Ce mardi 12 déc 2017

je vous propose un come-back, et une annonce de projection de photos.

La suite du 1er article de la semaine sera pour demain

1° : Le retour sur la semaine passée en France :

Ce n'est évidemment pas ma cervelle de moineau qui pourrait se mesurer à tous les philosophes, les grands penseurs, les médias sans exception, et les fans de Johnny.

Et pourtant, j'ai fait un rêve de ouf !

Ce rêve me proposait de passer le reste de ma vie sur une île déserte en apportant un seul disque de mon choix.

J'avoue humblement que je n'aurais pas forcément pensé au Roi "on the night" de Saint Trop.

Cependant, si ce "si" s'était réalisé, et que mon choix se serait porté sur un 78 tours du Maître, au regard de l'actualité médiatique de ces 7 derniers jours, ...
... je pense que mon île ne serait pas restée déserte bien longtemps.

Vivre les dernières décennies de ma vie à Saint Bath bis : Très peu pour moi.

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2° : Annonce d'une projection de photographies prises en 1956 lors de la Fête des Fleurs Ajonc. 

Elle est proposée par Marie Josée Le Tallec : La Reine de cette Fête de jour.

Cette projection aura lieu à la MAPA cet après-midi (ce mardi) à partir de 14h30.

Entrée libre et gratuite pour tous

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Un K à part (page n°2)

Revenons au cas de notre Kpitaine de Port

Le second problème de fonds a trait au coût de la rénovation du musée de la pêche.

"Du Grand, du Beau ... et du coûteux" est la divise de la concerv'atroce, mais ça nous le savions déjà à Pont-Aven.

La CC'ânerie a décidé de rénover le second joujou de cette dame, mais pour l'instant le coût des travaux n'est pas à l'ordre du jour :

C'est secondaire évidemment :"Quand on aime, on ne compte pas",

et puis ? : 

"A chaque jour sa peine : N'est pas Rintintin Fil de Lin ?"  lui dit en plaisantant la CHARLiO'T.

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Le coût des travaux n'est pas à l'ordre du jour, mais sans tarder il sera nécessaire de construire un énorme hangar pour y entreposer durant les travaux, les précieuses réserves muséales de ce second bébé "baigneur" de notre chère et très chère (ou l'inverse si vous voulez)  conserv'atroce.

Oh purée de sardines ! : il va falloir puiser dans le fond percé des fonds de la communauté pour y extraire les nouvelles liasses d'euros nécessaires à la construction d'un entrepôt provisoire.

A suivre demain

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Le plan du jour :

Ce plan de Rustéfan a déjà servi de modèle à l'architecte du manoir de Kériolet, alors pourquoi ne pas le pirater à nouveau pour construite le futur abri des trésors du musée de la Pêche ?

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Un K à part

Dernière nouvelle :

M le maire a ordonné au Président de l'association de la Belle Angèle, de dégager les affaires "maritimes" qu'elle stockait dans le petit local du Square Botrel depuis la mise à l'eau de leur devenu célèbre voilier.

"Faire une BA, tu ne sais pas ce que c'est J.M. ?"  !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

- - -   Suite  - - -

Je pense que cette fois les pontavénounours vont enfin commencer à comprendre pourquoi un minuscule quart d'entre-eux : issu du même quartier !, ont mis à la t^te de la commune un K à part. 

Si après cette posture, il reste des pontavénizoneux qui n'ont toujours rien compris ce qu'est ce K, je vais essayer à ma façon de les aider à se décongeler le cerveau.

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Excusez-moi : mais je vais encore une fois de plus vous proposer de la conserv'atrocité.

"Le musée de la pêche" un projet qui inquiète"

" les amis du musée de la pêche : Entre déception et perplexité"

Ce sont des titres récents de nos deux can'arts des coins-coins du coin que j'ai retenus pour alimenter cet article.

Le fond du problème est ... un problème de fonds 

En deux maux, sachez que la conserv'atroce propose de lancer une souscription publique pour aspirer dans son giron une nouvelle petite liasse de 100 000 € pour alimenter son musée de la Pêche.
"Que des ronds pour le Carré des Lurons" se dit la CHARLiO'T, qui connaît la Ville Close comme sa poche. 
Pour moi le pontavénain, c'est plutôt un pavé d'euros de perdu pour nous. 

Une manne qui ne pourra donc pas engraisser les maigrichonnes associations pontavénaines qui en ont pourtant tant besoin,

... ou encore comme je vous le fais remarquer depuis quelque temps : pour réparer la passerelle du port.

Et la CHARLiO'T de ramener une nouvelle fois sa fraise : 

J.M. : tu nous écoutes, ou tu n'entends plus battre que le cœur de la belle ?

Tant mieux en fait. C'est tout bénef pour les pontavénaine. 

Elles vont ainsi pouvoir garder leurs tailles de guêpe ...
... et les gardes corps de la passerelle conserver leurs belles rides"

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OK,  mais ce n'est pas tout, j'ai encore mieux dans mon épuisette pour vous épuiser le moral.

Revenons au cas de notre cher Kpitaine de port

A suivre demain

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Le samedi 2 décembre 2017 (Suite)

Un peu plus tard dans la soirée, je participais au pot d'amitié offert par l'association de la Belle Angèle suite à leur fête du mois d'Août sur le port.

Après le dramatique naufrage de "La Belle Angèle" du mois dernier, nous apprenions que les membres de cette association avaient reçu un grand nombre de témoignages de soutien venus d'un peu partout en Bretagne ...
... ? 

- - -   Suite  - - - 

... sauf de la part de la municipalité de Pont-Aven qui  - "Lugubre SILENCE RADIO" -

 à aucun moment depuis ne les a contactés :

...  ne serait-ce que pour obtenir des nouvelles de nos quatre naufragés.

"Mais pourquoi M Le Maire n'est pas là ?" Aurais-je pu déclarer à mon tour ce samedi 2 décembre 2017.

Dernière nouvelle :

M le maire a ordonné au Président de l'association de la Belle Angèle de dégager les affaires "maritimes" qu'elle stockait dans le petit local du Square BOTREL depuis la mise à l'eau de leur devenue célèbre BA

"Faire une BA, tu ne sais pas ce que c'est J.M. ?"  !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

A suivre absolument demain. 

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Le samedi 2 décembre 2017

Un misérable jour d'ennui comme un autre à Pont-Aven ?

Pas tout à fait pour M Le Maire, mais ne lui dites pas, il ne le sait pas.
En effet :

Comme vous le savez, je participais ce jour-là au vernissage de l'Expo sur la mémoire de la vie du Port à la MAPA.

Tout d'un coup, durant mon très court discours, une résidente s'exclama :

"Mais pourquoi M Le Maire n'est pas là ?"

Le micro à la main, que pouvais-je lui répondre sans être désagréable envers J.M. ? ,

Je me lançais donc à l'eau sans réfléchir : 

"Que voulez-vous : pour l'instant personne n'a osé lui dire qu'il avait été élu maire de Pont-Aven ... en 2014"

Tout le monde s'étant mis à rire, je comprenais que j'avais encore raconté une connerie ...
... ou pas ?

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Un peu plus tard dans la soirée, je participais au pot d'amitié offert par l'association de la Belle Angèle suite à leur fête du mois d'Août sur le port.

Après le dramatique naufrage de "La Belle Angèle" du mois dernier, nous apprenions que les membres de cette association avaient reçu un grand nombre de témoignages de soutien venus d'un peu partout en Bretagne ...

... sauf de  ... !!! ... ??? 

A suivre sans faute demain. 

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Bon Dieu : Que s'est-il passé hier ?

Serait-ce Sylvie qui lui a dit : va-t'en ? 

NON me répond en pleurnichant la twisteuse CHARLiO'T

Pourquoi donc ayons-nous eu toute la journée, et bien au-delà de : quand revient la nuit,  ...
... Que du Smet à se S'met dans la tronche ? 

Espérons au moins que la SACEM puisse récolter assez de flouze pour lui offrir la plus GRANDE HYPER BOUM-BOUM PARTIE que la France n'aie connue depuis la nuit des temps.

Mais attention : Soyez raisonnables, il n'y a pas pour autant de quoi "mettre le feu" ...

... aux P'tits sapins de Noël de Pont-Aven. 

J'en ai besoin, et vous, vous n'allez pas tarder à savoir pourquoi je retiens la nuit moi aussi.

"Quand revient la nuit - Retiens la nuit" - des slows - des baisés :  Comment s'appelaient-elles déjà ?
Merde j'ai oublié.
"Noir c'est noir" c'est le désespoir

Demain sera un autre jour : 

Pour moi, pour toi, pas pour lui, pour nous, pour vous et pour eux,

... pour l'instant !

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 Hier la chute fut lourde mais je n'ai pas d'autres "chut !" à vous proposer en ce lendemain.

Vous pouvez donc gueuler à tue-tête : comme lui, jusqu'au bout de la route,

... de Tennessee sans doute ?

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Dédé la braguette à l'honneur ! (fin de cette suite)

Pour moi l'idiot du village pontavéniais : la sauvegarde et la mise en valeur de la riche mémoire singulière de Pont-Aven et de tous ses anciens habitants, forment un tout indissociable si l'on veut sincèrement et sans arrière-pensée strictement commerciale, en tirer toute la substance patrimoniale et culturelle.

"Un pour tous, et tous pour un"  et ne pas comme cela se conjugue au présent tous pourris.

L'Assos qui vient de se constituer est contraire à ce principe de base.

Je suis persuadé qu'elle ne fera pas long feu comme toutes les précédentes qui ont oublié cette donnée.

Je suis désolé de devoir le dire, mais de résumer la vie picturale pontavénaine du XXième siècle sur deux noms archi-connus, est autant faux que grotesque.

C'est quelque part : pratiquer la fragmentation des épaisses couches de notre Histoire pour n'en tirer que quelques gouttes d'huile, en dénaturant  tout le reste.
"Gast-à-gast : Nous ne sommes pas des pétroliers tout de même !" se met à hurler l'huluberlu CHARLiO'T 

L'histoire picturale de Dédé ne peut être dissociée de l'osmose générale qui existait entre la population et les quelques P'tits artistes qui vivaient (ou séjournaient régulièrement) dans la Cité des Moulins.

Cette osmose était "un plus" très plaisant à vivre, dans l'atmosphère générale du dynamisme du Pays :

Un élément essentiel à ne pas oublier : certes avec sa pointe de folklore, mais de bon aloi.  

En tous les cas : ce n'est pas deux gouttes de cette substance vitale qui fera déborder le vase asséché de la Culture locale :

Cette Culture "bien de chez nous"  que les pontavénounours "initiés" n'ont plus réussi à transmettre aux suivants à partir de 1985, car ils furent tous brusquement atteint par une maladie mortelle :

 Une espèce de  brutale gauguinite que les gens du coin n'ont pas vu venir.

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Les documents du jour : 

- 1954 : Un Dupont'té désirant acquérir un tableau ... de l'Ecole de Pont-Aven sans doute ?

 - Très instructive la réponse du maire : Vous ne trouvez pas ?

Voilà encore un vrai sujet de discussions passionnées, à condition d'être suffisamment nombreux à y participer, et être suffisamment éduqué sur les valeurs patrimoniales et culturelles de la commune et de ses habitants. 

Pour moi : préserver la mémoire collective des anciens habitants de la commune : en refusant qu'elle soit usurpée par la CC'ânerie au profit de la carrière d'une seule personne totalement détachée de la population, est une nécessité incontournable.

Cette action patrimoniale serait une excellente opportunité pour : par exemple, recommencer à "parler peinture" ...
... comme avant 1985 chez Correlleau, chez Mme Guillerm et autres plus modestes bistrots branchés du coin.

Ce serait une exceptionnelle offre de vie culturelle à proposer aux éventuels futurs jeunes arrivants infiniment plus attirante et utile que le musée "touristiqué" de la CC'ânerie  

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Dédé la braguette à l'honneur ! (suite de cette suite sans fin)

Une nouvelle association culturelle vient donc de naître dans notre gouffre peinturlureux : 

"L'Association des Amis du peintre André EVEN"

En soit, je ne peux qu'approuver cette création bien sûr,

Mais ? :  Comme je reste tout le temps un pur-sang pontavénain quel que soit le temps,

Un doute m'habite naturellement.
Il m'habite lorsque je lis attentivement le compte-rendu de la réunion préliminaire à cette initiative, dans les can'arts des coins-coins du coin.

En effet :

Lorsque par exemple je lis : "André EVEN, l'un des deux derniers grands peintres de son époque" 

... ce doute me gratouille les Gratouilleuses.

Izabelle : Ne ferais-tu pas soudainement une crise de "conserv'atrocité"

Ma belle Iza : aujourd'hui "bien de chez nous"et j'en suis heureux, tu nous annonces que : "Tu cherches une salle sécurisée pour recevoir l'exposition, de préférence à Pont-Aven"

Depuis le temps que tu vis dans ce trou, ne saurais-tu pas que la commune est dotée d'une superbe Salle Julia dont la municipalité a légitimement le droit de disposer à sa guise la moitié du temps ... et pour pas un rond, ...
... pour - au minimum - nous permettre de  promouvoir les actions patrimoniales et culturelles de la population de Pont-Aven ???

STP Zaza-Bella : Oses demander à J.M. ce qu'il en pense.

Fais le pour nous tous les ponavénounours en peluche de Noël.

Tu pourrais ainsi être la première pontavénaine à pouvoir profiter ce lieu aujourd'hui majestueux ... qui a coûté un bras à chacun d'entre nous tout de même.

D'ailleurs : j'ai cru comprendre que la Conserv'atroce devait rencontrer le groupe de travail de ton assos.

Profitez-en pour lui en parler !!! ...

... quoi qu'un nouveau doute m'habite. En effet, cette petite peste acceptera-t-elle de vous donner une clé de notre Salle des Fêtes "bien de chez nous" ?
Si ce n'était pas le cas : ce qui est improbable bien sûûûûûûr !, j'ai un plan B à vous proposer:

Tu devrais le savoir : Pont-Aven est aussi dotée de trois établissements entr'ouverts au public et hautement sécurisés.
As-tu pensé à nos trois maisons de retraite ...
... où séjournent de surcroît aujourd'hui, presque tous les amis de Dédé survivants,

... ayant bien connu : sous toutes ses coutures, notre cher Dédé la braguette ! 

"D'autres projets, moins pressants sont aussi évoqués. Poser une plaque sur la tombe du peintre, nommer une rue à son nom ..." etc.

Pour la plaque, j'en connais une du XIX siècle (en ardoise bretonne mes Seigneurs !) qui s'emmerde depuis quelque temps dans la rue Job Philippe. 

(Voir sa photo)

Le nom d'une rue ?

Ne sais-tu pas qu'il y a une longue liste d'attente à la maire.

En particulier :

Une ruelle privée à mettre au nom de la famille Rivet, Une rue damnée à affecter à la gloire de Dame la soutanesse, Une avenue qui sera à attribuer d'ici quelque temps  à J.M. LEBRET,

- et ? ... un boulev'art-sans-art à réserver pour un peu plus tard ... à une certaine Christ'elle. 

- et plus tarte encore : aux futurs dirigeants de la plus Grande Cité au monde qui consacreront évidemment leurs précieux temps et leurs forces de frappe ...
...  à préserver sans compter la mémoire du père Gauguin !!!

Suite et fin demain matin

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Dédé la braguette à l'honneur ! (suite de la suite de la suite)

Comment définir en quelques mots : ou maux, notre chère bête à Bon Dieu  ...

... défroquée dans l'œuf ?

- - -  Suite  - - -

Toute sa vie, Dédé a souffert de son addiction à une sexualité restée inassouvie.

Le drame de son existence fut que son sexe l'a tourmenté jusqu'à ronger son esprit.

En quête permanente de modèles féminins, il n'a jamais peint de nu, restant un peintre de nature presque morte.

Il a beaucoup joué local avec son "né natif" : certes plaisant, mais jusqu'à ne plus être finalement qu'une caricature de lui-même.

1985 fut aussi pour lui ...  et les quelques autres intéressants peintres fixés à Pont-Aven depuis quelques décennies, le début de la fin d'une vie artistique apaisée.

Ils furent tous emportés dans les flots de peinturlureux venus de nulle part,

... noyant ainsi la ville, ses atmosphères vaporeuses, ses esprits malins, et sa notoriété régionale.

Pour autant, nous lui devons d'avoir participé activement durant toute sa vie, à la vitalité et à la préservation de l'esprit pontavénin et du caractère singulier de la Cité des anciens Peintres de talent,  même lorsqu'il s'était éloigné de son pays natal, et c'est déjà beaucoup : vous ne pensez pas ?

Il a eu la chance jusqu'en 1984, de vivre pleinement son existence de peintre, bien enveloppée dans une atmosphère artistique sans pareil en Bretagne ...
... aujourd'hui éradiquée par une fausse modernité.

Il fut l'un des derniers piliers des derniers "bistrots branchés peinture" du Pays des Moulins :

Là où naissaient les vocations de vrais amateurs d'art éclairés : ne l'oublions pas.

Là où encore pour quelque temps, tout un chacun pouvait participer à sa manière et selon ses connaissances et ses visions, à des débats passionnés sur l'art.

Remettre l'art en débat dans la ville : c'est cela qui manque le plus aujourd'hui pour redorer l'image picturale du pays.

Voilà déjà un très gros sujet de discussions passionnées : non ?

A suivre demain

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Dédé la braguette à l'honneur ! (suite de la suite)

Que dire de plus ?

Dédé : Le seul peintre sur toile au monde "né natif" de Pont-Aven (Ce qui n'est pas tout à fait vrai en réalité) n'aura pas cassé quatre pattes à un crabe vert de l'Aven : 

Il ne faudrait pas l'oublier.

Ne faites pas une crise de conserv'atrocité SVP ! (paroles non maitrisées de la CHARLiO'T)

Piètre dessinateur, c'est vrai qu'il avait au moins compris le parti que pourrait lui apporter le synthétisme pictural né à Pont-Aven quelque trente-deux ans avant lui.

Il a certes su judicieusement copier ce style : somme toute simpliste à copier, mais c'est presque tout ce que peuvent retenir les sérieux amateurs d'art dignes de ce qualificatif.

Toute sa vie, il a composé le même tableau pourrait-on dire en synthétisant son œuvre.

Par contre, et à mon sens, il aurait pu faire une grande carrière comme le Maître de l'Ecole du "Parler Peinture" ...

Une langue aujourd'hui morte, pourtant "bien de chez nous" dans les bistrots branchés du coin, qu'il fréquentait assidument comme nous tous : 

Nous les spirituels de la bagatelle, à la nature un tantinet spiri'tueuse.     

(Et non pas du "Parler Breton" qui  : "gast ha gast" comme l'écrit Brieuc, n'a jamais été un langage vraiment  Ponaen)

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Comment définir en quelques mots : ou maux, notre chère bête à Bon Dieu  ...

... défroquée dans l'œuf ?

A suivre demain

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