Le BIM du poisson d'Avril

Le Bim Boom patatrac ? me demande la CHARLiO'T 

Certainement ma chère, surtout lorsque l'on y trouve les nouvelles règles des circulations & stationnements adoptées par la municipalité.

Je trouve bizarre autant qu'étrange que dans le coin personne ne se pose de question sur les incessantes modifications de ces règles depuis le mortel saccage du centre ville de 2014 !

Bientôt 10 ans de malheurs :

Monsieur le maire, tu devrais peut-être penser de tout cœur à organiser une grande fête pour l'anniversaire de cette grande défaite locale. 

Croyez-moi : Les panneaux bougeottes inventés par l'équipe de J.M. ont de l'avenir dans le coin :

 Les enfants du pays beaucoup moins.

Un centre devenu depuis totalement incontrôlable en haute saison, et immensément sinistre pour la population locale durant le reste de l'année. 

Un centre de la terre (mouvante) de plus en plus agressif pour ces pauvres gens. 

Un centre déclaré officiellement "aux voiries partagées"

Je ne vois pas ce qu'il y aurait de partageable : et donc de paisible pour tous, dans ce paradisiaque merdier délibérément organisé par les municipalités successives :

Organisé au seul profit d'un petit nombre de gens comme par exemples les poulguinistes et les Hautes Sphères Culturelles ! 

Conclusion du jour :

 Que voulez-vous, depuis 2014 tous les élus ont pris la grosse tête ...

... de l'Art de faire chier la population. 

Et ce n'est pas fini :

En effet, dans ce BIM Dautellien de ce mois d'avril, en matière de poisson d'avril pourri, Christian ose nous annoncer une nouvelle fois que notre futur proche sera encore pire ...
...  que le pire d'aujourd'hui. 

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A suivre demain

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Hêtre ou ne pas être (Fin)

Hêtre et encore hêtre en étant transformé en tablette de bois pour Artistes Peintres contemporains pontavénains : Qu'en pensez-vous les élustupides du coin ? 

Par exemple, pour les vendre afin de réunir suffisamment de fonds pour étayer les ruines de Rustéfan. 

Vous n'êtes pas d'accord avec moi ?, mais ce n'est pas grave :

En effet, il y aura bien un génial copiste local qui imaginera coller sur ces tablettes,

... des photocopies du Talisman pour les touristes désœuvrés

...  préférés de nos chers poulguinistes.

La photo du jour :

Où est passée la célèbre barrière de l'entrée haute du Bois d'Amour ?

Cette barrière symbolisant à elle seul la venue de Gauguin à Pont-Aven.

Vous ne le saviez pas nos chers élustucrus du cru ?

Une barrière au caractère exceptionnel dont ces élus du peuple auraient dû se soucier depuis longtemps ...
... mais aussi à mon sens, les dirigeants des associations locales se définissant comme patrimoniales et culturelles. 

Cette barrière marquant la limite devenue symbolique entre le D.P. communal et l'espace privatif voisin généreusement ouvert au public par ses propriétaires.

Une petite pancarte de ce type à chaque entrée de ce site serait la bien venue je pense : 

"Un peu de respect SVP les toutous 

pour cet espace pour amoureux de natures sauvages !"

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Hêtre ou ne pas être (Suite de la suite)

Christian que nous caches-tu donc ?

Je regardais il y a trois ans ton clip de propagande pour ton projet European* que tu avais tourné le long de cette  célèbre "Allée du Bois d'Amour" : Tu ne vas tout de même pas nous raconter que tu n'avais pas remarqué la dangerosité des lieux ? 

* En panne sèche aujourd'hui par manque d'investisseur, alors que le seul immense problème de la commune  perdurant depuis plus de 70 ans, est le manque crucial d'emplois valorisant.

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Tu ne vas tout de même pas aussi nous dire que tu n'as pas remarqué la disparition presque soudaine de tous les antiques arbres du lit de la rivière, préférés des vrais Artistes de la Cité des anciens Peintres de talent : 

Ces ornements naturels qui ornaient jusqu'à peu la rivière de Pont-Aven dans sa portion urbaine : peupliers, aulnes, ...  et autres saules sauvages non aimés des touristes. 

Christian, le problème est immense : Toi et ton équipe, auriez-vous les capacités intellectuelles pour sauver la commune de ce naufrage ?

J'en doute, surtout après avoir lu le communiqué de presse dont il est question dans cet article.

En effet :

Il n'y est question que des éternelles références à la très très très ancienne histoire picturale de Pont-Aven,

...  usées jusqu'à plus soif à force d'être sur-sur-sur exploitée pour des objectifs uniquement touristiques.

Surexploitées et galvaudées dans l'ancienne Cité des moulins de plus en plus lamentablement  sanctuarisée.

C'est-à-dire radicalement aux antipodes des objectifs imposés par la SCOT

de la CC'â  pour Pont-Aven.

C'est-à-dire radicalement à l'opposé des besoins de la population locale !!!!!!!!!!!!!!!

Conclusion du jour :

Ce qui manque au conseil municipal, c'est un bon architecte-urbaniste aux commandes

 de la commune,

... comme l'avait par erreur imaginé la population locale lors des dernières municipales.

Et pas un comme cet ancien adjoint à l'urbanisme qui avait osé signer le permis de construire du musée de la CC'ânerie : Un P. de C. ravageur, autant que lourdement illégal. 

- Qu'en penses-tu Christian le penseur ... des plaies de la commune ?

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Suite et fin demain matin

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Hêtre ou ne pas être (Suite)

N'y aurait-il pas uniquement des relents de Charte des Petites Cités de Caractère dans ce brutal changement d'attitude ?

Pourquoi donc ne pas sérieusement aller plus loin en observant par exemple que ce sont tous les grands arbres couvrant ce flanc du Bois d'Amour qui sont touchés par la vieillesse, en risquant de tomber et déchausser les gros blocs de rochers couvrant ce site très pentu ?

Une situation extrêmement inquiétante remettant en cause la tolérance de passage dont il est question. Ce cheminement touristique qui avait été créé conventionnellement, allant du viaduc pour rejoindre la Chapelle de Trémalo (et pour nul autre usage*) dont je vous avais sérieusement parlé ici il y a temps.

*Sauf étendue par une seconde convention signée ultérieurement  pour rejoindre les ruines de l'ancien moulin du Plessis, sans plus !  

Et puis, que dire de l'état des autres majestueux arbres des autres allées couvertes du Bois d'Amour régulièrement empruntées par le public, dont les municipalités locales ne se sont jamais préoccupées.

C'est gratuitement que les propriétaires des lieux acceptent ces ouvertures au public. La commune devrait pour le moins leur être reconnaissant en leurs apportant par exemple son soutien "logistique" ou autre, afin d'entretenir sérieusement et régulièrement ce Patrimoine

Environnemental exceptionnel de Pont-Aven : Et cela depuis bien longtemps ! 

Ces généreux propriétaires ont-ils été informés qu'un arrêté de mise en péril va leur tombé sur la tête prochainement ?

Vouloir couper des arbres dans un espace boisé classé menant de facto à l'application de cette procédure.

Je n'en suis pas si sûr  !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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A suivre demain

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Hêtre ou ne pas être

C'est quasiment en sanglots que la préposée de la municipalité aux arbres sacrés a récemment annoncé dans la presse local que :

"Les hêtres menaçants du Bois d'Amour devront être coupés"

Et de poursuivre en grande connaisseuse de l'histoire picturale de ce coin devenu paradisiaque, "Le cadre est célèbre pour avoir été peint en 1888 par Popolochon Sérusier sous la direction de Popolochon Gauguin. Le Bois d'Amour immortalisé par le "TALISMAN"

"Les hêtres de l'allée Paul Sérusier du Bois d'Amour sont cuits" 

Gast  ah gast ! :  Moi qui croyais comme un vrai croyant tout connaître de Pont-Aven, et bien je ne connaissais même pas l'allée Paul Sérusier : Et vous les vrais amoureux du Bois d'Amour ?  

Ah !  c'est donc pour ça que cette grande dame au camélias s'affole brusquement ?

Affolée pour un talismenteur, car en réalité ce dit Talisman  ne fut que du barbouillage de couleurs saturées "devenu informe à force d'être synthétisé" comme l'avait précisé en son temps Maurice DENIS.

Cette  planchette de bois de peuplier qui fut présentée (pour la seconde fois)  il y a peu au musée de la Cc'anerie comme l'une des principales Sept Merveilles du Monde  :

Rien que ça ?????????????????????????????????????????????????????????????

A l'époque, je lançais ici même un alerte sur la dangerosité de ce cadre enchanteur contre les incitations appuyées des (ir)responsables de ce musée afin que les cohortes de toutous venues idiolâtrer cette relique idiotement sacralisée, aillent risquer leur vie terrestre in-situ.

A ce moment là, ni le maire de l'époque, ni celui d'aujourd'hui, ni leurs adjoints, ni les autres élustucrus du cru, ne m'avaient soutenu dans mon action de bravoure. Une bravoure qui fut comme toutes les autres contestées par tous. 

Et pourtant, la dangerosité de l'époque était aussi préoccupante qu'actuellement.

Tout comme celle des ruines de Rustéfan en fait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

A suivre demain

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Qu'il fait bon vivre chez nous ! (Fin)

Dernière minute :  J'apprenais hiers soir que c'est par arrêté préfectoral que l'interdiction d'exploiter de cette vraie terrasse avait été signifiée aux nouveaux exploitants de l'établissement voisin. Un arrangement ultérieur ayant permis de régulariser la situation des tables et chaises, mais pas de la sculpture monumentale. 

- Suite de l'article  - 

Monsieur le maire  : Que c'est-il donc passé initialement pour en arriver lamentablement à cette triste situation pour ces victimes de votre système politique ? 

La sculpture contemporaine en cause vous déplaisait-elle infiniment ?

Infiniment plus que les beaux barbouillages des vieilles photographies de Robert GRAVIER qui ornent de nombreux commerces locaux et que manifestement vous adorez ?

Et que dire de tous les chef d'œuvres qui embellissent les vitrines du centre bourg : Pourquoi ne vous adressez vous pas à la préfecture pour faire dégager ce pauvre spectacle de rue.     Si cette sculpture avait été confectionnée par une tribu Nizoniaise, en plagiant une Œuvre originale d'une Grand Artiste américain, mon petit doigt me dit que vous auriez été d'accord sans faire le moindre ch chi déplacé.   

Dans votre précipitation à punir ces jeunes gens, n'auriez-vous pas oublié de consulter le "Ultra saccageur" plan d'aménagement de notre chère intouchable Grand'Place ?

Un aménageant des plus critiquable certes, mais qui précisément comporte bien une terrasse commerciale sur ce petit bout de domaine public. La seule prévue sur le projet d'origine.

C'est d'ailleurs la raison pour laquelle ce P'tit Bout  de paradis fut cerné par un affreux muretin de forme arrondie venant totalement et minablement écraser la perspective des parapets du pont.

Un coin apaisé dont l'occupation en terrasse ne dérange donc personne contrairement à bien d'autres.

Voilà la réalité monsieur le maire de Pont-Aven !!!

Conclusion du jour :

Qu'en est-il aujourd'hui pour votre population ordinaire monsieur le maire, des dangereuses et outrancières occupations des espaces publics du centre ville par les commerces touristiques ?

J'entends le loup, le renard, et la belette crier et crier haut et fort :  "Halte à la sauvage vengeance SVP"  

Ne serait-ce pas ces bêtes sauvages qui auraient raison ?

Au fait Christian :  Quand vas-tu nous révéler les vrais raisons de l'annulation précipitée de la vente de l'ancien Syndicat d'Initiative ? 

De plus, j'observe que Monsieur le Préfet n'a pas tardé à agir alors que le mal originel n'est autre que le scandaleux et lourdement illégal saccage de l'intouchable Grand Place. C'est à cette époque que la Préfecture aurait dû réagir avec vigueur me semble-t-il. 

Moi qui n'est bien entendu qu'un pauvre idiot du Village des Lumières ! 

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Il fait bon vivre chez nous !

La saison touristique - à la peine cette année - démarre à peine à Pont-Aven que déjà les premiers désappointements et gigantesques désillusions apparaissent sur les visages des tous nouveaux commerçants ou employés de commerçants.
Rien de nouveau en cela me direz-vous :  

C'est vrai, mais pourtant j'ai une petite histoire pas drôle du tout pour les victimes de ce phénomène récurrent à Pont-A-Vent à vous raconter en introduction de cette nouvelle saison.

Des saisons devenues depuis des lustres de plus en plus pontavénaises, mais également de plus en plus touristiquantes pour la population locale. 

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Il y a une semaine, s'ouvrait dans l'ancien atelier du photographe Robert GRAVIER, une boutique de vente de glaces en cornet ou autres : "Un glacier"   

Et voilà qu'à peine mises en place, que sur ordre venu du bureau de monsieur le Maître d'Hôtel de Ville, les tables et chaises de la terrasse extérieure de ce  nouveau commerce disparaissaient.

Il en fut de même de la monumentale et surprenante sculpture contemporaine signée par un artiste américain qui devait normalement  agrémenter ce lieu : Un endroit redevenant du coup aussi tristounet qu'auparavant.

Imaginez la monumentale désillusion à vous glacer le cœur, des jeunes tenanciers de ce glacier.

Gast ! Ils imaginaient pouvoir eux aussi bénéficier du merveilleux bon vivre local vanté par tous les maires locaux. 

Nous savons tous que sans terrasse, point de salut à attendre pour ceux qui osent s'installer commerçants de bouffe ou de boissons dans ce trou touristiqué à mort.

Un très gros privilège pour les uns et des patates chaudes glacées pour le autres. 

Une mort certaine pour tous ceux qui ne bénéficient pas de l'énorme privilège des aspirantes terrasses implantées sur le domaine public !

Je sais qu'il existe depuis longtemps un règlement communal des implantations des terrasses sur le D.P. local, ne prenant en compte que des règles de bon sens et d'intérêt général, qui avait été établi afin d'éviter cette intolérable situation de privilèges pour certains "copains": Mais où s'est-il donc planqué depuis le début de ce siècle de malheurs pour la grande majorité des  gens qui vivent dans le coin ?   

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Suite et fin demain matin 

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Annonce d'une nouvelle exposition de photographies exceptionnelles

L’Association « P.A.PCE » (PONT-AVEN : Patrimoines Cultures et Environnements) propose au public local une nouvelle exposition préparée par son président : Gérard BERTHELOM. Une fois de plus elle sera puisée comme à son habitude dans le meilleur du Patrimoine Photographique de la Bretagne. Une mise en Valeur inédite de photographies présentées pour la première fois depuis plus de cent vingt ans.

En 1899, Monsieur FABRE-DOMERGUE ; Docteur ès sciences, Directeur adjoint du laboratoire de zoologie et de physiologie maritime du Collège de France à Concarneau, publiait une plaquette qu’il intitula « La Photographie des animaux aquatiques » : En réalité des photographies sous- marines de la faune aquatique des Glénan. Une première mondiale de cette qualité. Jusque-là toutes les tentatives de le sorte n’ayant abouti qu‘à de médiocres résultats.

Les clichés de Monsieur FABRE-DOMERGUE furent édités selon le procédé inaltérable et incomparable en qualité de la phototypie artistique.

Il fut salué en France et a l’étranger à la juste valeur de ses travaux. L’Annuaire Général et Internationale de la Photographie de l’année 1899  lui ayant d’ailleurs consacré un très élogieux article, plaçant ainsi les Iles des GLENAN dans la grande histoire de la photographie mondiale. Cette exposition est présentée au Café du Centre à Pont-Aven jusqu’en fin mai (entrée gratuite)

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Bonjours à tous 

Après une longue période d'abstinence en raison d'une grosse défection de ma ligne téléphonique il semble que mon réseau fonctionne à nouveau à peu près normalement ...  du moins pour l'instant.

A demain donc pour la reprise de mes articles

Gérard BERTHELOM