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Extrait du journal "Les Échos" (suite et fin)

Publié le par chercheur d'histoires

Une honte pour qui ? Sûrement pas pour la victime. Où alors, il faut reconnaître qu'aujourd'hui, tout le monde marche sur la tête.

Une honte pour qui ? Sûrement pas pour la victime. Où alors, il faut reconnaître qu'aujourd'hui, tout le monde marche sur la tête.

Extrait du journal "Les Échos" (suite et fin)

Je ne vais pas reprendre ici pour l'instant toutes les accusations que j'avais précédemment  développées sur cet abominable  scandale local *,  mais tout de même : 

* Ce qui m'a valu la censure de ce blog,.  

Corinne vient de vivre une nouvelle année, et surtout un terrible hivers, dans une maison devenue

gravement malsaine  en raison des moisissures et de l'inquiétante forte humidité concentrées dans de ses murs intérieurs occasionnées par d'effrayants dégâts de eaux (qui ont duré trois ans) provenant de la maison en construction de ses voisins immédiats.

Des voisins fortunés, qui ne reconnaissent rien de cela, mais par contre, font tout pour détruire sa vie. 

Pour tout dire en quelques mots : Ce n'est que de l'ignoble sauvagerie  envers une personne fragilisée.  

De surcroît, les faibles revenus ne lui permettent pas de la chauffer suffisamment pour espérer d"améliorer sa situation et atténuer ses souffrances.

Une situation monstrueuse qui perdure depuis plus de 5 ans maintenant .

Monsieur le maire de Pont-Aven : En comparaison, les problèmes "privés" rencontrés par les anciens  locataires des Océanides furent en réalité ... au moins cent fois moins douloureux.

Ils n'ont par exemple jamais eu à vivre des années dans un logement gravement insalubre. 

................................................................................................................ 

Ce que je peux dénoncer aujourd'hui pour terminer cet article, est qu'à Pont-Aven, quatre maires successifs ont donné scandaleusement dans l'apologie des constructions et aménagements illégaux.

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C'est d"une gravité à classer dans le Patrimoine inversé de l'Unesco

....................................................................................................   

- Rivet en autorisant l'implantation d'un camps d'un millier de mobil-Homes dans un espace Boisé Classé :  Une fragile zone humide primaire de surcroît.    

-  Biseau (et son adjoint à l'urbanisme): en délivrant le permis de construire du musée de la CC'â

très gravement contaminé par de très graves irrégularités diverses et nocives pour la vie de la population locale.

- Lebret qui est à l'origine de tous les malheurs actuels de Corinne.

- Dautel qui n'a fait qu'enfoncer le poignard que son prédécesseur avait planté dans le cœur de la victime.

Ne serait-ce pas des exemples très pertinents  de ce qu'est l'APOLOGIE des constructions et aménagements  illégaux ...
...  passibles donc en démocratie de peines de prison fermes ?       

La conclusion du jour :

Une honte pour qui ? Sûrement pas pour la victime.  Où alors : Il faut reconnaître qu'aujourd'hui, tout le monde marche sur la tête.   

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Extrait du journal "Les Échos"

Publié le par chercheur d'histoires

Hélas !  La maison de la honte est toujours debout

Hélas ! La maison de la honte est toujours debout

Extrait du journal "Les Échos"

Voir ci dessous :

A première vue, ce scandale ressemblerait à celui de Corinne. 

Cependant, pour le peu que l'article nous propose, cette affaire me semble infiniment  moins grave de celle de la maison de la honte dont Corinne est victime. Des conflits de voisinages comme celui là j'en ai connu de nombreux durant ma carrière.

Aujourd'hui, les nouvelles règles du code de la construction et de l'urbanisme  devant provoquer sans aucun doute pour moi des déluges de sérieux conflits de voisinage de cette espèce. 

La concentration du bâti urbain exigée reposant que sur de nuageuses incantations sans règle précise menant tout droit vers des révoltes entre voisins.    

Il est question !ci de la construction d'une maison d"une hauteur tout au plus de 8,17mètres  de hauteur au lieu des 7 mètres autorisés, alors que je dénonce dans le cas de Corinne, une construction d'un seul tenant de plus de 17 mètres de hauteur comportant quatre niveaux principaux au lieu des 2 autorisés. 

Il y aurait donc vraisemblablement dans cette affaire  : si j'ai bien compris , un problème de hauteur de construction de faible importance  mais c'est tout.

Dans notre cas, les  innombrables graves délits que j'ai décelés sont infiniment supérieurs. Le problème dans le type de cas signalé dans "les Échos" provenant souvent de la difficulté de définir le niveau du sol naturel sur des terrain chahutés. 

Dans le cas exposé dans "Les Echos" ,  les plaignants bénéficient cependant d'un précieux appui médiatique national, ce qui n'est pas le cas de notre pauvrette Corinne.

Cela dit, je pense qu'il serait à nouveau utile que je reparle de cette abominable atrocité  ici .

Sa dramatique situation ne s'étant pas améliorée :  bien au contraire. 

D'autant plus qu'autour d'elle,  tout le monde s'en fout.

--- Voici l'article paru récemment  dans "Les Échos" -------------------------------------------

Une maison "démesurée" construite sous ses fenêtres : un couple de La Baule saisit la justice
Un conflit entre voisins à propos d'une maison jugée trop haute dans les arrières de La Baule vient d'être examiné par le tribunal administratif de Nantes.
Un couple, domicilié dans les arrières de La Baule (Loire-Atlantique), a demandé mardi 16 avril 2024 au tribunal administratif de Nantes d’annuler le permis de construire « illégal » qui avait été octroyé en mars 2018 à ses voisins pour construire une maison qui « surplombe » désormais la sienne.

Les requérants reprochent en effet au maire de l’époque, Yves Métaireau, d’avoir autorisé la construction d’une « véritable falaise » sous leurs fenêtres, selon leur avocat Me Julien Echardour, au mépris des règles de hauteur du Plan local d’urbanisme (PLU).

Mais le rapporteur public, dont les avis sont souvent suivis par les juges, a proposé de rejeter leur requête : selon ses calculs, le bâtiment ne dépasse pas les « 7 mètres » maximum depuis le sol.

Les présumées « manœuvres » des bénéficiaires du permis « de nature à tromper l’administration » et leur « fraude par fausse déclaration », alléguées par les requérants, ne lui « semblent pas établies ».

« On a hâte que cela se termine »

« Les deux maisons se trouvent dans un secteur où les niveaux de terrains ne sont pas les mêmes : mes clients sont largement au-dessous de celle de M. et Mme XXX, ils ont une sensation de hauteur démesurée », a souligné Me Julien Echardour.

Les hauteurs maximales autorisées par le PLU de La Baule sont « largement dépassées » dans ce dossier puisque la nouvelle maison mesure « 8,19 mètres » de haut.

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Tout ça le même jour dans la presse locale ? (Fin)

Publié le par chercheur d'histoires

Marci Philippe pour cette photo de notre patrimoine industriel bâti, aujourd'hui détruit lui aussi.

Marci Philippe pour cette photo de notre patrimoine industriel bâti, aujourd'hui détruit lui aussi.

Tout ça le même jour dans la presse locale ? (Fin)

Après avoir tondu celle qui s'imagine déjà devenir la conseillère parlementaire de BERN : le futur Ministre de la Culture de la France et de ces télévisionsn, voici venu le "Et alors ?" final de cet article intrusif :

L'association "Pont-Aven Patrimoine et culture" présentant le même jour un article intitulé :

Une exposition sur les costumes à l'été 2025dans la future salle communale en cours d'amévagement dans l'ancien musée (non accessible aux fauteuils roulants non motorisés : bien entendu)

Une exposition s'intégrant donc d'emblée dans la lourdeur de la massification touristique locale.

Une massification de plus en plus fortement critiquée partout ailleurs aujourd'hui : Voir rejetée de façon virulente par les populations concernées.

Rien donc de bon d'annoncé pour les habitants.

Cela était de toute façon à prévoir :  Ses principaux membres  étant  les réalisateurs de la plaquette "Pont-Aven,  la bonne hôtesse" éditée en catimini  dans le cadre du classement de la commune en "Petite Cité de caractère"

- Un Pont-Aven présenté lors de cette opération calamiteuse comme paradisiaque autant que dynamique dans le but d'attirer encore plus de touristes. 

- Un Pont-Aven de plus en plus infernal pour sa population. mais de cela il n'en fut pas question.  

Nous apprenons par ailleurs que malgré une campagne de presse fortement incitative, ils ne furent que 15 à assister à leur réunion mensuelle.

Dont bon nombre issue de la secte du christ jaune.

C'est-à-dire issu aussi de la sphère hermétique du musée de la CC'ânerie au regard du petit peuple pontavénizoneux. 

L'article rappelant que leur association "se consacre à une travail d'inventaire et de recherche avec trois thématiques prioritaires que sont le bâti, le mobilier et les costumes"

La conclusion du jour :

Avec ça, il est sûr que les ruines du manoir de  Rustéfan seront sauvées, que l'ultra moche mobilier urbain communal aussi, et que les 12 précieux et rarissimes costumes féminins locaux de la fin du XIXe siècle que possédait  dans une autre vie cette association referont miraculeusement surface. 

_ Effectuer l'inventaire du mobilier des églises et chapelles du pays : C'est déjà fait  par eux: NON ? 

_, Celui des manoirs du coin aussi : NON ? (sous le règne de Dame la Soutane) 

_ Ceux de leurs  douze costumes vraiment anciens également : NON ?  (qu'ils devaient effectuer en urgence cette année selon leurs dires)

Dans ces conditions : Que resterait-il d'autres à faire pour ces nantis  ?

La photo du jour :

(tous droits réservés par son auteur évidemment)

Marci Philippe pour cette photo de notre patrimoine industriel bâti, aujourd'hui détruit lui aussi. 

Une vue sur l'ancienne conserverie de  Raymond LE GLOUANNEC 

 

 

 

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Tout ça le même jour dans la presse locale ? (Suite de la suite)

Publié le par chercheur d'histoires

Qui sait qui c'est ? (merci Philippe)

Qui sait qui c'est ? (merci Philippe)

Tout ça le même jour dans la presse locale ? (Suite de la suite)

Et encore aujourd'hui ici du : " et alors ?" pour rester dans le fil à tordre les cous de mes farouches rigolos adversaires patrimoniaux,  et pour le coup aujourd'hui mollement festifs ? 

- Pont-Aven : Le cercle celtique local s'offre une séance photos 

Ce cercle pour qui je m'étais aussi démené il y a trois ans afin d'offrir à la population une grande exposition  patrimoniale " Agréable, éducative et interpellante" sur les Grandes Valeurs singulières locales que ce cercle devrait en principe aussi défendre.

J'aurais mieux fait de pisser dans un violon dois-je reconnaître aujourd'hui. 

Théodore Botrel, qui pourtant n'est pas la tasse de thé dans laquelle je bois mon café au café ou à l'eau tous les matins dans un café de Pont-Aven, fut le clou de l'exposition. 

 J'ai bien dit : Défendre au lieu pour les rares membres de ce cercle qui tourne désespérément en rond, de faire uniquement l'été les clowns devant des touristes médusés autant que désœuvrés. 

La population locale ne suit même plus ces touristiqueries.  

Les pauvres : N'étant plus que douze, ils cherchent eux aussi à recruter .

Eux aussi n'ont donc pas compris que les forces vives locales ont petit à petit disparu des radars de la commune.

(Ces forces qui animaient la ville lorsque nécessaire. pour le bonheur de tous) 

Et cela principalement par un terrible manque d'emplois valorisants qui perdure depuis une éternité humaine.

La conclusion du jour :

Ce n'est hélas que le résultat du déni dans lequel se complaît la population locale. 

 

 

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Tout ça le même jour dans la presse locale ? (Suite)

Publié le par chercheur d'histoires

Un personnage de légende (merci Philippe pour ce document)

Un personnage de légende (merci Philippe pour ce document)

Tout ça le même jour dans la presse locale ? (Suite)

Comme je m'intéresse et suis (suivre) discrètement leurs élucubrations afin de les imiter bien évidemment , et comme ici l'on vous dit tout, je reprends donc ma plume de grosse pute  pour me la péter autant qu'eux.

Œil pour œil, dentier contre dentier : Voilà ma devise depuis toujours comme vous le savez. 

Il y a du réchauffé dans ce que j'ai à dire, mais cela fait partie de la règle de notre jeu de cons. 

Alors :

-  L'asso des couilles molles et boules puantes 

Qu'en apprend-on à nouveau dans cette annonce de presse  ?

Ils étaient douze à ce réunir lors de leur dernière assemblée plénière  

Autant donc qu'un gros parquet de crêpes de Pont-Aven.

Gast-ah-gast ! Leur meneuse de troupe en déroute en connait des choses:

En effet, sa nouvelle copine : Rachida Dati, lui révélé les secrets de la complexité administrative concernant la rénovation des monuments.

Notre Ministre a sans doute oublié de lui dire qu'à Pont-Aven, c'est encore pire qu'ailleurs. 

Mais peu importe pour les téméraires membres de cette association d'idiots

En ce qui concerne leur Château de Rustéphan, leur chauffeuse de salle vide  va faire appel aux entreprises qui pourraient faire des dons de barrières anti-intrusion pour sécuriser le site

Quoi, ce n'est toujours pas fait ?  Que se passe-t-il ?

Dormeraient-ils tous : H/24,  dans les lits en baldaquin de cet édifice. ???

Ça urgeait pourtant me semble-t-il

D'autant plus que le seul remède efficace pour le sauvetage des ruines du manoir de Rustéfan  aurait été d'étayer sa tour en urgence absolue comme je l'avais prescrit lors de ma remarquable  exposition sur le sujet il y a deux ans. 

Ce n'est pas avec le placébo proposé par ces inquiétants individus que le miracle sans miracle se réalisera : Mais de cela, très peu de pontavénizonais s'en préoccupent concrètement...

Pour ne pas dire : aucun autre que moi.  

Pour sauver leur article ils ont tout de même décidé de tenir des permanences hebdomadaires sur le marché pour recueillir des dons. mais ça : il l'avait déjà dit il y a plus d'un an. 

Qu'ont-ils donc fait de tous les gros dons recueillis durant cette longue période ?????????????

Et de toutes les façons, qu'en feront-ils lorsque ces majestueuses ruines se seront écroulées. 

Ils feront appel a une entreprise de dégagement pour évacuer le tas de cailloux restant ??????

A suivre demain

La photo du jour :

Un personnage de légende pour tous ceux qui s'intéressent sérieusement au "vestimentaire" local 

Merci Philippe pour ce document

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Tout ça le même jour dans la presse locale ?

Publié le par chercheur d'histoires

Photo de, et par,  Philippe DUBEAU prise dans sa jeunesse Pontavénoise.

Photo de, et par, Philippe DUBEAU prise dans sa jeunesse Pontavénoise.

Tout ça le même jour dans la presse locale ?
Pas de panique : Soyez rassurés, en réalité il ne se passe plus rien d'heureux, d'agréable, de positif, ni même d'intéressant à Pont-Aven depuis longtemps.

Tout va bien et tellement bien que même ...

la sinistrose de mise a atteint les cerveaux des commerçants les plus touristiqués :

C'est pour dire ! 

Que se passe-t-il donc de si désastreux dans cette Cité où il fait si bon vivre selon tous les maires successifs de la commune ?  

Pour tout dire: Très peu de touristes à visiter le pays de Gauguin depuis l'été chaud dernier; mais aussi très très peu de  pontavénizoneux à  circuler de façon régulière dans le centre historique de la commune, et encore moins à y stationner bien sûr : 

Voilà la situation actuelle dont il est interdit de dénoncer sans risquer une excommunication municipale. 

---------

Non donc rien de nouveau, mais bizarrement , les trois associations qui  avaient décidé concomitamment il y a un peu plus d'un an, de saboter la création de l'association : "Pont-Aven : Patrimoines, Cultures et Environnements" que je  m'apprêtais de créer, viennent de présenter le même jour dans la presse leurs différents  très nombreux et remarquables nouveaux loufoques projets.

Pour eux tout va bien dans le meilleurs des mondes 

Ce n'est pas difficile d'y parvenir ... en paroles , il suffit de se complaire dans le déni total de la situation. 

....................................................................

A demain si vous le voulez bien ! 

La photo du jour :

J'ai reçu de Philippe DUBEAU une riche collection de ses photographies.

Ùne collection de grand intérêt pour la mémoire locale qu'il m'a transmise afin que je puisse en faire bon usage et vous les présenter au moins partiellement.

Attention : Nous devons pour autant  respecter ses droits d'auteur sur ces documents .

Je vous en avais déjà présentées deux ou trois il y a quelques mois, en précisant qu'il serait très intéressant qu'il puisse en exposer localement.

Le problème est  qu'à Pont-Aven il n'y a plus de salle communale adaptée à ce type d'animations culturelles de bon niveau :

Un exposition qui serait pourtant très :  "Mad in Pont-Aven" 

Dommage que tout le monde s'en fout

La poésie du jour :

 

  • je m'en fous
  •  
  • tu t'en fous
  •  
  • il/elle s'en fout
  •  
  • nous nous en foutons
  •  
  • vous vous en foutez
  •  
  • ils/elles s'en foutent

 

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K'ont-ils inauguré en grandes pompes ?

Publié le par chercheur d'histoires

K'ont-ils inauguré en grandes pompes ?

 j'ai fait de la réclame la semaine dernière ici pour cette nouvelle inauguration dautellienne en réclamant d'ailleurs un peu plus de modestie et de sincérité dans ce type d'activités la mieux partagée par tous les politiqueux mondiaux.

Comme je l'avais prévu, l'inauguration de la maison de santé a été inaugurée en présence de l'habituel cortège des Grands Pompes Départementales.

Et comme le veut le protocole consulaire pontavénain, les présents ont eu le droit à de grosses couches de pommade adoucissante; et même pourais-je dire sans me tromper : des surcouches sur surcouches culottes.

Ce n'est pas possible qu'ils puissent croire sérieusement tout ce qu'ils ont raconté lors de cette inauguration (à répétition) : Ceux sont des humains tout de même !

C'est la raison pour laquelle je me demande s' ils ne se sont pas gouré d'établissement en imaginant inaugurer une nouvelle  pharmacie à Pont-Aven !   

Avec autant de pommade et de couches ils auraient : c'est vrai, pu s'y croire.

Ce qui m'a particulièrement plu dans les commentaires sur cet évènement publiés dans la presse locale est la reprise des comptes financiers de l'opération d'aménagement de ce dit  multi-services. 
... 
  Avec la présentation du coût de l'opération et des diverses subventions allant avec :

... acec afin d'adoucir la facture pour la commune. 

Si j'ai bien compté, c'est la sixième fois que Christian annonce médiatiquement ce bilan tronqué à ses paroissiens.

Penserait-il qu'ils soient tous des ânes ?

Tronqué  : oui, car il oublie le coût de l'achat du terrain et celui de la construction existante que la commune avait financés aux débuts des années 1980.
Un bâtiment qui était en parfait état et qui ne demandait qu'à être réutilisé tel quel ...

... après avoir reçu sur ses murs, bien entendu : 

... une simple couche de peinture. 

La question enquiquinante du jour :

Vivons nous  aujourd'hui  à Pont-Aven dans le cadre national d'exigences réglementaires liées à la notion de durable en matière architecturale, urbanistique et environnementale ? ...

Et bien : Sûrement pas pour l'instant : bien au contraire :

Les municipalités successives n'ont de cesse de détruire, de vendre, de dilapider, de réaménager coûteusement souvent provisoirement, de déménager sans cesse, tous les biens communaux. 

Un vraie et très coûteuse folie furieuse qui perdure depuis des lustres. 

La conclusion du jour :

Et après tour ça: Que reste-t-il de positif pour la population ?

Et bien quasiment rien de bon, contrairement aux propagandes municipales   

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Le BLOG NOTES du jour

Publié le par chercheur d'histoires

Le BLOG NOTES du jour

Pont-Aven :

 L'un de nos deux can'arts des coins-coins du coin nous a apporté des nouvelles fraîches sur le devenir de l'établissement de logements de vieux dit "les Océanides" dont les locataires avaient été virés brutalement en septembre dernier.

Un aubaine pour monsieur le maire qui en avait profité amplement pour faire semblant de compatir de tout cœur avec ces victimes.

En tout les cas, ils avaient tous été relogés rapidement  manifestement sans aide concrète municipale. Ce n'est qu'un constat. 

Nous venons d'apprendre ce que nous savions tous déjà :  Cet établissement va tomber dans le giron de la massification touristique pontavéniaise. 

Ce qui prouve bien ce que je ne cesse de déclarer ici depuis longtemps : Pont-Aven n'a pas de plan B pour échapper à cette terrible et mortelle massification en marche forcée. 

Pour autant, une nouvelle fois monsieur le maire en a profité  pour mettre en avant ses grandes qualités humanistes : 

Il regrette cette nouvelle affectation des lieux. En effet, à ses dires, il aurait espéré qu'elle soit orientée vers du logement social : Voir des logements pour les intérimaires saisonniers qui manquent crûment dans le coin.

Mais Christian, récemment tu nous as informé que tu avais trouvé un promoteur immobilier pour acquérir la maire actuelle.

Cependant, tu ne nous as pas dévoilé le cadre de son affectation future  ... !!! 

la conclusion du jour :

Voilà encore l'un des multiples et énormes problèmes qui auraient dû être pris en compte avant de décider de construire un gigantesque musée dans le p'tit centre ville de Pont-Aven.

.........................................................................................

Voilà bien un aubaine pour toi qui tombe à pic  : NON ?

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Ce musée que Christian affectionne portant beaucoup. 

Pourquoi aucune étude préalable, aucune étude des impacts de ce projet sur son environnement et sur la vie de la population n'ont été menées ? 

La grande majorité des problèmes insolubles que la population vit actuellement ne sont que des conséquences de ces scandaleuses inconséquences politiques et administratives.    


   

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Un avis cinquantenaire (suite et fin)

Publié le par chercheur d'histoires

En 2012, lors de la grande fête de la fermeture définitive de ses volets

En 2012, lors de la grande fête de la fermeture définitive de ses volets

Un avis cinquantenaire (suite et fin)

Comme la question enquiquinante déposée ici hier matin est restée sans voix comme prévu,  la brave CHARLiO'T a accepté de mettre son grain de beauté verbale  sur la table du féroce débat provoqué par cet article.

Son idée pour enjoliver la nouvelle funèbre façade de l'ancien hôtel Julia serait d'y accrocher des pots de fleurs.  

Pourquoi pas, cela aurait pour effet de réjouir nos touristes désœuvrés, mais des fleurs de quelle nature faudrait-il choisir ?

Vous n'en avez aucune idée ?

Moi je sais, mais ne compter pas sur moi pour vous faire une fleur !

La photo souvenir du jour :

Avec de l'imagination et du talent, et un peu moins d'orgueil et de folie des grandeurs ravageuse, il aurait été certainement possible de conserver intact le "caractère singulier" de cet ancien célèbre hôtel Julia. 

... Et aussi pour le plus grand plaisir des fauteuils roulants circulant devant cet édifice, comme cela était le cas jusqu'à cette date fatidique pour eux. 

La conclusion du jour :

Cette façade était l'un des éléments architecturaux de caractère qui caractérisaient notre ancienne Cité de Caractère, soit dit en passant par là aujourd'hui !

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Un avis cinquantenaire

Publié le par chercheur d'histoires

Un avis cinquantenaire

Un avis cinquantenaire

Pas de moi : il est présenté par un  monsieur "anonyme"

Cependant, j'aimerais bien aujourd'hui participer à un grand et sérieux  débat sur le même sujet, dans le cadre d'une sincère démocratisation des actions publiques et politiques locales.  

Un sujet qui reste totalement d'actualité en fait.

la conclusion du jour :

Rien ne change dans ce trou du cul't des dégagismes systématiques  de nos grandes Valeurs  singulières. 

Qu'aurait pensé cet anonyme s'il avait vécu par exemple la mise en place d'un  bardage de la façade intouchable de notre ancien hôtel de ville par d'affreuses plaques d'acier aussi noires qu'un corbillard en deuil ? 

La question enquiquinante du jour :

Qu'en pensez-vous les constant naïfs citoyens de Pont-Aven ?

 

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