La boîte du jour  (fin) 

je ne vous apprendrais rien si je vous révélais que nous sommes tous actuellement dans la merde jusqu'au coup.

Et bien voilà que manifestement, certains géniaux  "politiquards" nous proposent du shampoing au lisier pour nous en sortir.

Cela ne me dérange pas trop car : personnellement, je n'ai plus que quelques poils sur le caillou.

Mais de là à imaginer qu'avec ce type de shampoing à la gomme, de belles gerbes de blé me pousseraient sur le crâne, il y a des tonnes de grains de blé :  d'ordinaire servant à rouler la population dans la farine, que je ne franchirais  jamais les yeux bandés et la tête dans le coltar.

Je dis cela comme ça ce matin, mais l'avenir nous en dira plus.

La conclusion du jour :

Gare aux futurs maux de tête boomerangs,

... manifestement préférés de très très nombreux français !
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La photo collector du jour :

Propriété privée, Tous droits réservés au profit de la personne propriétaire ayant accepté que je la numérise afin de l'exploiter à bon escient,

A bon escient, comme de nombreuses autres que je publie ici en mentionnant cette restriction légale. 

Je conseille à tous ceux qui souhaiteraient les exploiter à leur compte, de faire comme moi :

Allez donc frapper à la porte des possesseurs de ces précieux documents, après avoir intensément durant des décennies, mené coûte qu'en coûte, des actions patrimoniales et culturelles locales dans l'unique intérêt général de la commune et de ses habitants.

Je lis parfois  dans des communiqués locaux, que certaines personnes, certains élus, lancent de grands appels à documents auprès de la population de Pont-Aven :

Sur la friche de ancienne conserverie Le Glouannec et les moulins du coin par exemples.

Je peux leur répondre avec malice qu'avec en poche  mon CAP de dénicheur de poubelles, il y a belle lurette que j'ai tout raflé. 

Tout raflé, comme la CC'â envers les fonds de notre ancien musée municipal.

La conclusion "du coq à l'âne," du jour :

Œil au beurre noir, pour œil au beurre salé,

dentier,  pour dentier :

N'était-ce pas cela la devise de Gauguin par exemple.

Ce célèbre scélérat ayant été condamné par la Justice Française Polynécienne à six mois d'enfermement pour faits de violence à autrui !  

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La boîte du jour 

Autrefois, au moment des élections républicaines, ma grand'mère Jeanne n'avait de louanges que pour le Général de Gaulle.
Et c'est pour cela, et en sa mémoire, qu'aujourd'hui je continue à voter pour les gaullistes. 

Tu continues à voter pour le Général s'écrit estomaquée la CHARLi'OT

Non, pas pour lui ma chère,  mais que pour des gaulés comme moi. 

Et ça marche ? réplique-t-elle  

 Et ben ... !!! Je reconnais qu'à chaque érection je me retrouve avec la queue entre le jambes. 

Mais ce qui me rassure, c'est que je ne suis pas le seul

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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Le rappel du jour :

N'oubliez pas l'expo sur Rustéfan : aujourd'hui (sauf gros orages) ou le WE prochain pour le dernier.

Photo privée : Tous droits réservés bien entendu. Je compte sur vous pour respecter cette règle.

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La boîte des cha-gri'nés (fin)

Deux jours après les fracassantes annonces dans la presse de ces deux courageuses personnes, ce sont quatre membres (sur cinq) des diverses oppositions municipales qui, profitant de cette opportunité, s'exprimaient sur la politique antidémocratique du grand Maître d'Hôtel de Ville.

"Les opposants dénoncent un dysfonctionnement municipal" 

Que déduire de ce déraillement du train-train municipal, lorsque l'on est comme moi, attaché à sa commune d'origine, et que durant toute sa vie l'on a été témoin de sa longue agonie ?

Je me répète : Ce que je ressens de fort depuis le règne de la famille Rivet, est cette idiote posture de la population locale de ne mettre à la tête de sa commune  que des maires à problèmes.

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" Et V'lan ! passe-moi l'éponge entre les dents" 

Et V'lan ! passe-moi l'éponge, ... 
Au service militaire, il fallait s'laver les dents ... 

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Mais le pire du pire actuellement dans la commune est le dramatique manque de sang neuf, de forces vives, et surtout des matières grises nécessaires pour diriger : ne serait-ce que normalement, cette commune en déroute.

Mais pas que cela : Le manque de connaissances du pays par l'ensemble de la population et de ses élus; de ses forces et ses grandes faiblesse, est aussi patent. 

En outre, la posture générale du déni du déclin de la Cité a pour terrible effet d'amplifier le désastre.

 La nécessaire création d'emplois durables et valorisants pour obtenir cette vitale manne d'intelligences n'ayant plus cours dans le pays depuis plus d'un demi-siècle, je ne pressens rien de bon pour assurer un avenir heureux et joyeux aux jeunes s'installant dans notre Cité des impostures en tout genre :

...Ce pays presque préféré des ravageurs touristes désœuvrés de passage éclair.
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La photo interpellante du jour :

Photo d'une époque révolue où des foules compactes envahissaient le centre historique de Pont-Aven les jours de grandes fêtes :

Cette foule étant à l'époque principalement constituée de gens du coin et de ses environs :

Les touriste n'étant que de complémentaires bouche-trous.

Serait-ce toujours le cas,

... ou plus exactement  l'inverse ????????????????????????

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A quelle date cette enquiquinante photographie a-t-elle et été prise ?

Elle vous en donne un indice : 

Observez la banderolle "EXPOSITION : AUTOUR DE GAUGUIN"

présentée dans La Cour de la Mairie.  

C'est-à dire, pour tout dire :  Un évènement exceptionnel  mais aujourd'hui renié par tous les super-puissances culturelles du coin et par leurs acolytes de la secte du christ jaune.  

Bon courage pour trouver cette date auprès de ces lumières si vous ne l'avez pas devinée.  

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La boîte des cha-gri'nés (suite)

Cela dit, les "minables" autant que molles, réponses apportées dans la presse par monsieur le maire pour essayé de justifier ses odieuses postures municipales envers ces deux élues de son groupe, sont des plus : disons, irrespectueuses.

"Monsieur botte en touche" venant de refaire un nouveau grand numéro de prestidigitateur.

Comme lors du désistement de son adjoint à l'urbanisme il y a quelques mois par exemple.    

La réalité est que ces toutes nouvelles opposantes ont manifestement mis sur la table des discussions, de bons et inquiétants questionnements sur la politique imposée d'une main de fer par Christian le bien heureux.  

Leurs accusations sont tout de même gravissimes, et il est écœurant (lorsque cela concerne un grand homme de cœur ! ) qu'il les prenne à la légère.

Me serais-je trompé lorsque je déclarais ici il y a quelques semaines que la commune de Pont-Aven était actuellement dirigée par un "p'tit dictateur en peluche" ?

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J'ai également retenu dans ces accusations portées contre les "membres décisionnaires", une petite phase qui a particulièrement fait tilt dans mon P'tit cerveau :

" La perte de toute crédibilité au niveau communautaire,

Comme l'on dit dans ce cas : Où elle en a trop dit, ou pas assez.

Et bien voyez-vous, depuis quelques temps, la relation entre le maire de Pont-Aven et les dirigeants "décisionnaires" de la CC'â me turlupine au plus haut point.

J'ai le pressentiment que les postures et entourloupettes de monsieur le maire de Pont-Aven doivent énormément agacer ces Super-collègues de la communauté de communes. 

Qu'en pensez-vous les penseurs de Pontavénizoneux ?

C'est en effet cette dernière qui a aujourd'hui l'entière autorité 

en matière d'environnements et aménagements : NON ?

C'est-à-dire, autorité pour mener en principe à bien les objectifs communautaires inscrits dans le SCOT,

C'est-à-dire, en principe, des objectifs pris en compte dans les PLU locaux réactualisés en vigueur actuellement :

Des objectifs définis démocratiquement que monsieur le maire de Pont-Aven refuse de reconnaître, afin d'imposer dans bien des cas sa propre vision utopique de l'avenir de sa commune.  

L'avenir, sans doute proche, nous dira si oui ou non j'avais raison de m'en inquiéter !

A suivre demain

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La  dernière photo de tableaux ornant les édifices municipaux que j'ai sélectionnée pour vous faite plaisir :

Depuis longtemps, c'était une vraie manie gauguineuse d'accrocher des tableaux communaux sur les murs des salles des édifices communaux.

Depuis longtemps, mais seulement jusqu'en 2011 - 2012 :  Années durant lesquelles tous ces biens communaux ont été usurpés âr la CC'Â comme je ne cesse de le rappeler ici afin que personne ne l'oublie.

Et pour finir sur l'essentiel : Des tableaux qui participaient activement à l'éducation artistique locale des habitants  du coin. 

Cee n'était peut-être pas grand'chose mais au moins cela existait et ne coûtait rien pour las finances  communales, tout en participant à la douce atmosphère générale dans laquelle baignait alors la population. 

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La boîte des cha-gri'nés :

Ça merdouille fort actuellement au conseil municipal de la Cité  des merdouilleurs.

Lu dans la presse de ces derniers jours : 

"J'ai pris la décision de me retirer du groupe de la majorité municipale.

Après deux années de mandat municipal, cette personne déclarant haut et fort  ne pas retrouver les valeurs d'écoute, de concertation et de bienveillance qui avaient été annoncées lors de la campagne électorale.La gestion de plusieurs sujet par les membres décisionnaires du groupe de la majorité m'a interpellée ces dernières semaines comme comme certains comportements. 

En effet; toute question semble comme une agression, une remise en cause alors que sa finalité est simplement d'appréhender les tenants et aboutissements du projet discuté.

Le lendemain, c'était une autre élue qui s'exprimait dans la presse : 

"J'ai pris la décision de me retirer du groupe de la majorité municipale.

Lors de la réunion du 18 mai, vous et Jean-Marc TANGUY, m'avez demandé de démissionner sous le seul prétexte que je pose trop de questions.

Nous avions dit que nous ne voulions pas de consultations "alibi" postérieures à la prise des décisions, des votes non éclairés, une information non partagée, la perte de toute crédibilité au niveau communautaire, des commandes d'études coûteuses sans maîtrise d'ouvrage, sans connaître au préalable la question posée :

Que reste-t-il aujourd'hui de ces belles promesses ?

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Avant toute autre chose, je tiens à féliciter ces deux personnes pour le grand courage qu'elle viennent de manifester publiquement dans la presse.

Un courage que l'on ne connaît plus depuis très longtemps à Pont-Aven au sein des conseils municipaux successifs.

La commune n'étant plus depuis 1985 dirigée que par des grands chefs autoritaires et quelques acolytes, tous les autres élus n'étant que des figurants.

Mais souvent aussi, ne l'oublions : par d'obscures forces de l'ombre.

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Je connais l'une des deux et je me suis sérieusement informé sur l'autre.

J'ai tout de même la forte impression que toutes les deux sont des personnes particulièrement posées, calmes, et sûrement pas agressives comme essayent de les taxer leurs anciens faux amis.

Qu'en pensez-vous les courageux pontavénizoneux ?

C'est un motif suffisamment sérieux pour : enfin, vous exprimer publiquement : Non ? 

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Suite demain matin

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Monsieur "GAST AH GAST"   (La touche finale de cet article)

Conclusion de cet inter-minable article,

... que les lecteurs de ce blog de merde ont dû subir.

Comme tout a une fin,  n'en déplaise à ceux qui se croient éternels, je vous demande enfin si mon article ne vous a pas laissé sur votre faim, comme moi en lisant le bouquin que je viens de tartiner.

Et puis, afin cette fois encore de finir en beauté mes articles puants par une nouvelle question sans réponse, je me permets d'oser en poser une nouvelle particulièrement vache  : comme celles de Dédé ? , mais ne pouvant comme les précédentes,

... que de fâcher durement les concernées.

 J'ai déjà à plusieurs reprises rappelé ici que les peintres qui souhaitaient exposer dans les Salles de l'ancien Hôtel de Ville, devaient contractuellement offrir une œuvre à la commune de Pont-Aven.

Dédé ayant été vraisemblablement celui qui a le plus exposé en ce lieu, est donc aussi celui qui a offert le plus de toiles à sa commune de naissance.

Sachant que jusqu'à sa mort, la direction du musée municipal avait totalement ignoré notre artiste, et que de toute façon les offrandes de  ces peintres exposants n'avaient jamais intégrées le fonds des réserves de ce musée,

Que sont donc devenues celles offertes par notre cher "Gast ah gast ? "

Monsieur le maire de Pont-Aven : subsidiairement adjoint à la culture de la CC'â, doit sans aucun doute avoir une petite idée sur le sujet : NON ?

N'est-ce pas Christian ? Toi qui a de géniales  idées sur tout, même sur notre Dédé la braguette, comme tu viens d'essayer de nous le faire comprendre dans ce bouquin !

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Les documents compromettants du jour :

Il fut un temps où la population locale avait la possibilité de recevoir une éducation artistique locale gratuit en fréquentant les locaux municipaux ornés de tableaux locaux.

Gast ah gast ! : Que c'est-il passé depuis se demande Dédé de là-haut !!!

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GAST AH GAST !!!!!!!!!

Le document du jour :

" Par les champs et les grèves "

"Une houle tranquille qui ondule à travers champs.

"Ce qui a valu à son œuvre de la part d'un critique, la définition poétique suivante :

"LE CHANT DES CHAMPS"

Et,  comme le destinataire de ces louages dit si bien dans cet article de presse :

"Je suis le  dernier de l'Ecole de Pont-Aven , car j'ai suivi ma scolarité aux écoles de Pont-Aven"

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La semaine dernière, je papotais avec notre chère doyenne : Madeleine,

du bouquin * qui venait d'être publié sur Dédé, son ami de toujours.

Elle se mit tout d'un coup à rigoler,

... en me confiant que lorsqu'elle avait aperçu Dédé en soutane pour la première fois, elle avait pouffé de rire. 

Et bien voyez-vous, c'était la première fois depuis de nombreuses années que je voyais Madeleine rigoler comme ça.

* Non pas celui écrit par Roger BOUILLOT du vivant de notre maître, ayant : Peut-être !!!,  grandement  inspiré  les auteurs du second ? 

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Le question du jour :

Mais que devient la Belle  Angèle  Yo-yo ? La dernière copine de Dédé.

Celle qui j'espère, aura su apaiser ses démons.

Celle qui après son décès viendra régulièrement stationner sa voiture sur la

Grand'Place de Pont-Aven,

... en ouvrant son "coffre musée" des œuvres de son amoureux,

... qu'elle essayait de vendre à la sauvette ...
... sans beaucoup de succès  d'ailleurs ! 

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la touche finale de cet article :

Ce sera pour demain matin sans faute 

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GAST AH GAST !!!!!!!!

Si cela est aujourd'hui oublié de tous, Dédé rejoindra le groupe d'artistes qui  prendra pour nom COLTAR.

C'est en 1984 que ce groupe sera fondé en s'installant comme des squatteurs dans l'immeuble de l'ancien docteur LE LOUET (maire de Pont-Aven peu  après la dernière guerre)

Ce groupe se dissoudra rapidement, et seule Judit FARRO  nous fera l'honneur d'exposer ses remarquables œuvres contemporaines dans l'ancien centre historique de la commune tous les étés jusqu'en 2018.

Merci Judit pour ton courage et ton immense persévérance. 

C'est à cette époque que naitra également : entre autres, le groupe des joyeux  CRABISTES.

Cela dit, j'estime qu'il aurait été heureux tout en ayant beaucoup d'intérêt pour l'histoire contemporaine des innombrables exposants à Pont-Aven, de revenir sur cette période de grands bouleversements à Pont-Aven , pour mener de sérieuses  études sur cette cohorte de personnages afin de proposer une profonde analyse "scientifique", ...  et surtout qualitative et critique sur le sujet.

Et pour finir ce paragraphe sur une douce note en faveur notre cher Dédé préféré des pontavénains nés natifs d'ici : De situer les singularités de son Œuvre dans ce magma d'encombrants.

Une façon qui aurait permis d'apporter de l'eau fraiche aux moulins "devenus à vent" de Pont-Aven. 

Ce n'est manifestement pas le cas : C'est bien dommage.

A suivre demain

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Le document du jour :

L'affiche des COLTAR

Dédé a peu produit d'affiches durant sa carrière d'artiste.

Je me souviens toutefois d'une immense qui ornait l'un des halls d'ORLY.

Une affiche qui avait été imprimée à l'occasion d'une exposition qu'il présentait au Japon.
A Tokyo si ma mémoire est bonne.

Qui sen souvient ?

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A suivre demain

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GAST AH GAST !!!!!!!

Les turpitudes du maître.

Il en parlait souvent de ce vol du portrait de sa grand-mère peint par Fordhom, lui permettant ainsi de fantasmer sur la belle Angélique SATRE, et sur le devenir Royal : mais manqué, du portrait de sa chère  Reine.

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Cela dit, à l'époque où il vivait à Montmartre, il eut l'honneur d'être cité dans la presse nationale en raison du vol de plusieurs de ses tableaux.
Ce vol s'étant déroulé durant un court instant où il s'était absenté de son domicile.

Un peu plus tard, son grand ami Georges LE DEZ venant lui rendre visite, frappait à sa porte d'entrée durant son absence.

Un voisin que connaissait Georges, sortant de son appartement juste à ce moment là,  l'invita à entrer chez lui.

C'est ainsi que ce voisin  lui expliqua que son voisin lui avait récemment demandé de déposer chez lui quelques tableaux, que "gast ah gast !, Dédé récupéra quelques jours après le fameux vol.

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 Bien plus tard, c'est à Pont-Aven qu'il lui arrivait la même déconvenue (!) durant un bref instant où il prenait un verre de vin blanc "cachouté" chez Guillaume.

Conclusion du jour : 

Vous voulez de la PUB gratuite ?

Adressez-vous à notre cher Dédé la débrouille.

C'était comme ça; dans ses délires de haute voltige, que nous aimions tous Dédé. 

Mais sûrement pas comme un apparenté,

... ou un suiveur de Gauguin,  

... comme certains osent le prétendre aujourd'hui.

     !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!  ?  ?  ?  !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

A suivre demain

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GAST AH GAST !!!!!!

Dédé  soumis aux dures Lois des salles des ventes.

Les lois des amateurs d'art dont il est en principe nécessaire de ne pas oublier pour être crédible lorsque l'on se proclame Historien d'art d'un artiste, me semble t-il ??? 

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André EVEN a toujours eu le grand talent de se vendre à merveille en y consacrant une énergie de Feu de Dieu. Je n'invente rien : Tous ses amis et suiveurs le savaient.

Je pends un exemple précis : (Voir le document du jour)

Je me souviens de cette exposition qu'il avait présentée dans les spacieux Salons du siège du CMB au Relecq Kerhuon près de Brest. 

Un évènement repris dans le guide argus international de 1992. 

Le texte des éloges adressées à notre cher "né natif de Pont-Aven" collait comme deux gouttes d'eau  à l'esprit commercial de notre personnage,

... à une différence près : l'auteur de ce texte confondant Douarnenez avec Pont-Aven :

OH ! Le pirate ! 

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A l'époque, la cote (donnée par les amateurs d'art) de ses peintures flottait entre 2500 et 8700 francs (soit une moyenne d'environ 6000 francs

Dans l'argus de la peinture d'AKOUN de 1990, sa  cote moyenne était estimée à 8000 francs.

Soit en moyenne, l'équivalent de 1 000 € aujourd'hui.
et moins si l'on tient compte de la dévaluation de la monnaie dans le temps,  évidemment. 

- Hélas, dans les années 1990-2000, cette côte chuta fortement pour les raisons que j'ai développées ci-avant. 
Depuis peu elle est remontée autour de 600 €,  et bien plus dans les galeries de Pont-Aven. : Et pour cause ???????????????? 

Pour autant, il reste manifeste que contrairement à tous les barbouilleurs qu'il a dû affronter à Pont-Aven depuis 1985, sa cote ne s'est pas lourdement effondrée jusqu'à ne plus exister :

 S'effondrer comme celle de la quasi totalité de tous ses concurrents sur le marché de Pont-Aven.

A suivre demain. 

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