Le blog de chercheur d'histoires

Madeleine

(Merci Philippe pour les photos de Madeleine que tu m'as envoyées)

C'est durant une Fête des Fleurs d'Ajonc d'avant guerre que la jeune Madeleine vivant encore chez son père fut surprise par un voisin à ramasser du crottin de cheval. 

(Le crottin du cheval du char de la reine vraisemblablement)

Cette photo nous ramène aux très anciennes mœurs où le crottin correspondait à un vrai revenu pour les plus pauvres.

Du temps de Madeleine, il n'était plus ramassé sur les chaussées des rues que pour engraisser les géraniums en pot.

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Cela dit, il y a quelques semaines monsieur le maire de Pont-Aven annonçait dans l'un de ses communiqués de presse, que par testament  Madeleine avait cédé ses biens à la commune de Pont-Aven :

Un fond d'argent provenant de la vente de sa maison devant être destiné selon sa volonté aux actions sociales locales.

Madeleine a vécu presque toute sa vie dans une misère noire. Je ne vous apprends rien, j'en ai déjà parlé ici longuement.

Sans revenu, sans retraite, sans sécurité sociale, Il y a une vingtaine d'années j'étais intervenu pour qu'elle puisse au moins bénéficier du fonds de solidarité nationale versé par la caisse des dépôts. Soit environ 250 € mensuel à l'époque. Elle aurait pu bénéficier d'une aide supplémentaire mais elle ne le souhaitait pas.

Elle aurait pu ainsi se chauffer, se nourrir à sa faim, se faire de temps en temps des petits plaisirs, etc.  mais non car les sommes versées auraient été récupérées sur sa succession.

Elle a donc préféré s'en passer afin d'offrir un peu de bonheur à d'autres personnes dans le besoin.
Madeleine n'était pas très croyantes , mais ne fut-elle pas pour autant une sainte ? 

La conclusion du jour :

N'aurait-elle pas mérité que la municipalité lui rende un honneur plus marqué qu'une simple banale et courte information de presse ?

Qu'en pensez-vous les amis de la population de Pont-Aven ? 

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Le BLOG-NOTES du jour :

Lu dans la presse de ces derniers jours : 

- Pont-Aven : Un barbier s'installe au fin fond de Nizon

Mais pourquoi si loin du dynamique centre de la commune ?  se demandent les barbus de l'aquarium du bistrot des Glenan ? 

La réponse est aussi simple que barbante pour les élus  :

Parce que les loyers commerciaux sont devenus exorbitants pour les petits commerçants de proximité de la commune !

- Pont-Aven : Salle pleine pour le premier concert classique de l'année  de l'association "Les préludes de Pont-Aven"

Bravo pour cette association évidemment. 

Par contre, ce qui est fâcheux est que la commune met à la disposition gratuite à ces nantis cultivés les quatre chapelles et les deux églises du patelin.
Et, cerise sur le gâteau : il en est de même pour la CCâ de la mise à disposition de sa Salle Julia.

Il n'y aurait bien sûr rien à redire si la population de base avait les mêmes chances que ces privilégiés !

Il faut reconnaître que la ségrégation culturelle joue "à fond la grosse caisse" à Pont-Aven depuis le début de ce triste  siècle.    

- La CC'â : Un plan pour la reconquête de la qualité de l'eau de l'Aven

Mais pourquoi cette inattendue reconquêt, les amis de l'eau ?
Les eaux de l'Aven seraient donc de très mauvaise qualité ? 

... et les élustucrus du cru ne nous l'ont même pas signalé ? 

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La mise à jour de cette photo vue ici il y a quelques semaines

Il y a du nouveau dans l'air parfumé de ce p'tit coin d'Eden de Pont-Aven :

 Maintenant même les hommes ne sont plus autorisés à y entrer pour pisser !

C'est sans doute pour respecter la parité ? allez savoir !

(Affaire à suivre pour moi évidemment, ... en y mettant de temps en temps mon nez)

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Voilà un reportage bien en phase avec le singulier esprit critique et malicieux qui imprégnait toujours les bistrots et autres lieux branchés du coin dans les années 1970.

Une époque où la population avait encore du caractère "bien de chez nous"

C'est-à-dire des connaissances locales héritées des générations antérieures, et surtout :

un esprit d'analyse qualitative et critique très développé.

A cette époque, à Pont-Aven l'art était remis en débat à chaque occasion, et plus particulièrement lors de chaque exposition du musée communal. 

Et c'est ainsi que les habitants avait la chance de pouvoir développer leurs esprits critiques en matière artistique, esthétique, et dans bien d'autres domaines de la vie.    
 Ce ne sera qu'à partir de 1985 : Date de l'agrandissement et de l'institutionnalisation de ce petit musée pontavénain, que cet esprit local si particulier commencera à être

"éradiqué" par des bien-pensants tombés du ciel comme de la foudre. 

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Quand Pont-Aven ne pouvait pas voir Gauguin en peinture (Suite)

De telles  critiques publiques aujourd'hui  ?

Mais l'auteur serait immédiatement guillotiné sur la Grand-Place des supplices

de Pont-Aven.

Suite et fin demain matin 

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Quand Pont-Aven ne pouvait pas voir Gauguin en peinture

Qu'en pensez-vous les pontavénizoneux d'aujourd'hui ?

RIEN ????????????????????????????????????????????????????

Il y aurait pourtant de quoi se poser des questions : NON ?

A suivre demain

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Non :  Le centre historique de Pont-Aven n'a pas les capacités d'accueils suffisantes

pour se permettre de jouer dans la Cour des Grands lieux touristiques mondiaux. 

Depuis le début de ce mois les effets destructeurs de la massification touristique voulue par les municipalités successives de la commune depuis 1985 ont atteint des hauteurs toureiffellesques. 

Il suffit d'observer ce qui s'y déroule pour comprendre que plus rien n'est gérable et que même une compagnie de CRS n'y pourrait rien.

Ce merdier est devenu encore plus merdiquissime qu'avant.

Où nous menez-vous de tout cœur Monsieur le Maire ?

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Il se dit depuis longtemps que c'est la foule qui attire la foule.

La preuve en est de plus en plus manifestement donnée à Pont-Aven.

Je me demande même si cette foule ne travaille pas au noir en venant trainer les godasses à Pont-Aven.

Tout travail réclamant un salaire, ne pensez-vous pas que les boutiquiers et musée à vocations essentiellement touristiquantes, devaient verser aux "besogneux figurants traine-savates" du plateau touristique local, un salaire bien mérité ?

Ce sont bien ces gens là qui s'affairent comme des demeurés pour le dynamisme Culturel   commercial de la Cité : NON ?

Ils descendent dans notre trou pour s'admirer entre-eux.

Un commerce qui ne rapporte qu'à quelques commerces qui se comptent sur les doigts des mains et des pieds des  milles pâtes  culs-de-jatte du coin.

La preuve : Dès qu'ils disparaissent, le centre du bourg d'en bas de la commune n'est plus qu'un sinistre trou béant sans vie. 

Sans vie parce que sans ces parasites, il n'y a plus rien de vivant, d'utile, ou d'intéressant à y trouver ou découvrir.

La conclusion du jour :

Le seul vrai palpable caractère actuel du centre historique de Pont-Aven est apporté artificiellement par cette diabolique massification touristique. 

Encore faudrait-il aux élus le courage de le reconnaître et d'en tirer des leçons !

La conclusion du jour :

Pont-Aven : Petite Ville de Caractère ?

Mais de caractère de quoi ?

Voilà les questions qu'il ne faut surtout pas poser actuellement aux élustupides du coin

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Une vibrant appel au peuple  (Suite et fin)

Voici cet appel :

Cher (e) responsable (s)  de votre association,

je me permets de vous contacter aux noms des rédacteurs du prochain semestriel

communal afin de solliciter votre aimable collaboration.

Comme vous le savez, notre publication a pour vocation de promouvoir les activités et les événements qui font vivre notre commune.

Dans cette optique, nous souhaitons inclure dans notre prochaine édition une rubrique

spéciale dédiée aux associations locales, les festivités approchant à grand pas.

Nous serions heureux de pouvoir présenter les réjouissances que vous avez envisagées d'organiser.

Cela permettra aux habitants de s'informer et de participer activement  aux événements.

De plus, nous aimerions ajouter une section visuelle attrayante en publiant des photos actualisées, représentatives de votre association.

Ces images offrent un aperçu de vos activités et encouragent ainsi les lecteurs à s'impliquer davantage.

Toutefois, nous sommes conscients que le droit à l'image est un sujet sensible et nous accordons une grande importance au respect de votre vie privée et de vos membres.

Par conséquent, nous vous invitons à nous donner explicitement l'autorisation d'utiliser vos photos dans notre publication. Nous tenons à souligner que nous nous engageons à mettre en page vos photos avec le nom de l'association et à veiller à ce qu'elles soient utilisées uniquement dans le cadre de notre semestriel communal.

Pour faciliter le processus de collecte d'informations, nous vous serions reconnaissants de bien vouloir nous fournir les détails suivants:

- 1   les dates, les heures et les lieux des festivités que votre association prévoit d'organiser au cours du semestre à venir.

- 2  votre accord écrit confirmant que vous autorisez notre publication à utiliser vos photos dans le cadre de notre semestriel communal, en mentionnant le nom de votre association à mon adresse mail   ( jp.lebrun@pont-aven.fr ).

- 3  le dépôt de vos photos auprès de Thierry  LE SAUX à la mairie annexe de Nizon où  s'adresser à lui par mail  ( thierry.lesaux@pont-aven.fr  ). 

C'est Thierry qui finalisera la mise en page.

Nous vous prions de bien vouloir nous transmettre ces informations et les photos avant la date limite du 07 juin 2023 pour parfaire le travail.

Cela nous permettra de les inclure au mieux dans notre prochaine édition et, tout au mieux, promouvoir votre association auprès de notre lectorat.

Nous vous remercions grandement en espérant qu'ensemble nous puissions faire de cette édition du semestriel une vitrine dynamique et représentative de nos associations locales.

Cordialement.

Une vibrant appel au peuple 

de la municipalité vient d'être transmis aux responsables des associations locales.

Comme ici l'on vous dit tout sur tout je vous proposerai d'en prendre connaissance ici demain matin.

Pour ma part, j'en ai retenu qu'une fois de plus, les élus en faisant semblant de s'intéresser à ses concitoyens,  pensent surtout aux touristes. 

- "Les festivités approchant à grands pas ...  "

Serait-ce pour autant un programme très alléchant pour les habitants ?

Sûrement, Il n'est question que d'eux; les toutous restant transparents dans leurs propositions.

Les braves gens du coin ne sont hélas plus les bienvenus dans le centre historique de leur commune depuis longtemps. Un centre de plus en plus répulsif à leurs égards.

Pourquoi donc ce brusque appel au peuple local si dédaigné par les municipalités successives depuis le règne de la famille Rivet ?

Moi qui ne doute de rien, je trouve pourtant ça inquiétant.

La conclusion du jour : 
En tous les cas, je suivrai passionnément durant tout l'été, les grandes festivités soi disant destinées à la population locale comme l'exprime les élustucrus du cru dans cet appel. 

A demain pour la lecture de ce vibrant appel

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La photo du jour :

prise au haz'art d'une promenade sur le viaduc. 

Pourquoi ces arbres sont-ils coupés ? s'exclament leurs vieux nids des rapaces du secteur.

Ne serait-ce pas pour que les membres de la commission de classement des petites cités de caractère ne prennent pas le risque d'être écrasés si ces arbres décidaient de tomber sur eux lors de leur passage ? 

Ces arbres ont vu passer tellement de Gauguin(s) sous leurs yeux, qu'ils sont devenus  forcément très coquins.  

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L'Ubuesque Asso des couilles molles pontavéniaises en ordre de bataille (fin page n°4) 

Ce n'est plus une (la mienne), mais trois associations qui virent en fait brutalement le jour.

Les deux autres s'imaginant stupidement me concurrencer jusqu'à étouffer mes actions. 

Par ma faute évidemment : Je le reconnais car si je ne m'étais pas démené comme un diable pour sauver ces ruines depuis 25 ans, personne n'aurait bougé son Cul'T terreux pour elles.

Sans moi  : Qui à Pont-Aven se souviendrait encore de Rustéfan ?    

Il faut tout de même savoir que la meneuse de la plus puante des deux avait durant ces réunions osé chiper les noms et coordonnées de la vingtaine de personnes m'ayant assurées de m'accompagner dans cette lutte.

- Des personnes ne désirant évidemment pas participer à la mise à mort de Rustéfan.

- De vrais amis de Pont-Aven et de ses Patrimoines recevant depuis ces réunions d'incessants et agaçants messages de propagande provenant de la direction de cette puante association.

Croyez moi : Il faut être solide comme les blocs de granit de Rustéfan pour résister à de telles minables postures.

La conclusion finale de cet article :

Ce printemps, si j'avais pu paisiblement achever mon action, ce serait vraisemblablement une cinquantaine de personnes qui m'auraient soutenues pour poursuivre mon opération de dernière chance de sauvegarde des ruines auprès des élus et des pouvoirs publics.

L'un de mes imparables arguments était de mettre sur le devant de la scène la dangerosité de l'édifice au regard des voisins les plus proches.

C'est tout pour l'instant mais je ne lâche pas l'affaire évidemment. 

Mon association "Pont-Aven, Patrimoines, Cultures et Environnements" a du pain blanc sur la planche pour : par exemple, effectuer des recherches sur les deux siècles situés entre 1600 et 1789,  totalement passés dans les oubliettes de tous les historiens jusqu'à présent.

Deux siècles durant lesquels il est vraisemblable qu'un évènement particulièrement grave s'y soit découlé pour que les propriétaires de l'époque abandonnent et délaissent définitivement ce joyau.  

Pour moi, il est aujourd'hui évident que cet édifice est appelé à disparaître, faute de sérieux combattants pour le sauver.

Ce n'est pas pour autant qu'il faut  abandonner les recherches pour mieux comprendre la Grande HISTOIRE de ce MANOIR,

... symbole du Patrimoine Architectural "à caractère singulier" de la commune. 

Kon se le dise !  

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La moche photo du jour :

Aujourd'hui c'est la brousse.

Certes, mais bientôt grâce à ses envahisseurs, vous y retrouverez des traditionnelles baraques à frites à l'oseille,

- des cartes postales de la Tour .....  Eiffel,

- des Tours de Rustéfan en chocolas,

et des baguettes magiques en sucre d'orge de Nizon

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oge deNizon l,    

L'Ubuesque Asso des couilles molles pontavéniaises en ordre de bataille (fin page n°3) 

Lorsque je décidais en fin de l'année dernière d'essayer de créer une association Patrimoniale, Culturelle, et Environnementale afin que ses membres prennent le relais de mes actions, l'avenir des majestueuses ruines du Manoir de Rustéfan était dans mon esprit  l'une de mes principales préoccupations (au même titre que celui du lit de l'Aven)

je m'étais cassé le cul't à préparer une EXCEPTIONNELLE exposition sur la tragique Histoire de ce monument après que plusieurs jeunes gens de la commune m'aient interpellé sur son devenir.

Durant les deux mois de cette exposition, j'avais repéré les rares personnes locales susceptibles de m'accompagner dans la suite de mon combat de sauvetage de l'édifice.

Lors des réunions préparatoires à la création de cette association, je n'ai pu m'exprimer sur mes intentions, ayant été lâchement attaqué de toute part par d'affreux malveillants sans vergogne.

Imaginez la situation, où tout d'un coup : Un maître d'école d'une classe élémentaire se retrouve contraint d'interrompre son cours car le directeur de l'école : prit d'une soudaine folie furieuse, ordonne avec force aux élèves de sortir dans la Cour de Grands, 

... pour jouer à la marelle ou au tir-à -l'arc !

C'est ce qui m'est arrivé en quelque sorte,

... mon sérieux programme étant pris en otage par des amuseurs publics :

... les enfants devenant du coup des saltimbanques ratés pour touristes désœuvrés.

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Suite de cette fin demain matin pour une toute dernière page de fin.

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