Le blog de chercheur d'histoires

Une charte graphique : Page n° 4

En bas de cette page n° 7,  monsieur le maire nous informe sur le "studio" ayant été chargé de mettre en forme graphique l'ensemble des réflexions engagées par la municipalité :

Ne cherchez pas : Ce bla bla bla ne vous concerne pas :  braves pontavénizoneux de souche populaire.

.................................................................................................................................................................Gas ah gast ! : leur objectif était aussi de créer "une nouvelle identité à la commune"

OK : Mais de quelle commune est-il question monsieur le Maître d'Hôtel de Ville de cette Cité fantôme que personne d'autre que lui et ses complices ne reconnaît sur place  ?  

Ni d'ailleurs dans leur maigrichon nouveau logo pas rigolo.

Électeurs pontavénizon'arts,  c'est pour cela que vous avez voté pour cette municipalité peut-être ? 

Où donc y voyez-vous des références à :

"Ses composantes historiques : pierre, moulin, eau, nature, peinture, culture, accueil, convivialité, échanges, développement, patrimoine, histoire, modernité, diversité, gastronomique, agriculture ...

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La bizarre autant qu'étrange roue présentée ne symboliserait-elle pas plutôt celle du olé olé  "Moulin de la Galette" parisienne  ?

Ou mieux  : Le moulin de l'infortune de Pont-Aven et de sa population ? 

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Il y a quelques années, un pontavéniste du cru m'avait présenté l'original (une gouache sur papier) du fameux blason de Pont-Aven qu'il possédait, en me demandant si j'avais des renseignements sur son historique.

Depuis, le chercheur d'histoires locales que je suis, a trouvé quelques documents et informations sur le sujet.

A demain ici pour cela, si vous le voulez-bien :

Ici l'on vous dit tout comme vous le savez. 

... du moins lorsque que ce blog n'est pas censuré sans procès

... par des voyous sans scrupule !

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Une charte graphique : Page n° 3

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Un grand Retour sur Over blog : Finie donc sa censure dont Frapié se vantait d'en être le l'initiateur.

Chassez la démocratie, et heureusement elle revient parfois au galop

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Passons à la page 7 de ce bulletin municipal intitulée :

"Nouvelle charte graphique : Site Web, bulletins communaux, logo, entête de courrier ...

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Pourquoi faire simple lorsque l'on peut tout compliquer pour paraître dans le coup de la modernité ?

Pourquoi faire compliqué lorsque la population ne le demandait pas, alors même qu'elle a bien d'autres préoccupations qui demandent des réponses municipales.

Peut-être pour éviter de parler des nombreux et graves problèmes qui gangrènent le pays de Gauguin ?

Qu'en pensez-vous les pontavénizon'heureux ?

Pensez-vous que dans cette nouvelle vantardise "à la Dautel", le travail fourni par nos responsables "minicipaux "correspond à leurs prétentions de "faire ressortir des graphismes retenus, les composantes essentielles de l'identité de notre Cité : Ses composantes historiques : pierre, moulin, eau, nature, peinture, culture, accueil, convivialité, échanges, développement, patrimoine, histoire, modernité, diversité, gastronomique, agriculture ... :

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Ouf !!! n'auriez-vous pas SVP un cachet d'aspirine à me prêter ?

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"Des traits de caractères propre à Pont-Aven" ? !
Il me semble évident que tous ceux qui participent actuellement concrètement à la vie municipale de la commune ont la tête ailleurs que chez nous. 

Dautel étant le chef de file de ce troupeau perdu. 

Pas pour vous ?

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A suivre demain...

... si les avocats de Frapié ne me frappent pas une nouvelle fois ! 

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BONJOUR À TOUS : JE VIENS DE RECEVOIR UN MESSAGE D'OVER-BLOG M'INFORMANT QUE CELUI DU CHERCHEUR D'HISTOIRES ALLAIT ÊTRE RÉTABLI.

A TRES BIENTOT DONC SUR CET ESPACE 

Lorsque les croyances reprennent le pas sur la Raison

C'est ce qui se passe de nos jours partout dans le monde : NON ? 

... Alors même que pour sauver la planète c'est l'inverse qui devait obligatoirement se réaliser. La dernière seule chance pour y arriver serait donc d'éradiquer les humains.

Mais pour ça, nous pouvons compter sur tous les terrifiants barbares actuels qui petit à petit se répandent sans grands efforts sur le terre entière. 

Les prochaines générations vivront-ils dans la hantise d'un cannibalisme humain né de ses lointaines cendres ? 

Qui sait ?

Chassez le naturel, il revient au triple galot (Suite) 

Si des élus de l'opposition municipale souhaitait demander au P'tit Dictateur en Peluche de Pont-Aven des éclaircissements  et explications sur les investissements de la commune, n'était-ce pas pour prendre le relais démocratique des attentes de très nombreux habitants de la commune ? 

Et moi le p'tit emmerdeur du coin, de poser la même question concernant les investissements nécessaires pour sauvegarder et étayer en urgence absolue les majestueuses ruines de Rustéfan, pour lesquelles monsieur le maire et son adjointe à l'environnement avaient promis il y a moins d'un an, de se préoccuper !

Un maire enfermé dans sa bulle hermétique vis-à-vis et sans avis sur les souffrances et les besoins vitaux, patrimoniaux, culturels, et environnementaux de la population locale, s'imaginant manifestement dans ces projets sans avenir à la tête d'une Grande Agence d'Architecture Internationale.

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Ses opposants ne comprendraient rien à son avis :

Mais serait-il sûr que la majorité des élus de sa majorité municipale en comprennent un tout petit peu plus ? 

La conclusion du jour :  

- Le maire de Pont-Aven est dans sa bulle : ce n'est qu'un constat.

- Le maire de Pont-Aven est dans sa bulle,

... pendant que dans cette bulle,

... de nombreux élus de sa majorité bullent :

Ne serait-ce pas ça la réalité ?

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Vieux mot'art que jamais  

L'événement le plus marquant des dernières années à Pont-Aven s'achève

La semaine dernière, le matériel de la dernière minoterie de Pont-Aven était vendu aux enchères.

Il en donc définitivement terminé de la grande et longue histoire des moulins de l'ancienne Cité des Moulins.

A ma connaissance, ce fut à la fin des années 1840 que le Chevalier de Fréminville  mentionnait pour la première fois dans l'un de ses ouvrages le fameux - faux - dicton :

"Pont-Aven, quatorze moulins et quinze maisons" 

que d'aucuns reprennent encore parfois dans des ouvrages sur Pont-Aven.

En réalité, dans la bourgade de Pont-Aven (ou Pondaven) devenue ville au moment de la Révolution, n'ont existé que 8 moulins à grains (Plus deux scierie hydro-motrices dont l'une construite dans les années 1820. 

C'est donc l'une des plus longues pages de l'histoire des habitants de Pont-Aven qui vient d'être discrètement tournée ce mois ci.

Espérons que les nouvelles - et prometteuses -  associations patrimoniales de la commune seront à même de sauvegarder et de mettre en valeur la riche mémoire collective de ce bien commun ...

... à au moins 12 à 15 générations successives de la commune.

La conclusion du jour :

 Et si l'association P.A. PCE vous contait parallèlement cette très passionnante histoire locale dans une riche exposition sur le sujet.

Il ne lui manque plus qu'une salle communale à la mesure et la Hauteur de l'événement.

(Accessible aux fauteuils roulants bien entendu)

--- La conclusion de la CHARLiO'T  ---------------------------------------------------

Oui : peut-être ?  

Mais comme Gauguin ne l'a pas peinte, 

... alors pourquoi se donner tant de peine pour rien !

ET bien justement CHARLiO'T : Parce que Gauguin a de nombreuses fois peint ou dessiné les chaumières de la famille Lollichon-Le Dérout : Propriétaires meuniers de cette minoterie  depuis la RÉVOLUTION.

Les Lollichon étant antérieurement déjà les meuniers locataires du petit moulin qui existait à l'époque.

Un petit moulin dont les murs existent toujours mais coincés et  peu invisible à l'intérieur du bâtiment actuel construit petit à petit entre les deux guerres.  

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Au Pouldu aussi ... Ça Pult du Cult,

... Lorsque la gauguinite pontavéniaise y débarque ...

... Ça fait des vagues sur la plage de cet ancien trou du cul perdu.

Mais pourquoi donc les amateurs d'art poulducunistes ne peuvent-ils plus vivre sans du Gauguin tous les matins  ? ... 

... Et sans une toute aussi stupide massification touristique qu'à Pont-Aven.

Je n'est pas de réponse satisfaisante mais l'on ne peut que constater et déplorer que le délire pontavéniais s'étend petit à petit  jusqu'à même : pour l'instant  le Pouldu ... ... ... et d'une autre manière Châteauneuf-du-Faou. 

Au Pouldu, ce n'est plus qu'une petite envie juvénile qui fait rage, c'est un grand besoin de construire un grand musée Gauguin qui s'est introduit dans le cerveau des dirigeants de la commune de Cloch'art-Carnoët'art. 

Cela aussi bien sûr comme à Pont-Aven, pour le bien et l'intérêt général de tous les carnoëteux ... d'après les dires du maire de la commune de cet ambitieux mais coûteux  projet de nouveau musée pouldumifié à la gloire de Gauguin. 

Par contre à la différence de Pont-Aven lorsque que le permis de construire du gigantesque musée CCânesqueux avait été illégalement accordé, le petit peuple de ce petit coin (d'ancien) paradis naturel s'est rebiffé contre cette nouvelle folie des grandeurs gauguinisante en portant plainte auprès du tribunal administratif, 

... pour des raisons qui hélas ne passeront vraisemblablement pas : Mais ça, c'est leurs oignons en béton armé ...
...  comme devenues leurs côtes sauvages ! 

Nous en avons déjà suffisamment de cette sorte chez nous. 

La conclusion du jour :

Croyez-moi : Qu'ils puissent nous débarrasser durant l'été de quelques cohortes de toutous désœuvrés, cela ne serait pas pour déplaire à tout le monde à Pont-Aven !  

... du moment que chez eux aussi, une boutique de Traou Mad soit ouverte.  

--- La conclusion de la CHARLiO'T -----------------------------------------------

Quoi ? Ils veulent eux aussi faire de l'appât à touristes avec du Gauguin en boîte ?

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L'association du futur tas de cailloux du château de Rustéfan (Suite)

Et moi, c'est aussi qu'à grands pas : au clair de lune, j'irai bientôt hanter les esprits de ces fouteurs de merde doute dans la légende de ces majestueuses ruines.

Moi ? : Oui, car mon sentiment est que ce ne sera : ni l'association des boulles puantes que je dénonce ici de façon virulente depuis sa création, ni l'érection de la résurrection de la fantomatique association Pont-Aven patrimoine et culture qui s'en chargeront.

Deux machines programmées pour uniquement broyer ce majestueux monument historique :

N'en cherchez pas plus, ces gens ne feront rien de bon et d'utile pour le sauvetage in extremis de ce fragment d'Art Architectural local datant des années 1480, car sinon, cela se serait remarqué depuis longtemps.

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Cela dit : Je ne comprends pas pour quelles sombres raisons, monsieur le maire de Pont-Aven n'intervient pas lors de telles publications qui ne peuvent avoir comme effets délétères que d'attirer encore plus de curieux sur les lieux de ce crime, alors même qu'il vient d'en interdire l'accès par arrêté municipal et la pose d'une simple barrière purement symbolique. 

La conclusion du jour :

Voilà encore un article de presse de plus à placer dans ma riche bibliothèque sur la fabuleuse histoire tragique de ce décor architectural unique dans son genre en Bretagne.

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L'association du futur tas de cailloux du château de Rustéfan

Et oui, les boulles puantes étaient là aussi lors de ce forum.

Plusieurs visiteurs me félicitant d'ailleurs de l'avoir enfin créée ! ! !

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Deux jours avant ce forum, le journal Ouest-France publiait une nouvelle fois un très long article consacré à l'histoire du Manoir de Rustéfan.

Comme il y a deux ans : Juste avant que je proposais une exceptionnelle  et très complète exposition sur la réalité établie de l'histoire de ce joyaux architectural.

Et comme il y a deux ans : je m'insurge à nouveau ici sur les conneries envahissantes qui se répandent aujourd'hui à grands pas dans ce type d'articles amnésiquants.  

Finie la légende de Jénoféva du Barzaz Breiz. C'est l' histoire  d'une Genevière en chair et en os qu'une certaine Françoise Surcouf très mal informée elle aussi, vient de nous révéler dans ce quotidien bien malin. 

En effet, à lire cette historienne :

Jénoféna devient dorénavant "la fille de Jehan DU FAOU"

C'est fou, vous ne trouvez pas les couilles molles de coin ? 

"C'est ici, sur les ruines du Château de Rustéphan, que rôde la nuit le fantôme de la malheureuse  Jénovéfa Du Faou. Son histoire - tragique et vraie- a même fait l'objet d'une gwerz (complainte)" 

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A suivre demain

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