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GAST AH GAST !!!!!

Publié le par chercheur d'histoires

1970 : Dédé entouré de quelques "vrais" amis,(Tous droits réservés)

1970 : Dédé entouré de quelques "vrais" amis,(Tous droits réservés)

GAST AH GAST !!!!!

Dédé exposera ses œuvres à Pont-Aven pour vraisemblablement la première fois en 1959  (voir le document que j'ai publié ici précédemment)

Quelques années auparavant, il y avait bien eu dans l'Hôtel de Ville de Pont-Aven deux expositions de peintures (en groupe), mais Dédé n'y participait pas.
En 1959 : Date de la renaissance de l'Art dans la cité des anciens peintres de talents depuis sa mise en sommeil durant la première guerre, deux artistes y exposèrent l'un après l'autre leurs œuvres au printemps : Monsieur André EVEN, et le Bordelais Roger Lucien DUFOUR. 

Cet été là est à retenir aussi en raison de  la création d'un festival de peinture se déroulant dans la salle de Fêtes de la mairie.

A ma connaissance Dédé n'y participera jamais.

Par contre nous le retrouverons tous les ans, et cela presque jusqu'à la fin de cette possibilité d'exposition temporaire en ce lieu,  exposant dans le sous-sol de la mairie qui prendra pour nom : "Galerie des Beaux Arts", puis 'Salle Gauguin'. 

En outre, si jusqu'en 1984 tout allait bien pour lui et pour les autres fidèles peintres du coin, l'agrandissement du musée communal ouvert en 1985 provoqua une arrivée massive de peinturlureurs sans talent qui mis à mal la notoriété locale des nos p'tits maîtres locaux.

Et oui, ce fut ça le progrès vers la décomposition des grandes Valeurs culturelles et patrimoniales de Pont-Aven. Dès lors, ces peinturlureurs eurent l'immense incroyable surprise de vendre leurs encadrements peints comme des p'tits pains bénis.  

Le plus affecté fut certainement notre Dédé, qui pour subsister dû dès le début cette tragique époque brader ses œuvres.

Il en souffrira fortement jusqu'à son décès. 

A suivre demain

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Les documents du Jour :

(Tous droits réservés)

1970 : Carton d'invitation à l'un de ses innombrables vernissages dans l'Hôtel de Ville de sa ville.

(A remarquer : LE PRIX  de la FONDATION TAYLOR qui lui fut décerné en 1968)

La photo : Dédé entouré de quelques "vrais" amis, lors de ce vernissage. 

(Merci Philippe Doré) 

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GAST AH GAST !!!!

Publié le par chercheur d'histoires

1958 : Dédé figure dans la liste des exposants de ce groupe "Le Hallier de Paris"

1958 : Dédé figure dans la liste des exposants de ce groupe "Le Hallier de Paris"

GAST AH GAST !!!!

Si je n'ai aucune connaissance en art, ce n'est évidemment pas une raison pour fermer ma grande gueule "Cultureuse" comme l'exige monsieur le procureur. 

Et oui, j'ai toujours eu la mauvaise manie d'écouter aux portes des débits de boisson de Pont-Aven. 

Je sais donc que dans sa jeunesse, Dédé souhaitant devenir prêtre, avait fréquenté le petit séminaire de Pont Croix. En fin de sa première année d'internat, il eu un entretien avec le Supérieur de l'établissement durant lequel il lui avoua que si l'année scolaire s'était globalement bien passé, par contre il ne put s'empêcher de penser aux filles sans arrêt.

Son Supérieur lui répondant : "Dans ce cas, il serait préférable que tu t'orientes vers une autre voie mon fils"

Ne serait-ce pas l'un des grands moments de son histoire  et de sa carrière à ne pas négliger ?

L'été suivant d'ailleurs,  il vendra sa première œuvre peinte à Madame LE REST, une voisine de la maison de ses parents. 

Madame LE REST,  la tante de Georges LE DEZ. 

Ce denier conservera ce tableau dans son salon : représentant la chaumière du Port, durant toute sa vie.

.............................

Nota : En écrivant cela, je pense tout d'un coup  à Madeleine RIGOUSSEN, née en 1920 (2 ans après Dédé) dans la maison de ses parents située rue du Gac, tout près de celle des parents de Dédé.

Ces deux personnages se sont donc étroitement connus, et cela jusqu'à la mort de notre "Gast ah gast".

Notre chère couturière Madeleine (102 ans depuis peu) est donc la dernière proche personne de notre peintre local le connaissant en fait sous toutes ses  Hautes coutures.

Il n'y en a plus d'autre aujourd'hui à le connaître aussi bien et d'aussi près.

C'était donc vers elle que les auteurs du bouquin auraient dû s'adresser s'ils avaient effectué un sérieux travail de recherche : NON ? 

A lire leurs propos, ils auraient tous connu Dédé.

Sans aucun doute : Sans doute !,  mais entre le fait de le croiser par hasard ici où là , et de le fréquenter comme un ami de tous les jours, il y a quelques tonnes d'amitiés ou de cordialités les séparant  : NON ? 

A suivre demain   

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GAST AH GAST !!!

Publié le par chercheur d'histoires

L'origine du monde : Côté verso (Tous droits réservés)

L'origine du monde : Côté verso (Tous droits réservés)

Côté recto (Tous droits réservés)

Côté recto (Tous droits réservés)

GAST AH GAST !!!

Ah ! Quelle joie pour un Artiste local d'être reconnu talentueux par la Haute Société Culturelle de Pont-Aven, ... qu'à titre posthume !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ah ! Quelle promotion soudaine autant que tardive, de bénéficier une Grande Exposition  "rétrospective" : avec l'ouvrage allant avec !,  organisée par ces Autorités culturelles locales.

Mais était-il  nécessaire pour autant de le présenter dans l'ouvrage comme un personnage décharné, aseptisé, eaudejavelisé de tous ses péchés ? 

Un être sans chaleur ni saveur contrairement au personnage que nous avons cordialement côtoyé et titillé, nous les piliers des bistrots du coin. 

Ces élites culturelles locales se sont-elles demandées pourquoi ses amis les plus intimes l'appelaient cordialement " Dédé la Braguette" ?

Et pourquoi donc me le demandez vous ? , vous tous, qui ne l'avez pas connu. 

Je vais vous le conter sans pudeur si vous le voulez bien :

Dédé possédait un projecteur de diapositives. Ce qui laisserait tout de même entendre qu'il pratiquait sans doute parfois son art de la même manière que les peinturlureurs des photos de Gravier : NON ?

Parfois aussi, et dans la stricte intimité avec ses amis, il projetait des diapositives de sa verge. Entendons nous bien : Rien pour eux de malsain la dedans :

 A chacun ses fantasmes et ses démons de minuit. C'était ça aussi l'esprit singulier "déconno" de Pont-Aven à l'époque. 

Il y avait bien aussi à l'époque de chez Correlleau, un certain Thersi qui, prit parfois d'une une soudaine l'envie, ne pouvait s'empêcher de tremper son outil de drague dans un verre de champagne d'une notable de passage. 

Prétextant qu'il avait l'intention de finir la nuit au Shogoun (Boîte de nuit locale), et qu'il n'avait pas pris le temps de faire sa toilette intime.

A suivre demain

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Les documents du jour :

C'était à la fin des années 1980 au cours d'une soirée où je prenais un verre avec Dédé au Fournil (un bistrot qui venait de s'ouvrir) qu'il me prit de lui demander pourquoi ayant tant de copines à son tableau de chasse, il ne produisait que des natures mortes.

Piqué sur le vif, il me griffonna au stylo à bille sur des bouts de papier, ces deux uniques œuvres en phase avec ses démons les plus profonds :

"L'origine du monde" : Mais : Gast ah gast ! côtés recto et verso.

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GAST AH GAST !!

Publié le par chercheur d'histoires

La première expo officielle de Dédé à Pont-Aven (en 1959 et non 1958)

La première expo officielle de Dédé à Pont-Aven (en 1959 et non 1958)

GAST AH GAST !!

Alors, maintenant qu'il est mort et bien mort; que ses principaux Potes ont suivi le même chemin; il est difficile pour moi d'accepter sans broncher que des gens ne le connaissant point, puissent transformer sa mémoire en une espèce de légende Fabriquée de toute pièce.

Mais c'est lui qui en réalité pour tous ceux qui étaient ses amis :

... Lui qui durant toute sa vie, s'était petit à petit fabriqué sa singulière légende.

Pourquoi donc sortir de je ne sais quel chapeau mou :  une autre fortement déformée, si ce n'est que pour se faire valoir personnellement en grand Maître des arts de Pont-Aven,  ou même jouer stupidement le malin connaisseur, cela concernant l'un d'entre eux  ?

A ce que sache l'idiot du village de Dédé que je suis, la personne qui de son vivant le connaissait le mieux était son grand ami de toujours : Georges LE DEZ. 

... Mais aussi : nous ne l'oublions pas nous les vrais pontavénains,  l'Artiste de grand talent que fut Georges ORIOT par exemple. 

Observation pertinente du jour :

C'est avant les  décès de ces deux autres personnages du coin bien trempés dans l'histoire de la peinture locale, qu'il fallait évidemment les interroger mesdames, ... et monsieur Christian,

... afin de ne pas raconter trop de bla bla bla, et : hélas, trop peu d'informations utiles pour être acceptables dans le cadre présenté, alors que sa vie foisonne d"histoires singulières souvent des plus drôles.

A suivre demain

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Le document du jour :

Une exposition qui s'était certainement déroulée dans la grande Salle des Fêtes de l'époque.

Une salle communale qui verra dès lors défiler bien d'autres prétendants au titre d'artiste, avant que l'ancienne cuisine de l'Hôtel Julia située en sous-sol de notre "feu"  Hôtel de Ville, ne devienne le lieu d'exposition des plus en plus nombreux barbouilleurs de l'époque.  

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GAST AH GAST !

Publié le par chercheur d'histoires

(Collection particulière : Tous droits réservés)

(Collection particulière : Tous droits réservés)

GAST AH GAST !

Notre cher ami Gast Ah gast ! : Le seul, l'authentique, l'inimitable, l'unique artiste né natif de Pont-Aven, comme il se présentait si souvent de son vivant. 

Et si nous aussi, les vieux pochtrons de Pont-Aven : Ses vrais potes locaux, nous osions en parler comme durant son vivant, mais surtout sans filtre, ni délire factice.

Lui que ses élèves Parisiens surnommaient "Dédé la frite" 

Un vrai conteur "bien de chez nous",  comme il ne s'en fait plus, notre "Dédé la braguette" :

"Bien de chez nous" avec son esprit de dérision, de malice; 

... avec ses inimitables expressions verbales ou physiques bien à lui. 

Avec ses délicieux phantasmes : en particuliers faut-il bien dire : sexuels, dont on ne se lassait jamais.

Avec ses invisibles grandes douleurs, ses obscurs démons de minuit bien enfouis en son fort intérieur. 

L'un des rares artistes qui dans les bistrots branchés de Pont-Aven savaient au moins  "parler peinture" avec les clients du coin un peu débranchés de chez Correlleau, Guillerm, Cannevet,  ... etc

Lui qui ne buvait pratiquement que du vin blanc dans le verre lequel il jetait discrètement un cachou. Allez savoir pourquoi ? 

Et oui, il avait une multitude de petites discrètes mais rigolotes manies notre cher Dédé.

Lui que d'aucun prenaient parfois pour Aznavour, étend vrai que  de loin, leurs ressemblances physiques pouvaient être troublantes. 

Alors, maintenant qu'il est mort et bien mort; que ses principaux Potes ont suivi le même chemin;  ...

A suivre demain

 

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Le fantôme de l'ombre de son fantôme

Publié le par chercheur d'histoires

Du fantomatique rustéfanesque : En veux-tu , en voilà.

Du fantomatique rustéfanesque : En veux-tu , en voilà.

Le fantôme de l'ombre de son fantôme.

Fantomatique rustéfanesque, vous dis-je aujourd'hui.

J'en suis au cinquième week-end sur huit de mon exposition patrimoniale et culturelle du moment.

Une action " bien de chez nous" les pontavénizoneux, aux antipodes de toutes celles présentées aujourd'hui dans le Trou de Cult Culturanesque le plus anti-local de toute la Bretagne contemporaine. 

Profitez-en les fans de Rustéfan, vous serez les tout derniers à en jouir :

Définitivement les derniers, et cela durant toute l'éternité.

Ce joyaux ne devenant plus vraisemblablement d'autre bientôt, que le fantôme de l'ombre de son fantôme.  

A moins qu'un malin nouveau fantôme intervienne auprès des pouvoirs publics pour sauver ce trésors communal sans pareil en Bretagne.

Un trésor tellement généreux lorsqu'il s'agit de partager les émotions qu'il dégage, qu'il est incompréhensible et condamnable que personne d'influant sur place n'y prête attention. 

A cet après midi au hangar de Kergam pour en discuter  ...  peut-être ?

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La boîte qui rigole : Oh ! la vache ! (Fin du post scriptum)

Publié le par chercheur d'histoires

Bois gravé d'Emile BERNARD

Bois gravé d'Emile BERNARD

La boîte qui rigole : Oh ! la vache ! (Fin du post scriptum)

Le document du jour :

"Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras"

- S'il est vrai que je n'ai pas les moyens financiers pour acquérir, ne serait-ce qu'une petite œuvre moyenne, de l'un des artistes figurant sur la liste des élèves de l'Ecole de Pont-Aven,

- S'il est vrai que je n'ai aucune connaissance en matière d'art :

N'est-ce pas monsieur le Procureur de la Grande République Française ?,

J'estime toutefois que j'ai assez d'attaches sentimentales avec la Grande Histoire Picturale de Pont-Aven, pour me permettre de temps en temps d'acquérir pour quelques sous, quelques bouts de papier gravés par ces artistes devenus des monstres sacrés.

Tous les grands amateurs d'art du coin confondant souvent l'amour de l'art avec celui de l'argent, me diront que ces p'tit bouts de papier ne valent pas un clou.

C'est vrai :  et alors ?  

Quel plaisir n'ai-je pas éprouvé autrefois en acquérant en toute connaissance de cause, ce p'tit bout de bois gravé d'Emile BERNARD que je vous présente aujourd'hui, comportant l'inscription "LOTERI POUR UN POVRE" , dans la  revue La Plume  "n° spécial : Emile BERNARD " datant de 1893, .

(Il y a quelques temps je vous présentais ici un autre bois gravé publié en 1891 dans cette même revue  signée cette fois là Gauguin)

Des documents : mineurs certes, mais d'époque, et devenus rarissimes sur le marché de l'Art. 

Moi au moins, l'idiot du village de Gauguin,  je ne crache pas-dessus. 

Je n'ai d'ailleurs pas suffisamment de connaissances en art, pour me permettre d'en espérer plus !

La pensée du jour : 

"Un tiens vaut mieux que deux tu ne l'auras jamais "

N'est-ce pas monsieur de La Fontaine ?

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La boîte qui rigole : Oh ! la vache ! (Post scriptum)

Publié le par chercheur d'histoires

Là-bas, encore lui.aussi déjà en 1958 ? Mais qui sait qui c'est ???

Là-bas, encore lui.aussi déjà en 1958 ? Mais qui sait qui c'est ???

La boîte qui rigole : Oh ! la vache ! (Post scriptum)

 

A tous les coups l'on gagne !

Le musée de la CC'ânerie vient de s'enrichir de billets de loterie gravés sur bois par Emile BERNARD. (Billet bien connu par la population de souche de Pont-Aven depuis longtemps)

C'est bien, mais pour moi cela aurait été plus heureux pour cette population autrefois éclairée, si ce musée était resté ce qu'il fut durant cinquante ans :

C'est à dire, le P'tit musée "bien de chez nous" dont les pontavénains étaient si fiers, ... avant son intolérable déconstruction afin de satisfaire uniquement les desideratas d'une certaine envoutante carriériste. 

Ces bois gravés d'Emile BERNARD, tout comme d'ailleurs les zincographies de Gauguin dont les dirigeants de la CC'ânerie et de ses musées sont aujourd'hui si fiers, auraient certainement trouvé leur Place de choix dans notre P'tit musée communal :

Un musée petit en volume, mais Grand par la qualité de ses expositions., et cela depuis le début des années 1960, pour tout dire et n'oublier personne !  

Alors : Pourquoi avoir sacrifié ainsi le Centre Ville Historique de Pont-Aven en le saccageant, tout en  dénaturant sa substance patrimoniale et émotionnelle sans réelle raison Culturelle ?

Je pose cette question à tout le monde. Ne me répondez donc pas tous les uns après le autres SVP !  

Fin de cet article  "né natif de Pont-Aven"  lui aussi, demain matin.

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La boîte qui rigole : Oh ! la vache ! (Suite de la suite)

Publié le par chercheur d'histoires

Qui sait, qui c'est ?

Qui sait, qui c'est ?

Verso

Verso

La boîte qui rigole : Oh ! la vache ! (Suite de la suite)

Les « Bretonnes inspiratrices » à l’honneur au musée de Pont-Aven 

Il y en a qui ont de  "l'Aven d'avoir de la chance"  à Pont-Aven me suis-je dit en lisant cela. 

Et oui, je ne suis pas jaloux : ce n'est pas dans mon tempérament, mais je suis tout de même envieux des privilégiés qui bénéficient d'un vaste et luxueux Palais Culturel pour exprimer leurs propres valeurs patrimoniales et culturelles dans la Cité des anciens Peintres de talent. 

De surcroît, avec les fonds financiers qui vont avec, bien évidemment. 

L'été dernier j'annonçais que l'expo que j'avais présentée à Nizon serait suivie d'une autre que j'avais intitulée : 

"Les Pontavénus-Beautés, des modèles pour les artistes photographes du XIXe siècle"

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Nota : Je parle de pontavénus-beautés, car de façon générale, les hommes de

Pont-Aven ne portaient presque plus le costume breton lorsque les photographes

de cette époque commencèrent à portraiturer les gens du coin.   

Idem pour les peintres d'ailleurs !

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L'idiot de village que je suis avait même imaginé pouvoir la présenter l'hiver dernier dans l'ancien Syndicat d'Initiative communal.

L'endroit idéal pour prendre de bonnes initiatives : NON ?

Une exposition dont la visite aurait été gratuite comme toujours chez moi.

"Mais quel con fais-tu parfois" s'exclame mon irritante CHARLiO'T 

"Tu ne sais pas que monsieur le maire a d'autres chattes à fouetter ??????????????????????????????????????????????????????????" 

Le document du jour :

Qui sait, qui c'est ?

Ce document vous apporte un indice important

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La boîte qui rigole : Oh ! la vache ! (Suite)

Publié le par chercheur d'histoires

Qui sait, qui c'est ?

Qui sait, qui c'est ?

La boîte qui rigole : Oh ! la vache ! (suite)

Il y a quelques mois, j'avais ici même pris pour cible pour l'un de mes articles de merde, une précédente publication de presse issue de la direction de la communication de presse de ce même musée Cc'ânisé, informant les pauvres vieux bougres pontavénains et vieilles pontavénaines, que le fonds de ce musée ne contenait en réalité tout au plus : Que ...

- - -  Suite  - - -

1 500 œuvres dont beaucoup sur papier.

Sachant par ailleurs pour les vrais amis de Pont-Aven, qu'il ne possédait qu'environ une centaine d'œuvres peintes dignes d'être rattachées : non pas solidement à ladite Ecole d'Art locale, mais à l'histoire picturale singulière mais plus étendue de Pont-Aven. 

1500 œuvres : OK, mais essayons de faire les comptes :

1 500 : OK,  mais :

- Y compris 100 œuvres peintes définies donc comme : Disons le, attachées à la Cité des Peintres.

- Moins 1 200  paperasseries comme nous venons enfin de l'apprendre dans la presse. 

- et plus 15 Chefs d'Œuvre de l'Ecole de Pont-Aven ...  n'ayant jamais existé !

Gast ah gast, le compte n'y est pas s'exclame la matheuse CHARLiO'T

... Sauf à y intégrer le fonds d'œuvres mineures qui n'avaient pas été intégré dans celui du musée communal.

Ces tableaux de P'tits maîtres ornant jusqu'en 2011 les principales salles communales (La salle des mariages, le bureau du maire, la salle réservée au vieillards de la commune, les couloirs de la maison de retraite, etc.)

Tous raflés en 2010-2011sans vergogne lors de la Grande rafle menée d'un main de fer par la direction des musées de la CC'ânerie. 

Cela je l'ai déjà signalé ici, mais ce que je sais de plus aujourd'hui, est qu'un ancien employé communal bien connu de tous pour ses attachements aux Valeurs de la commune, ses initiatives heureuses allant dans le sens des intérêts généraux de ses habitants, avait dressé la liste de tous ces tableaux qui n'avaient pas intégré le fonds du musée communal.

Qu'est devenue cette précieuse liste madame Biseau ?

N'aurait-elle pas été minablement intégrée dans les archives communales que vous aviez décidé d'éliminer en les envoyant paître dans les poubelles des encombrants ?

Grand merci pour vos paroissiens madame la soutane.  

A suivre demain  

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La photo surprise du jour :

Qui sait, qui c'est ?

Vous ne le reconnaissez-pas ?

Vous le connaissez pourtant tous,

... même ceux qui ne l'ont jamais vraiment connu,

et qui pourtant osent ces temps-ci parler de lui avec autant de cœur et d'enthousiasme que s'ils avaient été ses plus proches amis :

Ces soi-disant amis, alors qu'ils l'ont toujours traité de son vivant,

... comme un personnage des plus superficiel. !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 

 

        

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