C'est la guerre (acte 2)

Ne vous souvenez-vous pas monsieur le premier magistrat de la commune que dame la mairesse avait officiellement déclaré dans les médias que ce transfert permettait à la commune de Pont-Aven de faire de substantielles économies sur les comptes de fonctionnement de son petit musée.

Il est vrai que ces frais, en constante augmentation depuis 2006 !!!, commençaient à étrangler dangereusement les finances de la commune. 

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la CHARLiO'T souhaite poser sa question du jour ici.

"Au fait monsieur le comptable municipal : Qu'en est-il aujourd'hui ???

Répondez-nous SVP : La population s'en inquiète légitimement" 

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Cela dit : N'oublions pas que le premier élu qui osa parler de cette manne (de 310 000 € tombée du ciel de Pont-Aven directement dans les comptes de la  CCânarie,) en demandant des comptes aux bénéficiaires de ce très-très-très mauvais tour de cons envers la population de base, fut en 2016 Jean-Claude LEBRESNE devant le conseil communautaire. 

Il fut bien le seul des trois représentants de Pont-Aven. Les deux autres, dont Monsieur le maire de Pont-Aven, firent lamentablement profil bas face à cette juste et nécessssssssssssssaire réclamation.

Souvenez-vous de l'attaque médiatique qu'il reçut alors, de la part d'une élue de Concarneau (voir le document du jour)

Monsieur le maire de Pont-Aven et de ses banlieues, dans l'intérêt général de votre commune et de ses habitants, il aurait pour le moins été heureux que vous exigiez un droit de réponse - à la hauteur des enjeux de votre pays - à cette communication médiatique agressive envers la population de Pont-Aven.

Il est tout du même fort des pieds que maintenant Monsieur le premier magistrat de Pont-Aven vienne quémander la bienveillance des élus des autres communes de la CCA afin de soulager son petit peuple meurtri du poids du cadeau Royal que lui-même et sa mairesse avaient offert à la communauté en 2014.

Mais pour obtenir des résultats, encore faudrait-il qu'il sache exprimer de façon compréhensible la dramatique situation dans laquelle vit actuellement sa population de base, après que ce petit peuple ait été chassé manu militari du centre historique de sa commune afin de laisser libre Place (Julia) à d'autres. 

A SUIVRE

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Le document du jour :

Deux poids, deux mesures ? NON, une attaque en règle,

... que l'on a senti mettre !

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C'est la guerre (Acte 1)

Une grosse surprise cette semaine pour les ponavénoursons en ouvrant leur canard préféré pour prendre connaissance des dernières réjouissances des élus lors de la dernière réunion du conseil municipal.
Monsieur le maire de Pont-Aven a carrément déclaré la guerre aux Bulgares. 

Aux armes citoyens !

"Personnellement je trouve ça plus rigolo que des "rigololos plein de poils" me chuchote dans les poils de mes oreilles la pulpeuse CHARLiO'T

Bon : c'est dit, mais moi je commence par quoi ?

Il y a à boire et à manger pour tout le monde dans les réjouissances offertes par nos incrédules élustucrudités pour les fêtes des faims de fin d'année. 

- Une guerre pour 310 000 € ?

Je trouve ça un peu fort de caféine tout de même.

Bien que  ... ?

J'ai été le premier ici à parler et dénoncer ces 310 000 €/an que la précédente municipalité avait "par inadvertance ???" offert en cadeau d'amitié à la CC'ânerie, en nous ayant soulagé de notre musée pontavénain, 

... et de tout ce qui allait avec !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 
... c'est-à-dire le meilleur du patrimoine communal,

... et la mémoire locale qui allait avec !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 

Monsieur le maire remet donc au goût du jour l'un des énormes scandales que j'avais décelés en ces tragiques temps.

 C'est-à-dire lors du transfert du musée de Pont-Aven vers cette structure communautaire.
Un transfert mortifère pour la Cité des anciens Peintres de talent, faudrait-il aujourd'hui reconnaître, s'il restait des vivants bien portants sachant observer l'évolution de la déchéance en marche du pays.

"C'est époustouflant" s'exclame bruyamment la CHARLiO'T 

Monsieur le maire de la Cité des anciens Peintres de talent : N'avais-je pas déclaré sur ce blog "d'andouilles purée beurre noir du coin",  que la précédente mairesse (évidemment en accord avec ses adjoints dont Jean-Marie LEBRET) avait sacrifié l'avenir de Pont-Aven sur l'Hôtel du futur musée ?

SVP Monsieur le maire de Pont-Aven :  Pourquoi qu'à cette époque,  vous-même ainsi que les autres dirigeants du Pays de la Peinturlure, n'avez-vous jamais osé en informer vos concitoyens de cette minable entourloupette ?

Cette charge est effectivement très lourde à supporter, comme vous venez très tardivement de le reconnaître cette semaine, alors pourquoi ce lourd silence coupable durant si longtemps ? 

Ne seriez-vous pas capable d'avouer au moins vos faiblesse passées ? 

Ne vous souvenez-vous pas que madame la mairesse avait officiellement déclaré dans les médias ... ? 

A suivre demain

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Le document du jour :

Lu dans la presse régionale de l'après guerre ... en 1947

"Le porc à la culture" ????????????????

Si longtemps après la fin de la guerre, il y aurait eu de quoi faire de beaux jeux de mots,

... si Pont-Aven ne venait pas d'ouvrir de nouvelles hostilités envers un pays beau-frère !

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Un petit tour du Finistère des prévisions de débordements de cadres en 2019

- Quimper :

Le musée des Beaux-Arts vient de dévoiler dans la presse ses projets d'expositions jusqu'en 2022

En 2019, il va s'associer au musée Breton pour nous offrir une rétrospective consacrée "aux derniers impressionnistes"

J'espère que les conservateurs de ces musées auront le tac de consommer avec modération les "post", "néo", et autres trucs-machins-choses stupidement assimilés  aux vrais impressionnistes.

Ça devient tellement rare de nos jours !

De 2019 à 2022 nous aurons le droit à de "L'Amour Fou ???", du Dufy, du Moret (à nouveau !) puis du Gauguin-Monfred-Fayet (du classique) avant la Grande Exposition en honneur aux 150 ans du Musée des Beaux-Arts de Quimper.

Ce que j'ai apprécié le plus dans le communiqué est bien entendu la modestie de ses auteurs.

Cela aussi devient rare ! 

Cela dit, j'ai surtout retenu le dernier paragraphe de l'annonce publiée dans l'un de nos deux can'arts des coins-coins du coin. 

Un sublime pied de nez rouge (ou jaune ?) à leurs deux principaux concurrents : Vous ne trouvez pas ???

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Mon petit mot de fin d'article s'adresse aujourd'hui à Monsieur Leclerc qui n'a accueilli cette année que 80 000 Amateurs d'Art dans l'ancienne épicerie de son père.

Attention mon vieux : D'en faire trop à l'internationale ne répond peut-être plus aux nouveaux besoins et exigences des Bretons : 
... Ces nouveautés de consommer du local !!!

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Et à Pont-Aven dans tout ça ?

J'ai beau écarquiller les yeux, je ne vois aucune bonne surprise à venir pour l'instant.

"Même pas un petit Traou Mad de chez nous ? " me demande : affamée de Culture au beurre fin, la gourmande CHARLiO'T

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​​​La prophétie des couleurs (fin)

Mais ça, personne ne veut le comprendre en réalité. Rien ne changera donc jamais pour les plus malheureux d'entre-nous.

- - -   suite  - - -

Je pourrais ajouter si je ne craignais pas de me faire de nouveaux amis !, que je ne comprends pas pourquoi le mot "employeurs" est banni à ce point.

Dans les visions de la télévision, et les papotages de potaches jaunissants, on ne prononce que le mot "riches" synonyme de salauds, bien entendu.

"Il faut faire payer les riches" entend-t-on depuis quelques semaines sur les barricades en carton d'emballage.

Je suis d'accord par sympathie avec mes origines, mais pas sur la manière de refaire le monde proposée par les pochtrons de mes bistrots préférés et leurs acolytes en veste de velours.

En effet, le meilleur moyen ne serait-il pas de contraindre les riches à partager leurs mannes mal acquises, avec le nouveau million de patrons qui manque tant au Pays ?

Des patrons "progressistes" qui bien évidemment, partageant : bien sûr, leurs économies avec leurs employés en bleu de chauffe, ... 

... mettant ainsi leurs grands principes sociaux en pratique ... eux-mêmes.

La boucle serait ainsi bouclée pour les gilets jaunes, qui ne seraient plus alors obligés de continuer à se serrer la ceinture.

"Et que se passerait-il dans le cas contraire? " me demande l'incrédule CHARLiO'T

Rien ne changerait comme je viens de le dire, car en embauchant des millions de chom'dûs, les riches seraient encore plus riches tout simplement.

Conclusions :

Et c'est pour cela que chez les pontavénizonœuds-nœuds, on ne crée plus d"emploi valorisant depuis un demi-siècle.
"C'est pas grave" me dit la CHARLiO'T  "Depuis bien longtemps, on a le christ jaune pour nous consoler !!!"

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La photo du jour :

De l'embellissement du centre du bourg sans doute ??? 

Pour moi l'andouille purée beurre noir, je pense qu'une touche de jaune permettrait de rajeunir l'esthétique de ce beau paysage urbain. 

"J'ai une idée" me dit spontanément la CHARLiO'T

"Cette splendide banderole pourrait peut-être servir de portemanteau de gilets abandonnés dans la rue"

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La prophétie des couleurs (début de la fin)

Cela dit, moi le prophète des couleurs sombres, mais également l'idiot du village des tubes de peinturlure, qu'aurais-je pu postillonner dans le verre de mon voisin de bar pour faire le malin crétin beurré de noires idées ?

Vous ne le savez sans doute pas, mais lorsque je suis aussi bourré qu'un complexé, et que mon cerveau devient aussi spongieux qu'une éponge trempée dans des multicolores stupidités, je deviens capable de dénombrer parmi mes amis en bleu de chauffe, au moins cinq millions de sans

emploi aptes au travail.

Lorsque je me retrouve aussi beau qu'un gilet jaune devenu rouge de colère, c'est mon verre de spiritueux qui commence à se demander où sont passés les "un-à-deux" millions d'employeurs nécessaires pour que ces cinq millions d'amis puissent enfin porter une vraie tenue de travail ?

Et moi dans ma soûlographie, de rajouter dans ma blanche tasse de lait chaud

que ça fait tout de même une vraie armée de déserteurs bien planqués, que l'acharné chercheur d'histoires que je suis, voudrait bien voir s'extraire de leurs profondes tanières !!! 

Ça fait tout de même des dizaines de milliers de tonnes de barbaque perdue qui permettraient non seulement de nourrir tout le monde, mais également de soigner et de loger dans de bonnes conditions tous les sans dent de la Nation.

Ça permettrait en outre de boucher les trous des caisses de retraite.

De surcroît, ces hypothétiques nouveaux employeurs apporteraient les fonds nécessaires à l'engraissage des troupes régaliennes de l'Etat de droit,...
... et sans doute même les autres troupeaux de fonctionnaires en surpoids ! 

Cet état lamentable subsistera hélas tant que les déserteurs que je dénonce ne seront pas débusqués.

Où êtes-vous ? que faites-vous ? Où vous planquez-vous les braves ?

"Et tant pis pour les beaux gilets jaunes Mad in China qui n'auront plus d'emploi" me susurre la CHARLiO'T

Mais ça, personne ne veut le comprendre en réalité. Rien ne changera donc jamais pour les plus malheureux d'entre-nous.

Suite et fin demain matin

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La prophétie des couleurs (suite)

De l'hystérie collective avais-je déjà déclaré ici il y a quelques mois.

Cette fois : de surcroît, ils ont même réussi à grimper aux rideaux des bistrots.

- - - Suite  - - -
En effet, dans ces situations qui se répètent de plus en plus, le peuple n'a plus pour autre choix médiatique que de subir les insupportables débits de paroles autant ringardes que sans profondeur, que l'on ne pouvait entendre jusqu'à présent que dans les débits de boissons du monde rural.

Un peu de hauteur SVP les princes de la communication !

N'y aurait-il plus de murailles infranchissables entre ces deux mondes ?

Les médias auraient-ils soudainement décidé d'éduquer le petit peuple qui en a tellement besoin pour s'épanouir comme les Urbains ?

Les grands journalistes parisiens auraient-ils décidé de nous enivrer de Culture ? 

"A la tienne Etienne" clame la CHARLiO'T 

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le document du jour :

(A consommer avec modération sur les barricades de la Culture) 

Je vous propose aujourd'hui un poème de bistrot

(rapporté d'Indochine en 1948 par un soldat de Pont-Aven)

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- Moi le plus fidèle pilier des anciens bars de Pont-Aven j'aurais dû m'en réjouir, mais non *.

Je suis autant furieux que jaloux car je n'ai pas pu baver à ma guise autrement que sur mes chaussons devant mon téléviseur en couleur.
Pour éviter de m'exciter, j'ai rapidement fermé la trappe d'accès ... ...  à cet attrape-nigaud.

- * Non, car j'avais en réserve dans ma musette à casse-croûtes quelques brèves de bistrot en attente.

"Quoi donc ?" me demande la curieuse CHARLiO'T

Tout d'abord, je pense sincèrement qu'à Pont-Aven, ce n'est ni des bonnets rouges, ni des gilets jaunes qu'il nous faut, mais plutôt des gilets de sauvetage et subsidiairement des bonnets de bain.

Cela dit, moi le prophète des couleurs sombres ...

A suivre demain

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La prophétie des couleurs

Les gilets jaunes seraient-il des prophètes eux aussi ?

C'est la question que me pose aujourd'hui la CHARLiO'T : Ma maîtresse d'Ecole de Pont-Aven préférée. 

 "Quelle question tordue comme un pen-baz, tu es dans le colt'art " me direz-vous en vous moquant de moi.

Vous avez raison, je ne supporte pas le jaune : Il me donne la rougeole,

... et les bonnets rouges ? : ...
...  la jaunisse !

C'est tellement grave pour moi que j'ai dû badigeonner de coaltar tous mes tableaux de Gauguin pour arriver à reprendre de la couleur.

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Mais ce n'est pas tout.
Je suis dans la merde car je serais incapable de répondre à une question aussi complexe, ...
... surtout de façon aussi convaincante que les Grands Experts de la Télévision et autres écrans plats.

Durant plus d'un mois, tous ces génies de la formule ont réussi l'exploit de déblatérer H 24 sur cet unique sujet ... en nous privant de tous les autres. 

- Déblatérer autant que précédemment sur les faux agriculteurs écolos de Notre Dame des Landes, que sur le transfert en enfer de la dépouille de Jojo, que sur l'affaire du siècle d'un certain garde-corps ne portant pas l'uniforme réglementaire, etc.

- Déblatérer autant qu'il y a deux ans, sur le prix d'une veste délavée sans couleur comme celle des dépravés ... !!!

De l'hystérie collective avais-je déjà déclarée ici il y a quelques temps.

Cette fois de surcroît, ils ont même réussi à grimper aux rideaux des bistrots.

A suivre demain

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Les salles des ventes bretonnes en cette fin 2018

Pour changer de sujet, je vous propose aujourd'hui un tour d'horizon de ces ventes proposé par un ancien amateur d'art aujourd'hui dégoûté du système politico-culturel en place chez nous les andouilles purée beurre foutu.

Prologue :

Mais où sont les toiles d’antan ?

Pont-Aven souffre d’une « gauguinite » chronique qui débouche sur un commerce de cartes postales on ne peut plus fructueux. C’est peu, pour être à la hauteur d’une réputation qui fit naguère le tour du monde. Mais où sont passées les toiles d’antan ?

(Extrait d’une plaquette écrite par Xavier GRALL, publiée par les Editions « CALLIGRAMMES » en1983)

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- Brest :

Vente d'un ensemble d'œuvres "post-Ecole de Pont-Aven"

Intéressant à voir mais sans plus. On y retrouve à peu près la même marchandise tous les ans. La même chose pour tout dire que dans le TPPA  (le Temple de la Peinture de Pont-Aven)

Vous ne trouvez pas ça lassant à la fin ?

Moi si, mais je dois dire aussi que ça fait plus de 50 ans que j'observe la musique spéculative de la peinturlure autour de moi.

- Lorient :

Vente du fond d'atelier du pontavén"art"iste :  Fernand Daucho

Soit 115 lots proposés à petit prix.

Si vous acceptez mon avis, choisissez de préférence les tableaux signés Fernand Dauchot au cas où il y en aurait dans cette vente.

- Quimper :

Vente de quelques dessins de Marcel Gonzales proposés à très petits prix !!!

A mon avis, réfléchissez : Il est trop tard pour perdre de l'argent en misant sur ce cheval de traits de crayon.

Profitez-en les spéculateurs !!!

et notre cher Dédé la Braguette ?

Attendez, son tour reviendra.

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Le document du jour :

Il y a des petits malins à croire encore aux effets spéculatifs de la gauguinite. 

La pensée du jour d'un chercheur d'histoires :

"Ce serait à croire que ça marche toujours aussi bien que d'antan !!!"

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Les abords de l'antique Moulin LIMBOUR (fin)

"Sauve qui peut et basta pour les autres : Le bateau-lavoir coule"  rajoute dans le chaudron à linge la CHARLiO'Titine : Notre chère laveuse de cerveaux ...
... sales 

--- Suite - - -

Voilà bien un exemple très fâcheux des conséquences directes de la construction du musée de la CC'ânerie : Vous ne trouvez pas ?

- Un immense musée totalement démesuré au regard de la faiblesse des possibilités d'accueil du centre historique de la ville :

En particulier en raison de la faiblesse des accueils des voitures, et pire : de l'absence de stationnement "hors chaussées" pour les autocars touristiques !!!

- Un musée dont la construction ne respecte pas les strictes règles d'urbanisme en vigueur concernant l'obligation qui était faite à ses initiateurs (la CCA) de construire les stationnements de proximité nécessaires à son fonctionnement. 

Je parle tout de même d'environ 400 places de stationnements pour toutes sortes de véhicules : bagnoles, cars, véhicules de livraisons du musée, etc.

Dans les pièces écrites du permis de construire du musée, il était pourtant précisé que des stationnements pour les autocars seraient créés hors chaussées, mais sans en préciser l'endroit exact ????????????????????

... mais également des stationnements des véhicules des automobiles des personnes à mobilité réduite fréquentant ce musée, autres que les parkings déjà aménagés à cet égard pour les habitants et les clients des commerces, bureaux, et autres entreprises publiques ou privées du centre bourg !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 

Mais que fait donc la municipalité pour y remédier ?
Elle vient de constituer un comité de réflexion sur les stationnements.

Un comité totalement mité, dois-je préciser.

"Pourquoi mité ?" me demande la CHARLiO'T

Pour ne pas dire dynamité comme ce sera forcément le cas dans ce caca car il n'y a pas de solution-miracle à attendre.

En effet, leurs décisions ne pourront apporter que des contraintes supplémentaires à la population.

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Les photos du jour :

Des aménagements de stationnement illisible avais-je dit ici il y a peu.

Même les employés de la banque y perdent leur latin : C'est pour dire !

Attention : il ne reste que 18 jours pour entreprendre et achever la mise à niveau "pour les handicapés" des intérieurs des établissements du coin recevant du public.

Conclusion générale :

J.M. : Où es-tu ?, que fais-tu pour faire respecter les Lois de la République sur ton territoire ?

La CHARLiO'T me demande de déposer une alerte, à qui de droit.
Une alerte sur le non respect des règles d'accessibilité des handicapés sur ta commune ...
... par certains "privilégiés" du système politique en place. 

Concernant les abords immédiats de la Salle Julia par exemple, et que monsieur le maire a fait aménager dès sa prise de pouvoir, dans le cadre de la construction du musée de la CC'ânerie ?????     

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Les abords de l'antique Moulin LIMBOUR (suite)

Mais enfin : Pourquoi les vieux mal fichus ou mal foutus pontavénounours doivent-ils vivre dans un infernal engrenage de restrictions de Liberté de plus en plus contraignant pour eux ?

Je vais vous dévoiler l'une des raisons en guise de conclusion de ce lamentable constat. 

- - -  suite   - - -

Ce n'est pas par pur hasard que le responsable de la banque a agi de la sorte.

En effet, aux débuts des années 1980, après la fâcheuse démolition de la minoterie Limbour, cette imposante banque fut construite sur son emplacement. A l'époque, bien entendu, chacun pouvait encore espérer que le dynamique centre de Pont-Aven puisse continuer à se développer économiquement.
Hélas, il n'en fut rien. Depuis 1984, date de l'agrandissement de notre feu petit musée, cette économie promise en raison du séjour de Gauguin à Pont-Aven ? ? ? n'a cessé de péricliter ...

... Et le nombre de ses habitants  dans le centre historique de se réduire jusqu'à très bientôt le néant.  

Dans les étages de ce nouveau édifice néo-breton, un cossu appartement fut aménagé pour le directeur de l'établissement.

Depuis quelques années, ce directeur devenu inutile dans ce pays en profonde régression en matière d'activités de proximité est remplacé par des locataires. 

Oui mais, comment vivre aujourd'hui dans le centre de Pont-Aven lorsque l'on ne dispose plus de stationnements publics adaptés à la vie ordinaire de ses habitants ???

"Et vl'an en plein dans le mille"  déclare la sans-garage pauvre CHARLiO'T.

Cette préoccupation s'est présentée concrètement aux propriétaires de la banque, d'où leur décision de réserver à leur locataire un emplacement de stationnement, marqué par une barre métallique, placé juste au-dessus de l'ancien lavoir public.

"Sauve qui peut et basta pour les autres : Le bateau-lavoir coule"  rajoute dans le chaudron à linge la CHARLiO'Titine : Notre chère laveuse de cerveaux. 

Suite et fin demain matin

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