prétention de rivaliser avec les plus grosses pointures du pays en ce domaine, mais je ne désespère pas d'y parvenir, même s'il me reste d'énooorrrrrmmmmmeeeeeeeessssssssssssss !!!!!! progrès à accomplir. 

Entre nous, mon doux agneau (qui vire apparemment en chien de garde de la future tour de : bas-belle angèle) , tu ne vas tout de même pas me faire croire que tu est jaloux de mes jambes ? Que tu avoues que tu en est envieux c'est compréhensible , mais jaloux !!!!!!!!!!!!!!

Si vraiment mes chevilles te font mal, je te propose une idée qui nous conviendrait mutuellement. En 2011, tu prends en charge l'organisation des expositions que, jusqu'à présent, je me faisais un plaisir de présenter, en particulier à la maison de retraite de

Pont-Aven.
Tu pourras même y introduire du Gauguin, idée qui ne m'est jamais venue à l'esprit, je me demande pourquoi.

D'une part, ça soulagera mes chevilles.

D'autre par, ton intervention permettra d'élever le niveau culturel de mes actions.

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