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Le BLOG-NOTES de la Quinzaine (page 2)

Publié le par chercheur d'histoires

Le BLOG-NOTES de la Quinzaine (Page 2)

Pont-Aven : 

"Musée : Des ateliers pour les enfants"

Durant les vacances de février, le succès n'a pas été démenti :

Près de 20 personnes de tous âges, de 18 mois à 70 ans, ont participé à cet atelier.

A force de PUB dans les canards du coin, la direction de la CCânerie a réussi à attirer : toute une famille  de 18 mois à 70 ans, dans son piège à C.

OK les fainiaces, mais à quel prix pour toutes des familles de 18 mois à 70 ans du territoire de la CCânerie ?

- Pont-Aven :

Musée :

"Une conférence sur les travaux du musée"

Gast-à-gast, une de plus !

Les pontavénounours n'ont jamais été aussi gâtés ...

... que depuis qu'ils en ont tous plein le cul ...

... du chantier du futur "Plus musée au monde consacré à l'Ecole de Pont-Aven"

Pour tout dire, seuls quelques membres particulièrement gâteux de la secte du christ jaune ont assisté comme d'habitude à cette nouvelle grande mascarade.

- C'est en 2011 que tous les braves gens du coin auraient dû être invité à participer à des réunions de réflexions sur ce projet d'agrandissement du musée.

- C'est en 2011 qu'une étude de faisabilité de ce considérable et coûteux projet aurait dû être menée.

- Un projet qui pour moi, ne pouvait se réaliser en raison de ses profondes discordances avec les règles de construction et d'urbanisme en vigueur sur la commune.

Hélas pour tous, une conserv'actrice fraîchement arrivée imagina dans sa petite tête de rat crevé que l'ancien musée pontavénain " bien de chez nous", était trop petit pour satisfaire ses ambitions.

C'est bizarre autant qu'étrange, ce petit  musée satisfaisait jusque-là tout le monde ?

Aujourd'hui, il n'y a plus que les nouveaux commerçants de pacotilles, et les gros loueurs de galeries peinturlureuses, à conserver cette ferveur dans le patelin !

Tous les autres habitants commencent fortement à s'inquiéter de l'avenir de leur pays. 

Suite et fin demain matin

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Le BLOG-NOTES de la Quinzaine (Page 1)

Publié le par chercheur d'histoires

Le BLOG-NOTES de la Quinzaine (Page 1)

Fouesnant :

"Les patrouilles des gandarmes équipées de voitures électriques"

Si vous n'avez "pas trouille" d'être verbalisé, ce ne sera plus des prunes que vous offriront ces gandarmes mais des châtaignes  ...

... si vous grillez un feu ...

... pour griller des châtaignes !

Pont-Aven :

La dernière réunion de l'association : "café éco"

Le sujet de la réunion qui s'est déroulée -dans la farine  dans la taverne de ces poulguinistes :

Le thème de la soirée entre amis fidèles, se comptant sur les doigts d'une main fut cette fois :

"Le vivre ensemble, comment réussir ?"

Le bien vivre ensemble à Pont-Aven ?

C'est bien la dernière chose que ces poulguinistes imagineraient pour le pays. 

Dans toutes leurs actions envers le commune et son avenir, ils ne pensent qu'à leurs gueules, et c'est bien cela que je leur reproche en premier lieu.

Je me demande même s'ils savent qu'à Pont-Aven il reste encore des restachoux : dans les choux certes, d'une population avec qui ils devraient un peu de temps en temps chantonner le :  "vivre ensemble"

A suivre demain

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L'EBDO-CHARLOT' n° ZérO,6

Publié le par chercheur d'histoires

L'EBDO-CHARLOT' n° ZérO,6

- Pont-Aven ?

Je n'ai rien dit : 

Je n'ai rien dit : dit la Charlot', sur J.M. la tronçonne depuis plus d'une semaine.

En effet, il est parti à la neige, 

et comme une charlot' ne tire jamais sur un homme à terre ... !

..................................................................................

- Le musée de la pêche aux CCâneries :

Le 14 février dernier, la photo de J.M. posant tout près  joue contre joue  de "la conser'actrice" du musée de la pêche, a été publiée dans les can'arts des coins-coins de la Ville Closet.

Cette photo de presse a été prise à l'occasion du vernissage d'une exposition de tableaux cornéliusiens présentée au musée de la pêcherie.

Cherchez l'erreur entre ce qui n'est que de la toile marinée dans la peinture, et de la toile salée dans les eaux des océans.

Des tableaux au musée de la pêche, ce musée deviendrait-il lui aussi que de l'appât à touristes ?

Il serait bien triste que les institutions culturelles de la ccânerie n'aient plus que de la peinture par très fraîche : pas très vieille non plus !, à proposer pour attirer du toutou dans le coin. 

Cela dit : que voulez-vous que je raconte sur notre bien aimé J.M. "vice-président "à la culture" de la CCânerie, se prêtant au petit jeu de la belle au bois dormant ...

... dormant depuis 2011 ?

Qu'il posât ce jour là pour le photographe de presse : sage comme une image en attendant la sortie du petit oiseau ?

C'est nul, mais la charlot' peut mieux faire  pour vous ((a)musée)

Grâce à lui, j'ai compris que je n'étais plus qu'une "passéiste dépassée", alors que Monsieur le nouveau maire de Pont-Aven s'était transformé en un "futuriste arriviste" ... se faufilant comme il pouvait (ou ne pouvait pas) dans monde des beaux-arts.

Ainsi : grâce à lui, le futur  de Pont-Aven ne sera plus jamais comme avant,

et grâce à lui, et à sa copine du moment : 

Le passé de Pont-Aven ... ne sera plus non plus comme avant. 

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Une initiative des plus géniale (fin)

Publié le par chercheur d'histoires

Une initiative des plus géniale ! (fin)

Et bien NON : 

--- suite -----------------------------------------------------------

Nous apprenons que ce "présumé auteur" n'est qu'un "présumé peinturlureur" en déroute exerçant ses talents dans le trou de peinture pontavéniais.
Selon les journaux, ill aurait pété un plomb en tabassant rigoureusement l'un  de ces potes ... d'Hôpital psychiatrique.

Ce dernier est toujours dans le coma mais au moins il n'est pas mort.

L'auteur de ce coup de théâtre ne risque donc pas la décapitation.

Il sera peut-être condamné à six mois de prison ...

...  comme Gauguin à Tahiti pour avoir porté "des coups et blessures" à un bourgois du coin.

Peut-on espérer que cet artiste contemporain puisse entrer dans la Grande histoire picturale de Pont-Aven en se faisant dorénavant passé pour un peintre maudit ?

Un peintre maudit comme Gauguin et ses compagnons le furent durant leurs séjours à la Pension Gloanec.

Moralité de cette pénible affaire :

A Pont-Aven, tout fini toujours dans la joie : même le sordide.

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Une initiative des plus géniale !

Publié le par chercheur d'histoires

Une initiative des plus géniale !

Rendez-vous compte, Pont-Aven a eu l'honneur d'être présentée en page régionale des can'arts des coins-coins du coin de la semaine passée.

A deux reprises de surcroît !

Que du bonheur pour les pontavénounours ... du moins pour presque tous.

Cela mérite d'être signalé sur ce blog car même le musée de la CCânerie n'y a plus le droit depuis quelque temps.

Les journalistes de haut niveau auraient-ils plein le cul de diffuser toujours les mêmes conneries CCânesqueuses ?

Revenons à nos moutons du jour.

A nos moutons ? :

je dirais plus exactement pour faire de la Fontaine :  au loup et à son mouton.

- Lu à la page régionale du Télégramme :

" Pont-Aven, Grièvement blessé après une agression dans un appartement"

Lu à la page régionale d'Ouest France :

"Pont-Aven : un homme retrouvé grièvement blessé"

Et deux jours après dans ces deux canards, et toujours princièrement en page régionale :

" Pont-Aven : L'auteur présumé des violences interpellé"

"Un homme grièvement blessé à Pont-Aveen, un homme interpellé"

Serait-ce un islamiste venu faire son djihad au pays des moulins ?

Et bien NON : 

Nous apprenons que ...

Suite et fin demain matin

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1988 (page n° 5)

Publié le par chercheur d'histoires

1988 (page n° 5)

Cette situation qui fait une place à la peinture dans la ville de Pont-Aven n'a jusque dans les années 80 rien de très remarquable par rapport à d'autres lieux sinon peut-être qu'on trouve probablement plus de toiles chez les habitants de Pont-Aven qu'ailleurs et que les lieux fréquentés par Le public (mairie, hôtels, commerces...) sont plus qu'ailleurs décorés de peintures.

Pont-Aven reste une petite ville très touristique et les visiteurs qui viennent pour le site apprécient de se rendre dans quelques expositions. Les plus cultivés reviennent sur Les pas de Gauguin en longeant la rivière dans le bois d'Amour. Ce sont les années 80 qui vont changer cette situation somme toute assez banale.

Les premières années de cette décennie connaissant une progression certaine des lieux d'exposition d'été qui se fait par la location de boutiques qui ferment que des peintres réaménagent et investissent l'été. On peut alors estimer à environ une vingtaine tout au plus ces salles et elles se fondent parmi les autres boutiques de la ville que ce soit les commerces quotidiens ou les magasins d'objets pour la vente touristique. Pont-Aven commence à concentrer les expositions mais dans une ambiance feutrée et sans aucun sentiment de changement important. Néanmoins, par l'implantation de galeries nouvelles, par l'habitude des expositions estivales, Pont-Aven se ressent comme un lieu privilégié par l'art ou plus exactement privilégié pour l'art. On considère que le site et Le charme de la ville explique l'intérêt que Les artistes lui accordent et on se rappelle volontiers que Gauguin y a fait des oeuvres d'importance. Pendant toutes ces années d'ailleurs, Pont-Aven a abrité des peintres et des artistes mais leur nombre est peu important et leur place traditionnellement marginale.

C'est probablement de 1983 que date le tournant le plus important pour Pont-Aven et son image avec la décision de la création d'un musée qui verra le jour en 1985.

                                                                               - - -    

Vous pouvez lire la suite de ce passionnant texte sur le site :

http://www.sylvette-denefle.fr

Mes conclusions :

Il serait utile que cette dame revienne aujourd'hui analyser et porter un avis  tout aussi juste et pertinent, sur le champ de ruine qu'elle découvrirait en flânant dans les rues de ce devenu trou de peinture dégoulinante.

Où sont passés les artistes peintres qu'elle avait cru découvrir en 1988 ?

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1988 (page n° 4)

Publié le par chercheur d'histoires

1988 (page n° 4)

1988 (page n° 4)

... extrait n° 4 .......................................................................................

Dans le début des années 50, avec le soutien du maire Henri Sinquin, va s'amorcer vraiment la prise en compte de la peinture par Pont-Aven. On organisera alors les premières expositions des oeuvres de peintres de l'École de Pont-Aven. Puis Roger Lucien Dufour, un peintre bordelais de la place du Tertre, obtient l'aménagement de salles municipales pour exposer des peintres de l'École de Paris et créer le Grand Prix de Peinture de Pont-Aven qui sera décerné par la Société du Grand Prix de Peinture de Pont-Aven qui réunit les notables de la ville. Ces expositions qui durent pendant les deux mois d'été seront reconduites et orientées vers les oeuvres de l'École de Pont-Aven mais le Grand Prix disparaîtra assez rapidement.

Dans les années 60, les salles de la mairie seront régulièrement louées à des peintres qui se succèdent tous les 15 jours et qui exposent leurs œuvres pour la vente. Il n'y a, dans ces années-là, toujours pas d'autres lieux réservés à la peinture. Mais le rôle des salles municipales n'est cependant pas sans importance pour la suite car les peintres qui réussissent bien dans la vente de leurs œuvres dans ces présentations vont rechercher dès le début des années 70 des locaux indépendants pour exposer leur travail. Et il est assez remarquable de voir que, parmi Les peintres qui ont des lieux d'exposition propres aujourd'hui à Pont-Aven, les plus anciennement installés sont des peintres qui ont exposé d'abord dans Les salles de la mairie.

Dans les années 70, va donc se produire la première amorce des expositions de peinture avec l'établissement de deux galeries de peinture et l'installation de quelques peintres dans des lieux d'exposition pendant l'été et bien sûr la poursuite des expositions dans les salles de la mairie et celle d'expositions organisées par la Société de Peinture qui, après avoir quelques avatars, s'est reconstituée en 1971, à la mairie qui se transforme pour les deux mois d'été en "musée" provisoire.

A suivre demain ...

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1888 (page n° 3)

Publié le par chercheur d'histoires

1888 (page n° 3)

... Extrait n° 3 .........................................................................

Cela valait certainement la peine d'approfondir ces particularités tout à fait singulières de la cité des Fleurs d'Ajoncs. Car je ne saurai oublier le rôle important qu'a joué Théodore Botrel dans l'image de Pont-Aven en étant à l'origine de la première fête des Fleurs d'Ajoncs dès le début du siècle.

On le voit Pont-Aven a fait parler d'elle et l'histoire de l'image qu'elle donne d'elle-même est une histoire complexe construite par des initiatives très diverses. Pour tenter de montrer comment se sont constituées les différentes images de Pont-Aven, il faut tout d'abord se rappeler que Pont-Aven est une commune de 3295 habitants qui réunit depuis une vingtaine d'années deux communes : celle de Nizon en zone rurale et la commune ancienne de Pont-Aven qui, à l'heure actuelle comprend environ 1800 habitants. Ce détail géo-administratif est important pour la question qui nous intéresse car le développement de la peinture concerne la commune ancienne de Pont-Aven qui avait, entre autres, pour particularité d'être un bourg pratiquement sans zone rurale. Aussi, les habitants de Pont-Aven sont-ils, depuis fort longtemps, des gens de la ville par rapport à tous leurs voisins. Et, de fait, Pont-Aven se présente traditionnellement comme une cité. L'implantation des moulins que le site permettait et qui s'est prolongée par le développement d'une industrie agro-alimentaire de conserverie a renforcé le caractère urbain de cette toute petite ville finistérienne. De surcroît un tourisme très précoce a mis la population en contact avec des citadins, en particulier des parisiens, et a accentué le sentiment que les habitants de Pont-Aven ont de n'être pas des paysans. L'extrême raffinement des vêtements traditionnels qui font du costume de Pont-Aven le plus élégant de cette partie de la Cornouaille n'en est qu'un témoignage parmi d'autres.

A suivre demain ...

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1988 (Page n° 2)

Publié le par chercheur d'histoires

1988 (Page n° 2)

... Extrait n° 2 ------------------------------------------------------------------------

Depuis une bonne dizaine d'années, ce n'est plus Le site des moulins qui figure comme attraction principale de Pont-Aven mais la peinture. On s'est souvenu, après la seconde guerre mondiale, que des peintres célèbres avaient porté le nom de Pont-Aven vers la gloire en constituant à travers leurs oeuvres produites dans la région sur des thèmes bretons un courant pictural important connu sous le nom "d'École de Pont-Aven". Et insensiblement, l'intérêt touristique de la cité s'est déplacé de son site agréable vers la référence à Gauguin et à "l'École de Pont-Aven et l'on est passé de "la cité des moulins" à la "cité des peintres" ... 

En 1974 encore, les guides de voyage présentent d'abord le site des moulins avant de faire un rappel de la venue des peintres alors que, dans les années 80, le site de la ville est présenté comme celui qui figure dans les oeuvres des artistes et c'est l'évocation de l'école de peinture qui constitue l'essentiel des textes sur la ville.

Ce premier déplacement est en lui-même surprenant et je tacherai de montrer comment il s'est produit dans Le temps. Mais il est doublé d'un support matériel beaucoup plus surprenant encore qui est le déferlement (et le mot n'est pas trop fort), en trois ans, des  peintres qui exposent essentiellement en période estivale dans tous les lieux disponibles de la ville.

Ainsi le visiteur de l'été 1988 a pu se rendre dans plus de 60 lieux d'exposition dont la plupart a présenté plusieurs artistes. Quelle petite ville de moins de 2 000 habitants, et même quelle ville beaucoup plus importante, peut-elle se prévaloir de présenter les oeuvres de plusieurs centaines d'artistes en un été ?

A suivre demain ...

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1988 (Page n° 1)

Publié le par chercheur d'histoires

1988 (Page n° 1) 

Je vous propose aujourd'hui - et durant les jours prochains - de prendre connaissance de quelques extraits d'une publication éditée* en 1989 par Madame Sylvette Denefle, (Professeuse d'Université) à la suite de son séjour à Pont-Aven en 1988.
Cette publication présente de façon juste et pertinente la métamorphose de la ville trois ans après le 1er agrandissement du musée.

Une ville qui s'épanouissait soudainement dans la grande illusion de son illustre passé.

Une époque factice et sans lendemain, mais durant laquelle chacun s'amusait insouciamment dans le coin. 

* Je ne sais où

---  ​Extrait n° 1 ----------------------------------------------------------------------

 

De la cité des moulins à la cité des peintres

Tous ceux qui connaissent Pont-Aven depuis assez longtemps sont frappés par le changement considérable qui s'y est produit ces dernières années. En effet, la peinture a littéralement envahi cette petite ville touristique. Toutes les boutiques se sont transformées en galeries de peinture ou en salles d'exposition mais plus encore le moindre garage ou local inhabité est devenu également lieu d'exposition de peinture. Pont-Aven toute entière semble consacrée à la peinture et ce phénomène ne peut être comparé à ce qui se passe en d'autres lieux touristiques comme Concarneau ou Quiberon en Bretagne car il s'agit d'un phénomène récent qui se produit selon une progression foudroyante en s'appuyant sur des événements anciens que l'on réinvestit avec conviction.

Bien évidemment, cela ne va pas sans changements importants dans la ville, sans conflits de corporations mais surtout sans modifications très importantes de l'image que la ville donne à ses visiteurs.

C'est précisément ce phénomène du développement de la présentation de peinture à Pont-Aven à travers son apparition, sa mise en place, les réactions qu'il provoque et les mutations qu'il engendre dans l'image de la cité, c'est-à-dire dans son identité même, que j'aborderai ici.

A suivre ...

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