De la Place Gauguin à la rue De Gaulle

Tout d'abord, et dans le prolongement de mes élucubrations présentées ici hier matin, je reste aujourd'hui sur les traces des descendants de PGO.

Il y a quelques années, j'avais eu l'occasion de publier sur ce blog de merde

le résumé d'un article ancien consacré aux enfants du couple Gauguin.

Par ailleurs, à la même époque, j'avais présenté quelques perles publiées dans des journaux des années 1910/1920 concernant l'origine de la Famille de Paul Gauguin : Certains grands journalistes français ayant révélé en fanfare dans leurs can'arts que "GAUGUIN était BRETON"

En réalité sa famille est d'origine Orléanaise.

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Cela dit, vous connaissez peut-être le peintre Fernand DARAGON ayant 

vécu à Pont-Aven dans les années 1960/1970, avant de poursuivre un parcours initiatique sur les pas de Gauguin : son mentor.

C'est à Tahiti ( Je pense qu'il y habite toujours) qu'il rencontra Emil GAUGUIN,

Un fils naturel non reconnu du Maître traînant dans la misère.

Pour tout héritage, "n'ayant reçu que la syphilis de son père" comme il le dit à Fernand, de surcroît infirme et sans domicile fixe : Pour vivre, il n'avait pas d'autre choix que de mendier dans les rues de Tahiti, proposant aux passants de lui acheter les gribouillages qu'il dessinait.

Je vous présente aujourd'hui celui que DARAGON lui avait acheté.

Suite :

Non, Gauguin n'est pas BRETON, mais passant du coq à l'âne de la Place Gauguin à la Rue du Général DE GAULLE, il est vrai que notre Général a par contre de vrais ancêtres Bretons :

Dont un Charles DE GAULLE qui fut dans les années 1870 un très célèbre personnage de la Bretagne.

(Voir la coupure de presse que j'ai numérisée dans un numéro du journal "Les Bretons à travers le Monde " publié le 1er mars 1946)

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Ça me sort par les trous du nez

C'est le début de cette petite phrase "qui me va bien", et qui est sortie de ma bouche de vipère lors d'une récente minuscule intervention sur les ondes bleues de Bretagne.
 "Des ondes maléfiques bien pontavéniaises ?" me demande la CHARLiO'T 

En effet mon Bel Ange : 

J'ai même proposé au journaliste de me prêter un mouchoir,

... sachant qu'en me mouchant dedans, je pourrais ainsi lui offrir un beau tableau de l'Ecole de Pont-Aven !

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Le document du jour :

C'est quoi ce truc ? Vous n'allez pas me dire que c'est du PGO tout de même.

Le second document du jour (voir au bas de cet article)

C'est la réponse à cette question

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La question du jour :

Connaissez-vous Louis Tipahaéhaé ?

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...
...
...
...
Réponse :

C'est l'arrière-petit-fils de Thérèse TIMAU

...
...
...
...
...
Complément de réponse :

Thérèse TIMAU, une jeune fille de 15ans, ayant laissé à sa mère Marie-Rose le soin de reconnaître l'enfant qu'elle avait eu à Hiva-Oa avec Paul Gauguin, et qu'elle appellera Tahiatikaomata. 

il y a environ une vingtaine d'année : Louis, l'arrière-petit-fils de Gauguin séjourna brièvement à Pont-Aven.

Qui s'en souvient ?

Personne ? :

Merde alors, les bistrots branchés de Pont-Aven seraient-ils tous débranchés aujourd'hui ?

Conclusion du jour :

SVP monsieur le lilliputien ministre de la culture du territoire de la CCâ : Faites pour une fois quelque chose de culturellement bon pour la commune que vous diriger !

Ne laissez pas votre bateau-ivre s'en aller à vau-l'eau de l'Aven vous demande Arthur.

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Des "bonnes choses",   "bien de chez nous"

Je préfère donc vous parler des "bonnes choses", "bien de chez nous"

- - -  Suite  - - -

Par exemple :

Actuellement, et jusqu'à la fin de l'année, le charmeur petit musée de la fraise à Plougastel-Daoulas, fait la part belle à Mary PIRIOU.

Oui : Notre artiste peintre (graveur et sculpteur)  Mary PIRIOU, dont la mémoire de son frère : Adolphe, a été honorée l'année dernière à Pont-Aven, lors d'un concert consacré à l'une de ses plus belles Œuvres Musicales "Au cours de l'Aven"  : Merci Jean. 

Et que dire du papa PIRIOU ? :

Ce remarquable Artiste Photographe avant-gardiste finistérien de la fin du XIXe siècle.

J'ai découvert cet Artiste il y a 30 ans, et depuis, et malgré mes profondes et incessantes recherches, je ne lui ai découvert aucun précurseur ou suiveur à la hauteur de son Art.

Cet Art personnel autant que nouveau, qu'il a admirablement insufflé dans le corps et dans l'âme artistique de ses impressionnants tableaux photographiques.

 Les PIRIOU de Pont-Aven : Voilà bien une grande famille d'Artistes sacrifiée sur l'Hôtel de l'Art : dit Moderne, devenu autant très classique que touristique dans les musées.

Amis fidèles de la mémoire de Pont-Aven : Allez vous amuser à Plougastel.

Vous y retrouverez des œuvres picturales de Mary PIRIOU, des documents intimes et inédits sur sa vie, et des photographies prises par son père. 
Et sachez que les fraises de ce Pays sont plus délicieuses que les prunes aigrelettes que le Pont-Aven contemporain vous offre depuis quelques années.

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Au-delà des Impressionnistes

Cet été, la CCb (Cornouaille Culturiste bretonne) faisait la part belle aux IMPRESSIONNISTES de tout " poils de pinceau "

J'ai retrouvé en cela une nouvelle grosse compétition entre les deux Géants Musée de Quimper, et le Gigantesque musée de la CCâ implanté à Pont-Aven, mais rien de plus.

En effet, après un demi-siècle de fidèles fréquentations des Musées Bretons, je n'ai rien trouvé d'excitant dans ces devenues habituelles animations touristiques. On revient toujours à la même chose.

Pour moi, il n'y a que le décorum des présentoirs qui changent d'allure. 

Par contre, dans cette joute fratricide, certains s'excitent de plus en plus sur du hors compétition qualitative, ne mettant en perspective que leur nombre d'entrées !

"Gast ah gast ! Ne serait-ce pas du pur nombril'isme ça ?" s'exclame la férue d'Art  CHARLiO'Tiste. 

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De l'impressionnant Impresssionnisme, du post-impressionnisme, du néo-impressionnisme, des apparentés à la mode de Bretagne tombés du ciel, 

du : dans le genre, dans le style, dans le goût de ceci ou de cela,

durant un demi-siècle, j'en ai dégusté jusqu'à plus soif de culture desséchée. 

Conclusion de l'idiot du village gauloisif : 

Attention, la ringardise n'est pas loin !

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 Je préfère donc vous parler des "bonnes choses"   "bien de chez nous"

A demain

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Je voudrais le remercier, avant qu'il ne s'envole ... (suite)

Je vous le signale : Je viens de prendre une option pour publier sur ce BLOG de merde, l'ensemble des discours d'adjoint à la Culture de la CCâ de monsieur le maire de Pont-Aven.

Ouai ! : Un beau recueil aux luxueuses pages blanches imprimées sur du papier Fresson, Artigue ou Bristol : Excusez-moi du peu monsieur le maire !

J'ai même prévu de faire imprimer un exemplaire hors série,

hors-texte évidemment comme les autres !,

numéroté 0/1,

afin de l'offrir à la modeste Bibliothèque de la mémoire singulière de Pont-Aven et de ses habitants.

Cet édifice : sans prétention, sans faste, mais bien fourni sur la mémoire singulière du Pays des Moulins. 

Ce creuset de Cultures locales qui manque tant à la population et que Monsieur Jean-Marie Lebret à : par inadvertance sans doute, totalement oublié de faire construire durant ses trois mandats d'élu du Grand Pont-Aven.

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L'APPEL  aux peuplades opprimées du coin de la CHARLiO'Titine :

Chers amis des associations "sans-abri et sans membre" de Pont-Aven : Restez optimistes.

Monsieur Jean-Maie Lebret  gravera sûrement dans le marbre de son futur programme électoral, la promesse de construction de cette petite mais vitale bibliothèque municipale "bien de chez nous", ...
... en l'implantant juste à côté de la future crèche municipale,

... qui elle-même sera construite juste à côté de la future mairie,

... qui sera construite juste à côté de la future école communale,

... qui elle-même sera édifiée juste à côté de la future maison médicale,

... qui elle aussi, sera implantée dans l'immense zone des promesses municipales non tenues du baisodrome pontavéniais !

Conclusion du jour :

J'eus voulu le remercier, mais après avoir profondément réfléchi dans la glace de mon miroir, ma conscience me dit que non.

"Mais pourquoi donc ?" me demande la conscience collective de ce pays

en déroute des peintres. 

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Le vieux morceau de papier du jour :

'L'on ne se marie plus à Nizon"

... Et c'est pour cela que la mairesse avait promis d'importer des jeunes couples sur la commune,

... Et c'est pour cela que le maire actuel a promis d'implanter de jeunes couples à Nizon !

"Il arrive quand le train ?" s'exclame une nouvelle fois, la grand'mère de la CHARLiO'T

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Je voudrais le remercier, avant qu'il ne s'envole ...

Non non, ce n'est ni Paul, ni Arthur qui a écrit cette petite phrase,

Ni JML non plus.

C'est le plus modeste et agaçant chercheur d'histoires au monde :

Celui qui ne cesse de chercher des histoires au petit monde pontavénian-nian.

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Aujourd'hui, j'ai décidé de publier le plus pluvieux pamphlet poétique au monde afin que monsieur le maire de Pont-Aven puisse : s'il souhaite s'en inspirer évidemment, préparer son discours de sortie définitive, ...

... par la petite porte, ...  

... de sa Haute mission de Ministre de la Culture de la CCânerie, ... 

... avant qu'il ne s'envole de ses propres ailes, vers : au moins, le Ministère de la Culture Française.

Après une extraordinaire carrière culturelle consacrée aux deux grandioses musées de la CCâ, il mérite bien un poste de Ministre d'Etat : Vous ne trouvez pas ? 

Son prédécesseur a bien été promu Chevalière de l'Ordre de la Légion d'Honneur, alors pourquoi pas autant d'honneur pour notre cher J.M. ?

A suivre demain

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Le document caniculaire du jour :

Aujourd'hui, il pleut des canicules,

et ? ... 

... C'est bien la pire peine

De ne savoir pourquoi,

Sans amour et sans haine

Mon cœur a tant de peine.

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Du Rustéfan, trois fois par semaine

"Trois fois ?" s'exclame la CHARLiO'T

Je lui réponds que "pourquoi pas au moins trois fois dès les prochaines élections municipales ?"

Un effet, depuis 1985 les pontavénounours bouffent respectueusement "du musée au moins sept fois par semaine"

Il devient donc plus que temps de changer le menu : Vous ne trouvez pas les pontavénizoniais du Pays des Bons Goûts ?

Et si l'équipe municipale gagnante lors de la dernière joute municipale proposait cette fois comme première proposition malhonnête de leur nouveau programme, ce slogan : "Du Rustéfan trois fois par semaine"

Voilà bien une proposition gagnante/perdante comme l'on aime bien dans la noble ploucquerie de Pont-Aven.

Gagnante pour le dynamique et juteux commerce des illusions locales, et perdante pour 99% de la population de base,

Une population rejetée aujourd'hui sur le pourtour du territoire de la Cité des anciens Peintres de talent.

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Cela dit : Aujourd'hui dans le coin, qui connaît encore Rustéfan ? 

Sûrement quelques vieux bien trop vieux pour se déplacer pour aller voter.

Mais à part ces vieill'arts en chaussons tout le temps : Tous les autres fans de vieilles pierres de taille du coin  : qu'en savent-ils ?

Que dalle de granit évidemment.

Comme le petit peuple ignorant de la zone de Nizon, a depuis très longtemps tendance à faire confiance à l'équipe sortante, ce jeu de vilain vaut sûrement  ... la chandelle.

N'est-ce pas monsieur les trois mandats municipaux à son tableau de chasse ?

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L'impressionnante photo du jour :

"Pourquoi des furieux fouineurs de poubelles ont-ils le besoin irrésistible de mettre le nez sous les fabuleuses ruines de Rustéfan ?" se demande le fantôme du coin.

Il a raison de poser cette noble question. En effet : Pourquoi utiliser un tronc d'arbre pour essayer de soulever la grosse plaque métallique qu'une très ancienne et prudente municipalité avait fait poser sur le trou béant de l'ancien Puits de Rustéfan ?

Serait-ce une association patrimoniale & culturelle du coin   "sans logis", qui aurait pris l'initiative d'aménager au fond de ce puits (ou du faux souterrain adjacent !)  un abris anti-Plouc'Konnerie de l'Aven ?

Conclusion de l'idiot du village ;

Cette plaque métallique, plus celles qui défigurent actuellement la remarquable façade de l'Hôtel Julia, auraient, sans aucun doute, permis de ceinturer la majestueuse Tour de Rustéfan ... pour pas un rond de plus, afin d'éviter qu'elle s'écroule !

Qu'en penses-tu le grand penseur des plaies de la commune ?

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Les grandes fêtes de l'été 2019 du Trou du Cul't du coin (fin)

Lu dans la presse locale (Suite)

Pont-Aven :

"Un bilan humide pour la Fête de la Belle Angèle"

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"Il a plu doucement dans nos cœurs

"Comme il plut sur la ville

"Quelle est cette langueur

"Qui pénétra nos cœurs !

...

"Ô bruits doux de la pluie 

"Par terre et sur le Quai !

"Pour des cœurs qui s'ennuient

"Ô le chant de marin de la pluie !

... *

* Non non : Ce poème n'est pas signé JML

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OK : La Belle Angèle n'a pas eu de chance sur le quai,

mais, faut-il bien le dire : 

De vivre aujourd'hui  à Pont-Aven, c'est déjà de la malchance.

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Post scriptum :

Ce que je retiens surtout de ces fêtes locales, est que l'on n'y rencontre presque plus personne du cru. Que ce soit lors de la Fête des Fleurs d'Ajonc ou de la Belle Angèle,

... ou encore : Pardonnez-moi, lors du feu Grand Pardon traditionnel de Pont-Aven, ou de la disparue Grande Cavalcade !!!!!!!!!!!!!

... ou même sur le Grand marché sur les pieds des toutous du mardi sur le port,

... Mais aussi, lors des Grands jours de Mardi Gras !

Qu'en pensez-vous monsieur jean-marie lebret ?

Ah !; Gast ah gast ! : Vous aurez de Grandes promesses de messes basses à nous faire à ce sujet lors de la prochaine campagne électorale ? 

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La froide photo du jour :

Gast ah gast ! : Ça caille sur la Place.

Vivement que les toutous reviennent nous réchauffer les pieds.

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Les grandes fêtes de l'été 2019 du Trou du Cul't ...

de la plouctocratie pontavénaise.

Non : Je ne vais pas vous saouler avec des grandioses fêtes du Culte de la personnalité organisées dans l'enceinte du plus grand Gauguin's-Club

de l'univers des Beaux Arts : Cela m'est strictement interdit.

- Comme quoi l'on ne peut plus bêtement rigoler de la stupidité humaine 

dans ce trou,

... sauf peut-être en se déguisant en christ jaune pour allez manifester autour du rond point de la gendarmerie  ! 

- Comme quoi l'on ne peut même plus mettre en garde les amis de Pont-Aven,

... contre l'inquiétant développement de la :"bien de chez nous"

 ... mortelle Gauguinite aiguë bien dégauguinante.

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Lu dans la presse :

"Pont-Aven : Bâtir un château en briques avec la Lune bleue"

Un évènement organisé dans le Square Botrel :

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Ce square "bien de chez nous" certes,  mais  futur parking à toutous 

en soif de culture et de cidre du coin ! :

N'est-ce pas : Oui ou merde, monsieur le prochain maire du pays du

granit bleu du pays ?

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Vous pensez bien que je me suis précipité contempler l'œuvre de ces bâtisseurs ... un peu dans la lune !

- Tout d'abord, j'y suis allé dire bonjours à Monsieur Botrel et le rassurer sur l'avenir des six clochers à jours en granit du bled.

- Ensuite, pour admirer cette maquette ...

... sûrement inspirée de nos majestueuses Ruines de Rustéfan.

Gast ah gast : Point de Rustéfan dans l'air du temps. 

J'avais oublié qu'il était interdit d'approcher ces superbes et envoutantes ruines.

Qu'un boulet en or tombe sur la tête d'un fêlé, ce n'est pas grave : N'est pas monsieur le rustre maire de Rustréfan ?

Conclusion de ma méprise :

Je continuerai donc à pleurnicher tout seul sur ce plus célèbre tas de cailloux du coin. 

Et puis, pour me consoler, je me suis dit que de la brique en Bois : sans Amour granitique, cela n'avait jamais été vraiment ma tas de thé.

Et puis, pour me consoler un peu plus, je me suis dit qu'en réalité,  je ne buvais jamais de thé. 

Et pourtant dois-je bien dire :  Il y a des gens du coin qui me disent tout le temps :

"Thé un con"

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La toute neuve photo du jour :

"Pourquoi des furieux curieux en tout ont-ils le besoin irrésistible d'approcher les ruines de Rustéfan ?" se demande le fantôme du coin.

Je lui réponds : Parce que des brillants lingots d'or blanc tombent régulièrement du ciel sur ce tas de merde.

C'est moins attirant que la peinture : Bien sûûûr, mais que voulez-vous : Les bonnes choses sont de plus en plus rares dans cette Grande Cité ...
...  des maquettes de chefs d'œuvre en tout genre !

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Ça se fête

Lu dans le presse récemment :

"La maison des jeunes et de la culture fête ses 20 ans"

Non non mes chères pontavénus-beautés, ne vous en réjouissez pas trop vite :

C'est sur Trégunc que cet article a été publié.

Ah ! vous êtes déçues car vous n'avez plus beaucoup d'occasions de jouir autant  à Pont-Aven ?

Je sais : Moi le vieux non plus, mais ne pleurez pas SVP, ce n'est pas si grave que ça.
En effet : Non seulement nous avons un giga-musée pour amuser vos yeux humides de larmes, mais les jeunes trégunoisettes de 20 ans : d'il y a 20 ans !, en ont aujourd'hui 40.

Alors que les mêmes jeunes de Pont-Aven ... ne sont toujours pas nés !!!

Dans vingt ans, les rarissimes jeunes pontavénoursons auront ainsi dans le meilleur des cas, tout au plus 20 ans,

... et ceux de Trégunc au minimum 60 !

Cela dit: Je suis, comme à mon habitude, bien d'accord avec monsieur le maire du Pays de Botrel : Il fait bon vivre à Pont-Aven.

"Vive Pont-Aven et ses filles" chantait Théodore autrefois lui aussi.  

Conclusions :

Et oui : Dans notre trou du cul't  nous avons toujours eu l'Aven d'avoir la chance ...

... de rester toujours jeunes ... quoiqu'il advienne !

"Vive les vieilles  filles de Pont-Aven !" pourrait chanter aujourd'hui Soldat Louis

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La photo souvenir  du jour

BOTREL et sa Cour

"Qui c'est " me demande la CHARLiO'T

Je louis répond :

L'arrière grand père de Soldat Louis.

Celui qui avait inventé la Fête Nationale de Pont-Aven,

en réintroduisant dans la Cité des Pontavénus-beautés ... ... ...l'ancestrale coutume du droit de cuissage !

"Vive la Reine et ses trois Demoiselles d'Honneur (+ son épouse tant qu'à faire)

Le mot rigolo de la fin :

"Serait-ce pour cela qu'il y a des légions d'honneurs qui pleuvent parfois sur la ville depuis ?" me demande l'arrière grand-mère maternelle de la CHARLiO'T

Je la comprends : Elle aussi aurait bien mérité d'être promue !

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