Un centre de ressources (page n°9)
Pourquoi continuer à appeler un chat : un chat, ...
Et des rats d'égouts : des rats des champs ?
Pourquoi ne plus appeler le fonds de documentation du musée pontavénin par ce nom d'origine ?
"Parce que sans doute, ce fonds communal à été confisqué par la CC'ânerie sans l'accord des pontanénounours" nous dit la Sciences-Po'tins CHARLiO'T
Pourrait-il se dérouler ... sur le tapis rouge, un tel scandale patrimonial et culturel ailleurs sur le territoire de la CCâ, ou encore sur celui de la Cocopaq voisine ?
Ailleurs où : depuis quelque temps, toutes les municipalités ont à cœur de créer leur médiathèque communale et leur maison des associations, sans oublier leurs précieuses aides à la création puis aux diverses actions des associations Patrimoniales et Culturelles locales.
Toutes les semaines, vos journaux préférés signalent des actions de ce type.
Et à Pont-Aven M Le Substitut Maire mini-Ministre de la Culture de la CC' : Rien à dire sur le sujet ?.
Pourquoi tant de mépris pour la population de la part du conseil municipal ?
Ce serait peut- être pour respecter les us et coutumes locales imposés par vos deux prédécesseurs ?
J.M. le rayon cassé de Culture : Pourquoi la municipalité précédente à laquelle vous participiez activement comme adjoint aux travaux ratés, a t-elle confisqué le meilleur du patrimoine des habitants de Pont-Aven pour l'offrir à la CC'â ...
... avec comme cadeau d'accueil, une rente perpétuelle de 320 000 €/an !
Pourquoi n'as tu rien dit, ni depuis : rien fait, pour compenser cette énorme perte patrimoniale (l'Hôtel de Ville et sa Grand'Place) et culturelle (le fonds de documentation communal) ???
La Salle des Fêtes (la bonne à tout faire) et l'ancienne cantine de l'école du diable (servant de galeries depuis1961) installées dans l'enceinte l'Hôtel de Ville étaient à la disposition des pontavénins et de leurs associations lorsqu'ils en avaient besoin pour se réunir, se concerter, exposer la richesse des valeurs locales, ou encore faire la fête, danser, chanter, boire, en exprimant leur joie de vivre à Pont-Aven.
La confiscation de ces biens sans leur demander leurs avis : c'est déjà moche, mais ne rien leur proposer en compensation de ces lourdes pertes, c'est autant indécent que dégueulasse Monsieur.
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Depuis une semaine, je ne parle ici que de méfaits en tout genre.
Le temps de la conclusion de cet article étant venu, je conclus donc, mais en osant mettre des mots sur les pires de ces maux "bien de chez nous":
Je veux parler des viols de la dignité et de la fierté de la population.
Que reste-t-il aujourd'hui de ces choses naturelles pour la population de base du coin ?
Rien d'autre que le droit de subir ces pires affronts en la fermant.
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