Un grain de folie

Avant : Des grains de folies inoubliables au "Café des Arts"

Depuis  peu : Des pochons de grains de café pour les toutous en mal de produits locaux !

Avant et aujourd'hui -III-

J'ai sur le sujet des stationnements qui fait couler beaucoup d'encre d'imprimerie ces temps ci,  un long article sous le coude à vous proposer.

- - -  Suite et fin  - - -

Néanmoins, aujourd'hui je ne vous en proposerai qu'un extrait, mais : croyez-moi, vous pourrez le déguster en totalité très bientôt.
Dans les années1960/1970, les visiteurs de Pont-Aven venaient généralement dans ce merveilleux pays des moulins pour y  flâner tranquillement.
- Flâner toute une journée sans s'ennuyer dans l'environnement enchanteur du pays aux cent bizarreries et cent étrangetés uniques au monde : 

- Flâner de petit coin en petit coin dans ce petit paradis terrestre blotti au fond d'une profonde vallée verte débordante de secrets bien cachés.

Ils pouvaient également apprécier à sa juste valeur le dynamisme commercial du pays, et ils le faisaient sans compter.

Sans compter dans les accueillants commerces, dans les restaurants "bien de chez nous", dans les établissements et bistrots branchés peinture. 

De flâner à Pont-Aven : mais toute la Bretagne (et bien au-delà de là) en rêvait à l'époque.

Flâner à Pont-Aven en s'amusant, en rêvassant paisiblement, ce n'est plus aujourd'hui qu'un rêve devenu inaccessible.
Fini par la faute des crétins du coin.

Ce tout petit trou ne pouvait rien proposer de mieux, mais c'était déjà tellement bon, tellement séduisant, tellement attirant, qu'il avait même autrefois attiré des cohortes de bons artistes, ... dont quelques-uns sont aujourd'hui immensément connus dans le monde entier.

Où sont passés ces lieux mystérieux, ces commerçants, ces personnages : tous "branchés peinture, branchés culture ...
...  branchés sur les exquises fêtardises proposées gratos à tout le monde ?

Que s'est-il passé depuis les années 1980 ?
je vais vous le dire :

Les nombrils d'une tribu de notabilités de coin ont goulûment avalé les virus d'une nouvelle maladie honteuse :

La bien nommée gauguinite aiguë, sans pareil ailleurs dans le monde

d'hier, ... comme dans celui d'aujourd'hui ...  et tout aussi sûrement, dans celui de demain.

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Avant et aujourd'hui -II-

Dans les années 1960, en été, en raison du développement du tourisme de masse motorisé, la circulation dans la traversée de Pont-Aven devint rapidement un problème majeur  pour l'avenir du centre de la Cité des Moulins. (Comme au tournant du XVIIIe siècle)

Le dynamisme commercial fut gravement affecté par ce phénomène et le risque d'une asphyxie générale pointait du nez. 

Des plans sur la comète de cette époque pour résoudre le problème : tous aussi stupides les uns que les autres dois-je dire, il en rester vraisemblablement des tas dans les oubliettes de la mairie.

En réalité, dans ce minuscule centre de la ville ayant la forme d'un profond goulot d'étrangement non extensible, il n'y avait aucune solution pour sortir de ce piège.

La célèbre ville fut pourtant sauvée du naufrage prévisible grâce à De Gaulle qui : lors d'un voyage à Quimper, fit une annonce capitale pour les pontavén'arts.

L'annonce de la mise en chantier d'une Voie Express de désenclavement de la Bretagne...
... et plus particulièrement dans les faits, du centre ville de  Pont-Aven.

Hélas : des 2 Gaulle comme ça il n'y en a qu'un, et ce n'est pas le retour sur la table des miracles de nouveaux plans pourris sur la comète qui fleurissent à nouveau la ville depuis quelques temps, qui permettront cette fois de résoudre ce récurrent insoluble problème.

Ce qu'il ne fallait surtout pas faire en ce début de siècle, était d'agrandir le musée pontavénain qui en réalité satisfaisait tout le monde avant l'arrivée d'une conserv'atroce. 

La leçon à tirer de la précédente noyade aurait dû être retenue, mais non. C'est ainsi que depuis la création de ce monstrueux muséum à la gomme, le lourd problème de la circulation s'est non seulement à nouveau lourdement aggravé, mais de gigantesques et mortels problèmes de stationnements totalement insolubles ont accompagné l'arrivée d'un nouveau et ravageur tourisme de masse de passage éclair.

Je le répète : il n'y a plus aucune solution pour sortir le foutoir du bourg-d'en-bas de la commune du merdier dans lequel l'intelligentsia pontavéniaise l'a enfoncé.

Il reste bien celui de Nizon, il reste également la friche industrielle du Bois d'Amour, mais ce n'est manifestement pas les inconsistants corniauds qui dirigent actuellement  la commune, qui auraient miraculeusement les capacités intellectuelles nécessaires pour se projeter dans la direction de ces issues de secours.  

J'ai sur le sujet des stationnements qui fait couler beaucoup d'encre d'imprimerie ces temps ci,  un long article sous le coude à vous proposer.

A suivre demain matin

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Avant et aujourd'hui -I-

Une bonne nouvelle :

Depuis les années 1840/1860 : époque héroïque où les 3/4 de l'antique Pondaven avait été détruit afin de reconstruire une nouvelle petite ville toute neuve, propre, et sécurisée, le centre historique de cette bourgade n'avait jamais connu autant de travaux de rénovations immobilières d'une ampleur à faire peur.

Autant d'improbables rénovations = autant d'immeubles pourris sauvés pour au moins une génération. 

OK : c'est bien, mais un doute m'habite. 

En effet : Je compare cette bizarrerie à une seconde phénoménale ruée de chercheurs de pépites l'or dans le Grand Ouest du pays des indiens pontavénains.

Hélas : des pépites, il n'y en aura pas pour tout le monde. C'est l'Histoire de l'humanité qui le dit.

Que se passe-t-il donc de particulièrement inquiétant dans ce bonheur retrouvé, pour la population du bas-fond de la Cité des anciens Peintres de talent ?

C'est le chercheur d'histoires de service qui peut y répondre, car il est vacciné contre le déni général des réalités locales qui sévit sans modération dans le bled. 

L'arrivée de nouveaux malheurs :

En effet : il est malsain que les valeurs vénales des immeubles commerciaux du plein centre du trou de peinturlure se négocient pour des montants 10 fois plus élevés que d'autres placés à quelques dizaines de pas de là.

Les optimistes me diront qu'il n'y a qu'un petit zéro de différence dans les prix, mais pour moi ces crétins ne sont que des zéros qui ne comptent plus que pour du beurre noir.

La conclusion de cette première mise au point mort :

La raie au beurre noir c'est délicieux, mais à condition que cette raie ne soit pas que du cul, et qu'elle soit préparée par un vrai chef comme il n'en existe plus à Pont-Aven ! 

N'est-ce pas nos deux JULIA ?

C'est tout pour aujourd'hui.

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Vivre avec son temps

"OK : Mais pourquoi faudrait-il vivre obligatoirement en noir et blanc ...

... comme sur la photo de ce jour ? " me demanda contrariée, la contra'riante CHARLiO'T

Non non : ce n'est pas ça, lui répondis-je. 

J'ai pris cette photo en noir en blanc pour ne pas gaspiller inutilement les tubes de couleur de ma chambre noire.
En effet : L'ancien Bar du Centre se fait relooker dans le style très "endeuillant" en vogue dans le trou de peinturlures.
Un style particulièrement à la mode pontavéniaise, et bien de circonstance à Pont-Aven depuis quelques temps, comme le prouve cette photo.

En effet, les concepteurs de ce nouveau look ne font qu'imiter l'idée géniale des crétins qui ont défiguré la façade de l'ancien Hôtel de Ville en y incrustant lamentablement d'affreuses plaques de ferraille noircies.

"Comme si Pont-Aven n'était pas aujourd'hui suffisamment triste naturellement " déclare à qui veut bien l'entendre une CHARLiO'T à bout de nerfs.

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"Au quai" j'ai compris : Mais serait-ce un marchand de burqas qui s'installe près de la Piscuiterie du pont ? ... 

... Des burqas à l'attention exclusive de géantes pontavénaines ???

Cherchez l'erreur !!!

(Affaire à suivre très prochainement sur ce blog)

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Tous "Conq" -V-

Autre commentaire sur lequel je ne peux me taire.
Celui proposé cette fois par une Concarnoiseuse :  Laëticia Boidin :

"Ce sera forcément en déficit mais il ne faut pas se limiter à cet aspect" 

Je suis désolé madame, mais il ne fut jamais question de déficit durant la grande campagne de propagande qui précéda la construction du musée pontavéniais de la Cc'ânerie.

Un pompeux et gigantesque musée que je déclarais en son temps totalement démesuré au regard de la faiblesse des capacités d'accueil et de financement de Pont-Aven.

Ce qui s'avère aujourd'hui bien réel. 

Un musée  dont le permis de construire avait été illégalement délivré au profit de la CCA, en raison des géantes et innombrables entorses délictuelles aux règles du code de la construction et de l'urbanisme que j'avais décelées en prenant connaissance du dossier approuvé.
Une autorisation de surcroît gravement viciée en raison d'une procédure d'instruction publique de complaisance.

Ce qui explique par exemple (mais ne le justifie pas), qu'aucune issue de sortie d'urgence ne débouche sur l'extérieur de cet ensemble.

Ce musée n'est qu'un piège à rats. Ce qui ne pose pas de problème de conscience en soit, mais madame Boidin, essayez de vous imaginer à la place d'une personne à mobilité réduite visitant les beaux tableaux exposés, pile au moment où le transformateur électrique intégré au bâtiment aurait la mauvaise idée d'exploser.   

La situation est tout de même gigantesquement scandaleuse, et pourtant :

Ça n'émeut personne !

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Suite de ce commentaire :

"Il faut également regarder ce que ça apporte aux commerçants ainsi qu'aux touristes"

Ah oui bien sûr : "aux touristes et aux commerçants" !

Et les "conqs" payeurs* du coin : Où les placez-vous madame ?

Dans la poubelle de votre conscience républicaine peut-être ?

* C'est-à-dire presque la totalité de la population de Pont-Aven victime de ces immondes délits sans pareil dans la France du XXIème siècle.

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Le Gros gros plan du jour :

Je n'irais pas plus loin dans la profondeur de mes observations photographiques du moment car mon zoom risquerait de se faire mordre par un cobra.
A oui : Vous ne le savez pas ?

Il paraît qu'une horde de cobras a envahi les égouts de Pont-Aven !!!

Je vous conseille donc d'aller pisser dans la rivière ...

... Pour l'instant personne n'y a vu de crocodile.
Pour l'instant ... !

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Tous "Conq" -IV-

Je continue : 

"il faut mettre le prix" ? :

Mais monsieur le microscopique ministre de l'inculture : les pontavénounours y mettent  déjà le prix ... fort de moutarde.

Mais mon vieux bourricot: La facture est tellement lourde pour tes ouailles que l'avenir de ta commune est devenu plus que problématique.  

Jean-Marie, si tu savais distinguer la plus que centenaire bonne et vieille peinture "bien de chez nous, de la peinturlure sans intérêt pour nous, tu ne pourrais que hurler.
Hurler de douleurs culturelles face à la dégradation qualitative des "molles" expositions présentées par le musée de la CC'ânerie, au regard de celles que durant 50 ans, les visiteurs de Pont-Aven purent apprécier à leur juste valeur.

 "De la qualité " ? :

Où est cette qualité attendue, depuis que ce musée CC'anesqueux de l'imposture existe ?

Monsieur le maire, serais-tu capable de répondre à cette grande question existentielle pour ton pays d'adoption ? :

D'ici encore combien de longues années pourra-t-on enfin apprécier sur place, la Grande Exposition des prétendus Chefs d'Œuvre du fonds du musée de la CC'ânerie ?

A ce sujet : Où sont planquées les 15 merveilles présentées durant 3 ans aux populations des 9 communes de la CCA sous une forme dite : 'hors sol" ?

Ces dits chefs d'œuvre présentées sous la forme de simples reproductions ...
...  en Haute Définition bien sûr !  

Où sont cachés les 10 prétendus merveilleux chefs d'œuvre du musée qui, durant 3 ans, ont fait l'objet de coûteux papotages/radotages proposés aux " passants par là" dans le Centre d'Information que la CCA exploitait dans le bourg-d'en-bas de Pont-Aven.

Ne serait-ce pas une minable manœuvre pour faire croire que la Grande Traou Mad'ame 

du Service de la CC'ânerie, travaillait ardemment à la culture hors sol ...
... durant les 4 années de fermeture de sa grande boîte à peinture ?

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La CHARLiO'T a aussi des questions à te poser J.M. :

- Durant tout ce temps mort, combien de personnes ont poussé la porte de ce centre ?

Comptes les sur tes doigts si tu veux !

- Combien d'argent public cette inutile plaisanterie a en réalité coûté ?

Réponse habituelle :

"Motus et bouche cousue" 

Mais J.M. : Ce n'est pas une réponse digne du Maire de la Cité des anciens Peintres de talent, ça !

Suite et fin demain matin

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Le reportage photographique du week end :

Qu'il est doux d'être du caca pouvant se baigner dans un urinoir pontavénais durant tout un WE,...
... sans que personne ne vienne vous emmerder.

Il faut le savoir : Ce fut également le cas, mais sans la douceur, pour tous les commerçants de cette rue !

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Tous "Conq" -II-

---Suite ---

"Je n'ai jamais vu un musée bénéficiaire" ??? ??? ???

J.M. serait-il le 1er grand maire de Pont-Aven à n'avoir aucune connaissance sur l'origine de notre regretté Petit Musée Pontavénin ? 

Un musée municipal fondé comme nous le savons : nous les vrais pontavénins,

mais nous sommes bien les seuls !!! ?, 

sur une décision du conseil municipal de Pont-Aven en 1961 (voir précédemment sur ce blog)

Ce musée "bien de chez nous", dirigé de 1961 aux débuts des années 1980, principalement par de passionnés et férus amateurs d'art du coin, et aussi d'ailleurs d'ailleurs.

Durant tout ce temps, et malgré les faibles moyens dont disposaient ses dirigeants pour présenter d'admirables expositions inédites sur les principaux peintres de talent ayant œuvré à Pont-Aven et au Pouldu, ...

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... ses comptes financiers n'ont jamais plongé dans le rouge.

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"Le rouge Gauguin ?" se demande une CHARLiO'T qui : comme les élustupides coin, ne comprend pas pourquoi les goûts et les couleurs ne se discutent pas plus ici,

... que les dégoûts ...

... occasionnés par les pissotières du camp de Pont-Aven.

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De surcroît dois-je ajouter, ses expositions étaient grandement bénéficiaires pour tous :

- soit culturellement pour ses visiteurs médusés,

- soit pour le dynamisme des activités locales.

Serait-ce toujours le cas ? ... ou patatras !

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"Pour mettre de la qualité, il faut mettre le prix" clama-t-il encore.

"Oh ! quelle belle phrase de Conq sans Q" s'exclame en écho la charmante CHARLiO'T.

Non J.M. : tu déconnes en plein tube une fois de plus : 

Enfin J.M. : Il n'est question ici, ni de culture de topinambour, ni d'autres légumes de pot au feu,

... mais de pots de peintures pures, 

... étalées en aplats sur des surfaces planes,

... afin de créer de vrais chefs d'œuvre du cru

... en les recouvrant de couleurs en un certain ordre assemblées"    

"il faut mettre le prix" ? : ...

A suivre demain

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Le reportage photographique du week end :

A suivre également demain

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Tous "Conq" -II-

Princesse IzaBella : Où es-tu, que fais-tu maintenant ?

Tu pries ton bon dieu pour qu'il pardonne tous tes péchés mignons pas très catholiques, ...
... pas très républicains non plus ! 

L'heure du jugement dernier frapperait-elle à ta Porte de l'Enfer ??? 

... SUITE .............................................................................

Selon l'information publiée dans la presse locale il y a quelques mois ...

... "IzaBella Biseau aurait décidé de se préoccuper des sans-abri"

Gast-ah-gastro c'est trop ! :
Madame la chevalière en titre usurpé : Savez-vous qu'Il existe près des votre noble home, un manoir de Rustéfan qui aimerait sûrement recevoir dignement ces culs-terreux.

Il existe aussi à proximité des nobles terres de vos ancêtres, un vaste musée tout neuf ne servant pas à grand-chose d'utile pour la population de votre commune, que les associations de votre paroisse aimeraient occuper ... ... ... comme avant.

Comme avant que vous ne les délogiez manu militari des salles communales ! 

Des associations "sans-abri par votre faute" ose de surcroît déclarer l'irascible CHARLiO'T 

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Au fait J.M. :  Rappelle nous le montant des subventions que ta généreuse municipalité versera cette année à l'ensemble des associations de ta commune : 17 000 € : C'est bien ça ???

Serait-ce le "1% culturel " du trou de la CCACU qui serait généreusement affecté aux bougres du coin ?   

"Des cacahuètes moisies pour ces sans-logis, sans plus"

se permet de lui jeter dans la tronche, la veuve meuf de Charlie

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"Je n'ai jamais vu un musée bénéficiaire"

C'est la réplique que le mini-ministre de la culture de la CC'ânerie a donnée à la B.B. la Trégunoise du Conseil Communautaire, qui se plaignait de l'immensité de ce trou atteignant 

tout de même 8 640 000 Frs de profondeur.

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"Je n'ai jamais vu un musée bénéficiaire" ???

Les petites phrases "choc de Titan" de J.M. sont sûrement devenues autant lassantes que coutumières pour vous, mais pour moi c'est le contraire :

J'ai toujours autant de plaisir à les entendre ou à les lire dans nos can'arts préférés.

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"Je n'ai jamais vu un musée bénéficiaire" ??? ???

Voyez-vous, pour une fois je suis du même avis que monsieur le maire, mais à une condition :

Celle d'oublier le dernier mot.

"Je n'ai jamais vu un musée" Là je suis d'accord.

En effet, ce n'est plus un secret de Polichinelle car ça se voit :

Nous observons jour après jour, que J.M. a autant d'atomes crochus avec du "musée" ...
... qu'une mouche avec la queue d'une vache folle !

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"Je n'ai jamais vu un musée bénéficiaire" ??? ??? ???

A suivre demain matin

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La photo du jour :

M le maire : Serait-ce en vue du passage du Tour de France à Pont-Aven, que la vieille chaussée - du XXIè siècle ! - de la rue du Général De Gaulle a bénéficié d'un p'tit coup de rafraîchissement ...
... très design pontavéniais ?

Si le deal est celui-là : C'est réussi.

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Tous "Conq" -I-

Je parle des 50 000 habitants du territoire de la Cc'Ânerie Conq'Carnoise.

Tous "Conq", mais pas tous avec du Q : bien au contraire.

En effet, Il n'y a en réalité que les concarnoiz'heureux à avoir du cul, ...

... et du bol d'appartenir à Concarneau-Cornouaille-Agglomération.
Par contre, on ne peut pas dire que les 2800 pontavénains ont eu du "cul" en ayant été contraints de subir de plein fouet les dispositions du SCOT de cette structure au pouvoir ultra centraliste et confiscatoire :

Un dit Schéma de Cohérence Territoriale manifestement mortifère pour l'avenir de Pont-Aven, et qui commence déjà à produire lourdement ses effets pervers sur sa population.

(Voir sur ce blog les nombreux articles que j'ai publiés à ce sujet)

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A votre avis : c'est quoi un Conq sans Q ?
...  et un con sans le moindre pouvoir de décision au sein de cette communauté de communes ?

La réponse de l'idiot d'un village englouti dans la connerie humaine :

Un con'art pontavéniais  ayant du pot ... 

... du pot de peinture à la place de la boîte crânienne.

Un article publié récemment dans les can'arts des coins-coins de la Cc'ânerie me permet d'y répondre plus précisément.

Extrait :

"Budget de la CCA : trop déficitaires, les musées ?

Gast-ah-gast - Merde alors - Putain de bordel de merde !

Les sales maux sont lâchés dans la basse-cour des musées de l'espèce de conquistador que d'aucun appelle maintenant par ma faute "conserv'atroce"  

"Lors des échanges, B.B. de Trégunc a exprimé son "inquiétude" quand aux déficits des musées"

- 582 000 € pour le musée pontavéniais de la Cc'Ânerie !

- 735 504 € pour celui de la Ville Close.

- Un gouffre financier non compensé par les 310 000 € versés sans raison et Ad vitam æternam à la "Cohérence Territoriale"  par les contribuables de Pont-Aven

- Un gouffre de 1 317 504 € de profondeur non compensé par le déluge de subventions qui se déverse pourtant sur ces ensymes gloutons tous les ans !!!!!!!!

Ce n'est plus seulement les chevilles de Fidelin qui enflent : bien au contraire,

mais les bourses de la CCA qui se dégonflent dangereusement.

Ce n'est plus la puissante locomotive économique promise par la prophète dame la soutane qui arrive tout feu tout flamme sur Pont-Aven, mais un sordide corbill'art.

Et oui : Te rappelles-tu J.M. de cette salutaire locomotive promise en 2011 par ta diablesse cheftaine pontavéniaise ?

Promise en 2011 : C'est-à-dire à l'époque où elle avait décidé avec ses conq'plices conq'spirateurs de construite la plus grande Tour de Ba'Belle Angèle au monde au beau milieu du p'tit trou du Q pontavénin.

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Princesse IzaBella : Où es-tu, que fais-tu maintenant ?

Tu pries peut-être ton bon dieu pour qu'il pardonne tous tes péchés mignons pas très catholique, ...
... pas très républicains non plus !!! 

L'heure du jugement dernier frapperait-elle à ta Porte de l'Enfer ??? 

Suite demain matin

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Les documents du jour :

Ce n'est pas nouveau. C'est comme ça à Pont-Aven depuis des lustres :

Les trottoirs et espaces piétons sont réquisitionnés pour les transformer en terrasses privatives, et les heureux piétons sont priés de circuler dangereusement sur les chaussées !!!

Comme personne ne bronche, ça s'empire tous les ans. 

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