Arrêt momentanné de ce blog

En raison d'un arrêt maladie je suis contraint d'arrêter momentanément mes diffusions sur ce blog.

Je reviens le plus vite possible

Gérard 

Remettre l'art en débat à Pont-Aven (suite )

D'où la nécessité de création d'une association de personnes motivées pour se lancer dans cette extraordinaire aventure du futur.

- - -   Suite   - - -

Je vous entends murmurer entre vous, que ce que je viens d'écrire ne sont que des incantations et des élucubrations du même type que celles que je dénonce ici depuis le début de la campagne électorale.

Chacun est libre de s'exprimer comme il veut naturellement :

Sauf que je remarque un peu plus chaque jour - et à mes dépens - que dans le Trou du Cul'T de l'obscurantisme effréné, ce n'est plus du tout le cas, même concernant des gens qui militent pour la liberté de pensée ???

Cette corvée de préalable étant faite, passons aux choses patrimoniales et culturelles sérieuses :

Dans cette campagne électorale : Qui pour l'instant s'annonce très sombre pour l'avenir des habitants et les futurs jeunes couples de la commune, le temps est venu pour les chocolatistes de ma liste d'étudier profondément et sérieusement le mémoire que j'avais établi en 2014 sur :

La friche industrielle de l’ancienne conserverie alimentaire

« Robert LE GLOUANNEC ... & Co »

Ce long travail d'étude ne m'est pas miraculeusement tombé du ciel : bien au contraire.

Il y a deux ans, j'avais proposé une Exposition sur la mémoire collective du Quartier de la Gare dans laquelle j'avais inclus ces friches. cette action patrimoniale m'avait donné l'occasion d'analyser encore plus, les très fortes potentialités en sommeil de ce secteur.

L'étude que j'avais proposée incluait à la fois :

- La prise en compte des scandaleuses règles du SCOT de la CCâ.  

- Le potentiel patrimonial et culturel induit par l'environnement de ce site remarquable.

( Ladite verrue n'étant qu'un détail sans importance dans une sérieuse analyse du futur de ce lieu : Con's se le dise !)

- l'opportunité de réintroduire dans cet espace à aménager, et d'une façon ou d'une autre dans tout projet, la notion de débats sur l'art entre amateurs d'art convaincus de la nécessité du développement des capacités d'analyses qualitatives et critiques de chacun, que je viens de mettre en perspective ci-avant.

Un futur Pôle d'initiation à l'art pour les futurs habitants de la commune et autres amis du Pays des anciens Peintres de talent.

Un projet d'aménagement d'un  Pôle Culturel unique en Bretagne, couplé avec celui de la nécessaire et possible création d'au moins une centaine d'emplois durables et valorisants.

Des emplois du futur que je ne connais pas, vous non plus.

- Un projet en phase avec cette règle majeure du SCOT de la CCA :

Cette exigence s’exprime dans le SCoT par un encouragement d’un développement touristique sans pénaliser ses fondements par un développement urbain excessif, et sans altérer son centre bourg par une monofonctionnalité exacerbée autour d’une activité touristique sanctualisée »

 Ce n'est que pour cela que mes plaies mobiles ont décidé de mettre tout en œuvre dès leurs élections, afin de stopper net le projet de Monsieur RUELLO.

En effet, il me semble qu'un  espace aussi précieux pour l'avenir du Pays des Moulins et de sa population, devrait être pris en charge par un établissement foncier régional.

Cela dit, et pour vous permettre de participer à cette action, je vous propose de relire ici ce mémoire durant les prochain jours.

Une autre liste proposera-t-elle un projet "mieux disant" ?  Ce serait à souhaiter évidemment. Nous ne sommes que des chocolats.

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Remettre l'art en débat à Pont-Aven 

Voilà l'un de mes slogans préférés qui apparaît sur ce blog de merde de temps en temps :

"Espèce de passéiste à la con : Arrêtes de nous fais chier avec les incessants rembobinages de tes beuveries de jeunesse dans les bistrots des art'souilles du coin" me laissent entendre pour une énième fois, les buveurs d'arts contemporains.

Et oui : Moi qui croyais depuis longtemps avoir reçu une bonne éducation artistique de base dans les meilleurs Cafés du centre ville de débats critiques de France, je me rends compte que je me suis lourdement trompé.

Merci pour  cette belle leçon du Bois d'Amour les gus (et les gonzesses pour respecter la parité) qui n'ont en tête que de l'argus de l'art, et plus rien d'autre !

Et moi qui croyais que de venir simplement contempler béatement, puis idolâtrer bêtement, puis en bout de course : idiolâtrer les chefs d'œuvres en devenir d'un petit musée de province durant près d'un demi-siècle, ne m'apporterait rien de bon dans mon initiation artistique pontavénaine.

Tout est pour moi, à reprendre à Zéro :

Aussi, j'espère de tout mon cœur qu'il y aura au moins une des listes en partance pour les toutes prochaines élections municipales, qui aura pour objectif majeur :

De remettre l'art en débat à Pont-Aven comme avant 1985 !!!  

De remettre l'art en débat dans les principaux lieux publics ou privés recevant aujourd'hui un public trop naïf, mais parfois - j'espère - aussi curieux et assoiffé de débats de ce genre "bien de chez nous", qu'autrefois.

Pont-Aven devenant une grande Ecole d'Enseignements pour les grands et petits amateurs d'arts autodidactes.

Une école permettant à chaque élève de développer ses capacités d'analyses qualitatives et critiques envers ce qu'il observe.  

Et je ne parle donc pas uniquement des collectionneurs d'art ou autres spéculateurs, mais de vous et moi : De tout un chacun, et plus particulièrement les futurs jeunes ménages de la commune.

Et tout cela dans un Pont-Aven ayant ENFIN retrouvé ses antiques et particulières marques de qualité, n'existant nulle part ailleurs en Bretagne. 

C'est là à mon avis de chercheur d'histoires locales, l'un des secrets des grandes forces de la commune que mes plaies mobiles chocolatés ont l'intention de mettre en débat sur la table des vraies possibilités culturelles d'avenir pour la population de base de  Pont-Aven.
De précieuses forces garantes d'avenirs heureux pour tous ceux qui le souhaiteraient.

De précieuses forces abandonnées depuis 1985. 

Une offre électorale unique en son genre par les temps qui courent, sachant que tout cela ne tombera pas d'un ciel miraculeux.

Ce n'est pas 23 élustucrus tombés du ciel qui pourront y arriver, mais une proportion significative des 2800 habitants retrouvant de la ferveur pour les authentiques valeurs patrimoniales et culturelles de leur commune. 

D'où la nécessité de création d'une association de personnes motivées pour se lancer dans cette extraordinaire aventure du futur.

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La grande préoccupation du moment 

... ne faisant aucun bruit dans le Land'ern'eau de l'Aven.

"Qui va remplacer l'irremplaçable directrice des grands musées de la CC'â ?"

"c'est normal que personne n'en parle dans les bistrots branchés de Pont-Aven" me dit la CHARLiO'T

- D'abord, cette direction n'est plus de la compétence de la commune de Pont-Aven. : Que chacun s'occupe donc de ses z'ognons bretons.

- En outre, il n'y a plus de bistrot branchés sur Pont-Aven, sauf aux canalisations d'eau de l'Aven. 

Cela dit, mes profiteurs plaies mobiles chocolatées sautent sur l'occasion de cette fausse altercation, pour rebondir : comme il faut lors des campagnes municipales, sur ce chaud sujet.

Et oui : Qui d'autre à part mes chocolats, osera lancer une alerte auprès des futurs prétendants au poste de Directeur des musées de la CC Ah !, pour les informer de l'énorme scandale de l'instruction et de la délivrance de permis de construire de celui implanté à Pont-Aven ? 

Les informer que cette gigantesque structure est gravement démesurée au regard des faibles capacités d'accueils et des financements du Trou du Cul'T de la peinturlure.

Que cette monstruosité n'est pas équipée de sorties de secours vers l'extérieur !

Un extérieur où un énorme piège anti-handicapé a été construit près de la porte d'entrée principale de cette devenue affreuse Tour de Babel-Angèle, 

symbolisant la folie des grandeurs des grands esprits saints du coin !   

Que les vrais amis de Pont-Aven attendent que la CC Ah !  aménage l'immense parking nécessaire au fonctionnement de cet immense "Plus Grand Musée au monde consacré à l'Ecole de Pont-Aven" : hors des espaces publics de la commune de Pont-Aven ? 

Que 99 %  des villageois de Pont-Aven sont victimes de cette incomparable énormité bretonne.

Que depuis, la Cité des anciens Peintres de talent, n'est plus que le champ de ruines de son illustre passé.

Etc.

...  et j'en passe de bonnes, et de presque meilleures ... pour l'heure !

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Serait-ce de l'excès de zèle particulièrement excessif ?

"A l'approche des élections municipales, pourquoi tant de reuz dans le Trou du Cul't de la crasse pour essayer soudainement  de l'embellir ?" se demande la CHARLiO'T

Que se passe-t-il donc monsieur le maire de Pont-Aven depuis les bientôt 20 ans que vous tenez le poste de grand expert en matière de propreté de votre commune, pour que : tout d'un coup, les employés municipaux s'activent autant afin d'éliminer tous les détritus accumulés dans les rues de votre Trou du Cul'T ? :

"Le soudain Culte de la propreté nouvellement retrouvé !" se demandent les toilettes municipales.

Voyez-vous : Ça fait beaucoup causer dans le village préféré des français bien propres sur eux.

Gast ah gast ! : Ça cause d'ailleurs surtout dans les grandes oubliées et crasseuses Cités des banlieues préférées des porcs-et-pics de la Ploux's Belle Plouc's Landerie de Bretagne.

En ce qui me concerne, et comme à mon habitude,  je ne fais qu'observer cet étrange phénomène dénotant soudainement  avec le train-train habituel de la vie monotone des pontavénizon'heureux comme ça.

De mémoire des mémoires locales, je peux donc : sans contestation possible, affirmer que l'on n'avait jamais vu cela à Pont-Aven depuis que mon Grand-Père avait pris sa retraite de cantonnier de l'ancien Pont-Aven.

En outre, j'observe que des fans de TV qui se frottent les mains - au savon de Marseille ? - en croyant que ce brusque retournement de vestons, serait lié à la prochaine élection du village préféré ... ?

... Préféré de mes plaies Mobiles en chocolat.

Préféré par eux et par tous les autres rares vrais amis de Pont Aven : Certes.

Cependant, notre liste constituée de 23 passéistes du futur, ne s'alimente pas dans les gamelles de celles de gens hautement cultivés et spirituels, totalement dépasséspar le glorieux Passé composé de leur commune préférée !

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La question enquiquinante du jour :

Une question que de très nombreux utilisateurs de la célèbre Piscuiterie du pont se Posent régulièrement :

Mais où peut-on se laver les mains dans cette chapelle ? ... 

... préférée des français les plus propres au monde !

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La Cité des modèles pour artistes ?

Vous pensez évidemment en cela au Pont-Aven d'autrefois où les pontavénus-Beautés du coin posaient aimablement pour les artistes peintres, moyennant quelques sous percés.

Il en était de même des paysages naturels et autres environnements remarquables du Pays des clochers à jours le plus attirant de Bretagne.

Aujourd'hui, cette Cité des anciens Peintres de talent est atteinte par une frénésie de saccage systématique de ces patrimoines dans l'indifférence totale de tous.

La Cité des modèles pour artistes ! : C'est fini tout ça ...
... ou presque :

En effet pas tout à fait, car  aujourd'hui c'est le maire pontavénain le plus contemporaintiste de toute la Bretagne, qui pose sans arrêt devant les journalistes-photographes de nos can'arts des coins-coins du coin.

"L'obscure Maire de Pont-Aven : devenu le modèle préféré des photographes de nos quotidiens ?  : Quel honneur pour nous les pontavénizon'arts" s'exclame en s'étouffant la CHARLiO'T .... un peu jalouse tout de même.

Et oui : nous devons admettre que depuis quelques mois, et au moins trois à quatre fois par semaine, les heureux pontavénounours peuvent : leur journal déplié sur leur table à manger, déguster leur petit-déjeuner amicalement avec leur maire préféré. 

Il y a quelques semaines de cela, ils ont même bénéficié de quatre portraits du bonhomme illustrant quatre articles différents sur une même page de l'un de ces canards.

Vous ne le croirez pas : Et vous avez raison, mais il y en a même qui en ont bouffé leur canard !

Des mauvaises langues vous diront que c'est fait exprès en vue des prochaines élections de couillons, mais ce n'est pas vrai du tout : bien entendu !

La preuve est que l'on voit la bouille de cet Adjoint à la Culture de la CC'â régulièrement dans les mêmes journaux depuis les élections de 2014.

Tout le monde se demande ce qu'il peut bien y faire d'autres que de poser comme un figurant bien dans sa peau, en faisant acte de présence lors des grandes manifestations culturelles de la CC'â.

Tout ce petit monde pontavéneux a raison : En effet, durant toute cette carrière Culturelle de haut niveau, qu'a-t-il fait en faveur de la sauvegarde et de la mise en valeur des patrimoines et de la singulière culture locale de sa commune ? RIEN

Qu'à-t-il fait en faveur d'une éducation locale des habitants envers ces richesses intérieures : RIEN ? 

Pas tout à fait en fait : Durant ce mandat de maire il a nommé une adjointe à la culture :

Mais pour faire quoi ? vous demandez-vous tout d'un coup à deux mois de la fin de ces mandats ?

Ben ! ...  RIEN.

Ce qui fait dire à la CHARLiO'T qu'en affichant sans arrêt sa bouille dans les canards du coin, il ne faisait que de la répétition de son rôle de figurant passif,

... en vue d'un second mandat de maire de Pont-Aven.

Aucune mauvaise intention, aucune tricherie électorale, bien entendu :

Que de la beauté intérieure dans ces attitudes Républicaines !

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Un décor d'opéra-comique !!!

Le village préféré de François COPPEE ?

- Quelques vieux et rares pontavénounours devraient en principe se rappeler de ce pamphlet que l'on doit à l'académicien François COPPEE.

Un article qu'il publia après son court séjour dans le Pays des Moulins où Gauguin débarquait pour la première fois la même année.

- Moins encore doivent aujourd'hui se souvenir de ce texte en entier.

La censure est passée par là : N'est-ce pas ?

Comme je n'aime pas la censure pontavéniaise qui sévit avec force depuis trop longtemps dans le coin, ma bibliothèque vous offre aujourd'hui ce fumeux texte en entier avec plaisir.

"A Pont-Aven tout doit bien aller" : N'est-ce pas les influents de ce Trou du Cul'T des dénis en tout genre, et de sa misérable censure culturelle et patrimoniale ?

La meilleure preuve de cette attaque en règle de l'idiot du village que je suis, est que jusqu'à présent, aucune municipalité locale n'a tiré de leçon de cette magistrale mise en garde. 

Celle du Bois d'Amour écrasant toutes les autres !

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Moins encore doivent donc aujourd'hui connaître ce texte en entier :

Et pourtant, il est extraordinairement inquiétant que les flammes des mauvaises impressions que Coppée avait ressenties lors de son court passage à Pont-Aven, restent aujourd'hui encore aussi brûlantes qu'à cette lointaine époque.

Près d'un siècle avant : Vers 1796/1797,  c'était Jacques CAMBRY qui durant son célèbre "Voyage dans le Finistère" pouvait écrire : 

"Il y a douze foires et cinquante-deux marchés par an; on s'y porte avec une telle affluence, qu'il faut une heure, quelques fois, pour traverser cette petite ville"

Conclusion du jour :

Et si les amis de Pont-Aven osaient enfin demander aux membres des listes en lice pour les municipales 2020, de se prononcer sur cette leçon de choses de la triste vie actuelle de la population locale, que de très loin dans le temps, François Coppée avait peut-être écrit aussi à leur attention !  

... exception faite à mes chocolats qui : bien entendu, ont depuis longtemps assimiler cette belle leçon d'amour propre, n'ayant en réalité atteint personne d'autre que nous. 

Dernière remarque "bien de chez nous" :

Savez-vous que le nom de cet académicien est épinglé sur l'arbre généalogique d'une famille vivant à Pont-Aven depuis longtemps ?

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Lorsque des plaies mobiles en chocolat réfléchissent ... ? (Page n°11)

Allo ! : Vous ne m'entendez pas, vous les faux amis de la population de l'ancienne Cité des anciens Peintres de talent ?

Une Cité devenue incontestablement de ce fait, la plus misérable Plouc'querie de Bretagne !

- - -   Suite   - - -

Aujourd'hui nous en sommes au même point mort : Quelle tristesse, quelle honte pour le village préféré (?) des fadas de PGO !

Par contre, pas question pour nous les fidèles amis de toujours du village de Rustéfan, de permettre à des ravageuses cohortes de toutous désœuvrés de passage éclair, de prendre d'assaut ces murailles. 

Ils ont tout ce qu'il faut aujourd'hui dans le Trou du Cul'T de la peinturlure pour s'extasier : Alors pourquoi faudrait-il leur sacrifier notre Rustéfan ?

Par contre, ce qui est sûr est qu'actuellement le simple étayage préventif des murs de ses ruines serait une opération infiniment plus onéreuse qu'il y a 20 ans.

"Par la faute de quels maires et de quels adjoints ?" se demande la CHARLiO'T  

Hélas, dans cette Plouc'querie  n'ayant d'yeux que pour Maître Gauguin, ou son disciple Maître Warhol, ce monstre sacré n'est plus considéré depuis longtemps que comme un vulgaire vieux tas de cailloux, par les grands, les petits, et même les minuscules Amateurs d'Art locaux.

Pour autant et après ce nécessaire et urgent étayage des murs, une fois intégré dans une vision lointaine du renouveau de ce pays tant admiré de loin, le sauvetage de ce prestigieux vestige architectural reste tout à fait envisageable à mes yeux d'idiot du village préféré des andouilles de mer.

Conclusion du jour :

Pas d'idiotes incantations, pas de stupides élucubrations tombées d'un très haut ciel nuageux, lourdement encombré aujourd'hui de touristes.

Que de la lucidité, que de la réflexion et des analyses de la triste et lamentable situation du pays s'étalant sur 20 années d'observations. 

Que de l'intelligence humaine et locale, utile et réalisable à proposer aux futurs habitants de Pont-Aven :

Voilà les devises des chocolats du Poulain du Meunier.

Réflexions sans tabou, ...  à suivre un peu plus tard. 

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Lorsque des plaies mobiles en chocolat réfléchissent ... ? (Page n°10)

En fait : Tout chocolat mou que puisse être mon équipe, il n'est pas question pour nous de renoncer au sauvetage de cette dite purulente verrue : Bien au contraire.

Par contre, il n'est pas question non plus de raconter des salades au peuple électeur, pour lui faire croire que nous sommes cultivés.

- - -   Suite   - - -

Nous savons que la seule action utile et efficace restant crédible aujourd'hui au regard de l'immense dangerosité du monument, serait de créer une solide association patrimoniale et culturelle locale.

Une association de gens motivés autant que déterminés, qui aurait pour objectif prioritaire de tout mettre en œuvre afin d'obtenir les fonds nécessaires

 à la consolidation des murs de ces ruines, en les étayant solidement :

Rien de plus pour l'instant.

Il y a 20 ans, c'était l'objectif que moi et quelques autres amis des patrimoines de Pont-Aven, avaient envisagé.

Tout était chiffré et prêt pour lancer cette opération de pré-sauvetage.

J'avais intégré à cet effet la Fondation du Patrimoine en tant que délégué bénévole du Finistère afin d'obtenir le précieux appui de cette Fondation. 

Nous savions que nous ne pouvions pas : faute de moyens financiers immédiats, 

envisager objectivement d'autres opérations plus importantes : mais au moins nous étions sûr que ces ruines ne s'écrouleraient pas :

Les plaçant ainsi hors de danger pour les visiteurs des entrailles de ce monumental trésor architectural.

Qu'en est-il aujourd'hui de cette dangerosité de haut niveau monsieur Jean-Marie Lebret, madame la promue Chevalière et ses prédécesseurs  ?

Allo ! : Vous ne m'entendez pas ? Vous les faux amis de la population de l'ancienne Cité des anciens Peintres de talent !

Une Cité devenue de ce fait, incontestablement la plus misérable Plouc'querie de Bretagne !

A suivre demain

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Lorsque des plaies mobiles en chocolat réfléchissent ... ? (Page n°9)

Après ces premières tirades, je vous propose de nous arrêter pique-niquer devant la future baraque à frites que certains pro-toutous souhaiteraient implanter dans la Cour d'Honneur du Manoir de Rustéfan.

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Combien de chemises n'ai-je pas déjà mouillés en essayant de lancer l'idée de la sauvegarde de cet incomparable en Bretagne, trésor local en péril ?

"Quelle mauvaise mouche pleine d'idées folles avait piqué Jean Du Fou, lorsqu'il avait décidé de faire construire ce joyaux, ...   dans la Plouc's Landerie de Nizon ?  me murmure le fantôme de ces majestueuses ruines.  

Dans ma réserve des mémoires locales, j'ai une grosse valise pleine de lingots en papier du tragique passé de cet émouvant Monument Historique.

Après un demi-siècle de collecte, vais-je devoir jeter ces précieux bouts de papiers dans les poubelles jaunes de la CCA ?

Plus le temps passe, plus cela est à craindre.

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Mon équipe chocolatée ne va donc pas promettre aux derniers amoureux de Rustéfan, de sauver ces ruines ...
...  pour uniquement récolter quelques voix de plus aux prochaines élections municipales ?

(Comme par exemple en 2008, par les ultra-anti-Rustéfan,

.... comme notre cher Jean-Marie, notre chère Chevalière, et leurs cliques par exemple !)

Par contre, j'ai prévu d'acheter quatre Rustéfan en chocolat afin que les chefs de bandes des quatre nouvelles listes en lice toutes neuves (ou pas ?)  ...  

... puissent les croquer à pleines dents. 

Tant pis pour les dents cassées : On ne fait pas d'omelette au chocolat, sans casser des fèves de cacao !

"Cacaotiez ! cacaotiez ! : il restera toujours quelque chose à grignoter à Rustéfan"

s'exclame soudainement une cacaotique CHARLiO'T . 

Que puis-je dire de plus ? : Moi l'idiot de village des ruines de l'illustre passé de Pont-Aven :

Ceci peut-être : Tout chocolat mou que puisse être mon équipe, il n'est pas question pour nous de renoncer au sauvetage de cette dite "purulente verrue" par les plus intelligents esprits du coin : Bien au contraire.

Par contre, il n'est pas question non plus de raconter des salades au peuple électeur, pour lui faire croire que nous sommes cultivés.

Même si ces salades proviennent de champs contaminés par des huiles de cacao du coin !

A suivre demain

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Le document compromettant du jour :

Danger ?

OK : Nous devrons bientôt voter pour notre village préféré.
Allons voir ce qui s'y passe de beau et de bien sans l'aide de Gauguin !

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