Le 10 août 2017

Publié le par chercheur d'histoires

Il ne reste à Rustéfan que des fragments d'architecture, mais : Ô ! combien fascinants

Il ne reste à Rustéfan que des fragments d'architecture, mais : Ô ! combien fascinants

Le 10 août 2017

Changeons un instant de sujet pour revenir sur l'article précédent que je n'avais pas achevé comme il se doit chez les fouteurs de merde qui se respectent.

La Belle Epoque des voyageurs, des Peintres, et des théâtres botrelliens, avait laissé des traces dans l'esprit et le caractère des générations suivantes.
De tout ça, il ne reste plus une seule miette, et pour moi : que de la nostalgie.

- - - Suite - - - 

Les touristes d'aujourd'hui déboulent dans ce creux pour en ressortir sans supplément d'esprit,  sans rien n'avoir appris de nouveau : ni sur ce merveilleux Pays d'Astérix, ni sur ses artistes de tout poil de pinceau. 

C'est pourtant ce que la propagande mensongère pontavéniaise leur avait vendu.

99,99 % d'entre eux viennent chercher du gauguin, rien que du gauguin du coin, et ils repartent comme des dindons déplumés.

Le pire du comble des malheurs est qu'il en est de même pour ceux qui viennent aujourd'hui s'installer dans la durée dans ce "pays des maisons de retraités".

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La chute de fin de l'article :

S'imprégner de Pont-Aven pour s'y intégrer et y vivre pleinement sans s'ennuyer à mourir, ne peut plus à mon sens se concevoir sans la création d'une association du type que je propose.

Une association patrimoniale et culturelle :  un peu "Comité de salut public" à ses heures, et un peu "Comité de lutte pour la moralisation des actions publiques" lorsque nécessaire.

Gast-à-gast : Il y a vraiment du boulot sur la planche sur la toile des artistes de Pont-Aven, croyez moi !  

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