Un malicieux retors (2/4)

Publié le par chercheur d'histoires

Un malicieux retors (2/4)

Le conférencier a insisté sur les savoir-faire dans le domaine du noir et blanc de son poulain, mais également sur ses échecs dans celui de la couleur.

Une grosse patate* n'ayant rien compris à ces propos, demanda alors si "les peintres du hangar't avaient peint(urluré) des photos de l'artiste "

* Comme vous le savez : la patate noircie à la lumière ... des propos de Le Bihan.

Manifestement, cette pertinente question : essentielle pour le débat, brûlait déjà sur toutes les lèvres de l'assemblée.

La réponse fut positive et un ouf ! de soulagement traversa la salle.

Chouette : tel le boureau, les artistes du hangar't ont achevé l'œuvre de Miclou.

J'ai au moins appris quelque chose de nouveau ce jour là.

 

THERSI, en tirant : non pas seulement des nanas au kilomètre comme nous l'a rappelé le conférencier, mais dans sa ténébreuse période pontavéneuse, tiré lui-même ses positifs, il "opéra-comique" pour le futur. 

La peinture du hangar't en fera le premier acte.

Dommage pour les nizonar'ts et heureusement pour lui : Gauguin n'a point pratiqué la photographie.

 

Je m'attendais à ce que notre farceur bien aimé nous révèle que l'on doit à Mimiche la fameuse phrase (d'André DISDERI)

" Attention, le petit oiseau va sortir "

Pour tout dire, j'ai vu parfois son petit oiseau chéri des femmes, sortir de sa braguette pour se tremper dans une coupe de champagne que sirotait une bonne bourgeoise attablée chez Zicou.

"Excusez-moi Madame, je vais au shogun*, et j'ai oublié de la laver"

Cette dernière phrase ... et ce qui va avec, sont par contre de lui. 

* Célèbre discothèque du coin
 
A suivre demain
---------------------------------------------------------------------------------
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article