Dédé la braguette à l'honneur ! (suite)
Dédé la braguette à l'honneur ! (suite)
Nous retrouvons ainsi l'année suivant, notre bonhomme prenant des cours à l'Ecole d'Art Sacrés de Paris.
- - - Suite - - -
C'est ainsi que de retour une nouvelle fois au pays, notre futur peintre "bien de chez nous" inventera un nouveau mouvement artistique très personnel.
Non CHARLiO'T : D.D. ne deviendra pas DADA.
Il fut l'inventeur d'une Ecole dont il était à la fois : le maître et l'unique élève.
Son nom ? :
"l'Ecole de l'Art éphémère et dégoulinant"
En effet : Il avait inventé une espèce de "peinture à la cire" ...
... qui se mettait à dégouliner dès que le tableau peint avec cette mixture, était accroché trop près d'une source de chaleur !
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Il fut aussi un grand maître de la supercherie médiatique lorsqu'il organisait par exemple de faux vols de ses tableaux afin que les journaux lui fissent : gratos, une PUB Nationale.
"La PUB d'enfer de la conserv'atroce de la CC'ânerie ne lui atteignant pas la cheville" nous dit la CHARLiO'T
Cela dit ... avec la pincée de dérision qui va avec, André EVEN restera dans l'Histoire mondiale des Beaux Arts comme le pêcheur qui osera traîner le curé de Névez devant la Justice humaine.
Durant ses premiers pas dans la peinture, D.D. avait exécuté au moins deux grandes fresques religieuses dans les églises de Névez et de Concarneau
... Des œuvres éphémères (comme je vous le disais) que les curés de ces paroisses durent par la suite faire détruire.
- A Névez : en raison des dégradations dues par l'apparition sur son œuvre de champignons apportés par humidité ambiante.
Nom de dieu : le fautif fut condamné à verser à sa victime le franc symbolique pour avoir illégalement détruit une œuvre d'art sans l'accord de son auteur.
"C'est sans doute pour cela que personne n'ose plus débarrasser le Pays de Nizon de l'horrible sculpture que dame la soutane avait fait ériger Place des Grands Chênes durant la splendeur de son règne ???" se demande la CHARLiO'T
- A Concarneau : l'Eglise risquant de s'écrouler, les pouvoirs publics durent décider de la détruire.
Une nouvelle action en justice menée par notre pontavénain resta sans effet.
Sa fresque : non récupérable comme celle de Névez, fut détruite.
A suivre demain
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Ce soir à 17h : vernissage à la MAPA.
Ne l'oubliez pas, vous serez les bienvenus
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