Et si cette année encore, je continuais à vous conter Pont-Aven (IV)
Et si cette année encore, je continuais à vous conter Pont-Aven (IV)
Ayant de la suite dans les idées, je continuerai bien entendu à proposer des projections de photographies à l'HEPAD de Pont-Aven.
J'ai accumulé des milliers de fichiers de photos à projeter qui n'attendent que ça.
Actuellement, j'y expose quelques vieilles planches d'images d'EPINAL inspirées par la Bretagne et ses traditions religieuses ou coutumières.
Mais pour tout dire, si je mène sans relâche toutes ces actions patrimoniales et culturelles, ce n'est pas par intérêt personnel ou pour bêtement crâner, mais dans un objectif d'un tout autre niveau :
Celui de mettre sans arrêt sur le devant de la scène, la nécessité de la création d'une nouvelle association patrimoniale et culturelle "Bien de chez nous"
Pont-Aven n'étant plus que le champ de ruines de son illustre passé, ne serait-il pas hautement utile que les pontavénounours se réveillent, afin de sauvegarder et mettre en valeur le peu qu'il reste du Patrimoine collectif que les générations antérieures leur ont transmis ?
Partout autour de la Cité des anciens Moulins des actions de ce type naissent et se développent à grands pas.
Ouvrez les yeux :
A Pont-Aven, les biens patrimoniaux et culturels communs sont de plus en plus délaissés, saccagés ou détruits. Les meilleurs d'entre eux ayant été en 2014 usurpés par la CCA :
Je parle de la Grande Histoire Picturale du pays y compris les archives et les tableaux communaux allant avec, de l'Hôtel de ville, de la Grand'Place, des parkings de proximité, des Grands parkings extérieurs, sans oublier la FIERTE perdue des habitants du coin.
Les emplois valorisants ont volés en éclats à l'exception et au profit d'un seul !
La Mémoire collective, l'esprit particulier des lieux et autres Valeurs communes, s'estompent à grands pas-de-géant.
Et pourtant : Paradoxalement, des publications se proclamant "rattachées culturellement à Pont-Aven" pleuvent de plus en plus sur ce pays dégénéré.
Mille fois hélas, il faut bien constater que plus la ville en est douchée, et plus le règne de l'inculture asséchée se répand sur lui sans que personne d'autre que moi ne s'en offusque.
C'est un constat : Les publications : dites historiques, sont de plus en plus truffées d'erreurs et de fautes impardonnables.
Des erreurs de plus en plus monumentales.
A qui la faute : Aux historiens ? ...
Ne serait-ce pas plutôt aux dirigeants et à la population de Pont-Aven :
Une tribu inconsistante et sans but (ou presque !), plus capable d'apporter de vraies informations sur l'histoire et la mémoire de leur pays ?
Ce pays est devenu Culturellement mort : Mort de ses excès de spéculations, de ses démesures, de ses orgueils, de ses complexes de supériorité en tout genre, de ses folies des grandeurs,
... Mort d'une gauguinite aiguë que plus personne n'est capable d'endiguer.
je ne cesse de crier haut et fort qu'il serait plus que temps de créer localement un Comité de Salut Public ayant par exemple la force d'exiger que dès les prochaines élections municipales, l'idée de la création d'une grande bibliothèque de la mémoire de Pont-Aven et de ses habitants, devienne le sujet de toutes les discussions électorales.
Et cela, pour faire tout simplement comme partout ailleurs !
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