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Lettre d'un maire répondant de tout cœur à une emmerdeuse de sa commune

Publié le par chercheur d'histoires

Lettre d'un maire répondant de tout cœur à une emmerdeuse de sa commune

Lettre d'un maire répondant de tout cœur à une emmerdeuse de sa commune.

Voilà ce que ça donne : 

Ça donne que la correspondance de Corinne (sa complainte) que monsieur le maire avait reçu en mairie s'adressait aussi aux 22 autres élus de Pont-Aven.

Serait-ce donc au nom de tous ces élus que Christian DAUTEL en personne aurait répondu tout seul à Corinne,  avec bien entendu leur permission   

Er bien manifestement pas.

C'est un appel au secours qu'elle lui adressait, et non une demande de coup de pied au cul comme c'est le cas.

Qui dans cette monstrueuse affaire porte atteinte à la collectivité et aux élus de Pont-Aven ?

Moi peut-être qui ne fait plus que porter assistance à une personne gravement en danger de mort en raison des acharnements qu'elle subit de toute part depuis cinq ans ?

Tous ces gens ayant commis de graves fautes lors de l'instruction de la demande d'un permis de construire modificatif concernant une piscine édifiée illégalement,  et qui pour s'en dédouaner : sont restés dans le déni de leur forfait lors des enquêtes de gendarmerie durant lesquels ils ont été auditionnés.

Une lamentable posture collective  ayant pour conséquence de mettre en péril  la vie de Corinne un peu plus chaque jour ?

Qu'espère Christian DAUTEL comme il dit en prenant comme maître d"école Juda : en déclarant lamentablement  qu'il reste sensible au préjudice qu'elle déplore en espérant que l'expertise assurantielle engagée puisse régulariser toute problématique d'ordre privé ?  

Lui qui a participé activement à rendre ce second malheur des très lourds dégâts de eaux pour Corinne encore plus atroce pour elle : Une second inimaginable scandale dont  je ne me suis pas pour l'instant exprimé ici.

Je parle des énormes dégâts des eaux provoqués volontairement durant 3 ans consécutifs par ses voisins, et dont elle subit toujours aujourd'hui : 5 ans après le début de ces dégâts, pleinement les désastreux et épouvantables effets sur sa maison devenue insalubre et dont Christian fait bêtement allusion.

Qu'est qu'il en sait d'ailleurs, pour n'en raconter que des conneries sans fondement. Car pour pour l'instant,  il n'y a que son devenu ami du Front National et son avocate à officiellement connaître la réalité de cette seconde énorme tragédie pour Corinne.

Le voilà donc à manifestement essayer lui aussi de se dédouaner de son implication dans ce scandale devenu National en m'accusant fallacieusement de graves fautes, alors que je ne rapporte que des constats patents liés à : C'est vrai : des dérives judiciaires particulièrement graves.

Voilà la réalité de ce personnage municipal  ayant osé déclarer dans une enquête de gendarmerie que la piscine en cause n'avait été qu'implantée en dessous du niveau autorisé, alors que ce fut le bâtiment qui fut en réalité illégalement surélevé d'un niveau comme ne cesse de la répéter Corinne dans ses envois. 

Un mensonge ayant eu pour effet pour le juge en charge du dossier, de considérer la plainte de Corinne comme fallacieuse comme ce fut la cas de l'ensemble de ses autres plaintes devant les Procureurs.

Er cela continu manifestement.  

L'analyse du dossier de  justice que j'épluche actuellement porte sur cet aspect des enquêtes réalisées. Elle apportera des preuves incontestables de mes lourdes accusations.

A bientôt donc ici à nouveau sur ce sujet :

Ce sera dès la fin de ce mois de vacances pour tous. 

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La réponse de monsieur le Grand Christian DAUTEL à la complainte de Corinne

Publié le par chercheur d'histoires

Copie d'un récent envoi de Corinne AUX ELUS  de Pont-Aven

Copie d'un récent envoi de Corinne AUX ELUS de Pont-Aven

La réponse de monsieur le Grand Christian DAUTEL à la complainte de Corinne

Cette réponse sera en fait publiée demain sur ce blog 

Je peux toutefois déjà vous signaler que son contenu est à rendre jaloux Monsieur JUDA en personne.

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Cela dit, aujourd'hui vous devrez vous contenter de la copie d'un récent envoi (déposé en mairie) de Corinne aux élus de Pont-Aven.

Je dis bien AUX ELUS

L'ont-ils reçu ? J'en doute fortement.

C'est juste une feuille, je pouvais donc facilement la leur transmettre en urgence par internet sauf que je n'avais pas leurs adresses mail sous la main.

Cela m'a tout de même permis de constater que le canal direct de transmission de missives du petit peuple pontavénain : mairie / élus, était vraisemblablement aujourd'hui au point mort à Pont-Aven.

C'est déjà d'ailleurs ce qui s'était passé pour la complainte de Corinne, et ça devient de plus en plus inquiétant pour elle, d'être aussi court-circuité par le Premier Magistrat de sa commune.   

Cela dit : Si les époux Frapié ont été graciés de leurs forfaits par un tribunal, croyez-moi l'affaire n'en est pas terminée pour autant, ...

... Car la tribu en furie qui s'est acharnée contre elle est partie trop loin dans leurs exploits.

Il me reste heureusement de sérieuses pistes à exploiter, mais le comportement des élus de la commune en dépendent dans une grande mesure : D'où ce second appel de Corinne à leurs intentions.
Il en suivra d'autres plus explicites bientôt ici.

.........................................................................................................

Pour moi qui a attentivement épluché les pièces du dossier,  il est évident que pour les élus, de répondre positivement avec insistance à la  proposition présentée par Corinne ne serait en réalité que de rendre un grand service à leur maire, et donc à leur commune.

Y aura-t-il de la lâcheté à attendre dans leurs attitudes collectives ? 

Corinne attend avec beaucoup d'inquiétude le résultat de sa requête.

La conclusion du jour :  
Ce qui c'est passé, ce qui se passe, et ce qui risque encore de se passer durant longtemps si les responsables de la commune ne font rien, est tellement grave qu'il n'est pas possible pour un dynamique lanceur d'alertes comme moi de lâcher prise.

Actuellement j'analyse finement le dossier que le parquet à transmis au tribunal correctionnel de Quimper et que l'avocate de Corinne avait reçu qu'une heure avant celle de sa convocation au tribunal. Aujourd'hui je peux seulement vous dire que ce que j'ai découvert* pour l'instant, est déjà :  

à tomber sur le cul,

et de bien plus haut qu'actuellement !

Il est sûr que Corinne ne va pas tenir bien longtemps sous les épouvantables pressions qu'elle subit depuis cinq ans.

L'affaire va-t-elle se terminer par son enterrement

* Des éléments que je ne disposais pas jusqu'à présent évidemment

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A demain  et haut les mains pour l'épluchure de la fabuleuse réponse de Christian à Corinne 
 

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Comment va Corinne ? : "Immensément mal" (page n°9)

Publié le par chercheur d'histoires

Quel nom donneriez-vous à cette monstruosité ? :

Quel nom donneriez-vous à cette monstruosité ? :

Comment va Corinne ? : "Immensément " (page n°9)

Cette complainte que je viens de vous présenter ici est : Ne l'oublions pas 

écrite par Corinne. Mon expertise qui y est jointe a pour objectif de bien situer la gravité de sa situation. 

Sinon son appel au secours n'aurait eu aucun sens.

Dans ce dernier envoi vous trouverez la conclusion de cette correspondance transmise à monsieur Christian DAUTEL : maire de Pont-Aven  et à tous les élus de la commune; à Monsieur Olivier BELLEC : président de CCA, et à Madame LE GOFF-DUCHATEAU : architecte des Bâtiments de France à Quimper.

Une copie de celle ci a parallèlement été expédiée à Monsieur le Procureur de la République de Quimper pour information.

Cet envoi aux élus de Pont-Aven n'ayant manifestement pas atteint toutes ses cibles, nous avons donc décidé de le publier sur ce blog.
Nous avons bien agit ainsi car nous remarquons que ça commence à bouger au sein du conseil municipal.

Voici donc pour finir, l'émouvante conclusion de Corinne :

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Nous subissons ainsi depuis quatre ans des attaques, des accusations, des humiliations incessantes d’une férocité redoutable de la part des Frapié, nous ayant anéantie.

Nous avons l’impression d’être abandonnée ; d’avoir tout le monde contre nous. Nous en sommes totalement épuisée.

Nous n’en pouvons plus de devoir supporter « l’insupportable » situation dans laquelle nous vivons, mettant ainsi notre santé en grand danger.

Nous vous en supplions tous : Expliquez nous pourquoi toutes ces tortures.

Si vous vous adressons cette complainte, c’est dans l’espoir que cela puisse s’arrêter un jour.

Ecrit à Pont-Aven le 15 juillet 2023

Corinne JEANEAU

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Post scriptum 

La question restée en suspens depuis le début de cet article :  

Quel nom donneriez-vous à cette sous-jacente monstruosité ? : 

Moi j'imagine voir poser sur sa façade un énorme panneau avec la mention

"LA MAISON DE LA HONTE"

Voilà au moins une belle pièce rapportée au Patrimoine remarquable de la commune qui serait à intégrer aux circuits touristiques de notre Cité de Grand Caractère.

Qu'en pensez vous les élus de la commune ?

Que dites vous ?

Que cette idée est à chier mais que ce n'est pas grave ne venant que de toi l'idiot de notre beau village.

C'est vrai que ce n'est pas si grave que çà . il existe des toilettes aux pieds nickelés de la colline. Il suffit de frapier à leur porte pour se soulager.

Il y a bien des sales gens qui dans le coin se soulagent depuis cinq ans sur une pauvrette sans le sous

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Comment va Corinne ? : "Très très mal" (page n°8)

Publié le par chercheur d'histoires

Pièce complémentaire A

Pièce complémentaire A

Pièce complémentaire B

Pièce complémentaire B

Pièce complémentaire C

Pièce complémentaire C

Comment va Corinne ? : "Très très mal" (page n°8)

Notre conclusion générale :

- C’est manifestement de façon intentionnelle et préméditée que les époux Frapié ont basculé dans l’illégalité.

- Cette accusation se justifiant par leur diabolique volonté de tromperie, par la mise en œuvre d’une hallucinante stratégie frauduleuse et méthodique, afin d’arriver à leurs fins.

c’est-à-dire :

- D’une part, en présentant des dossiers contenant des plans d’une inimaginable incohérence entre-eux.

- d’autre part, en construisant frauduleusement un bâtiment surélevée au regard du permis de construire délivré le 06 JUIN 2017 .

- Ensuite par leur volonté manifeste de construire illégalement une piscine.

- mais également de bénéficier par la ruse de terrasses surélevées et d‘une construction non autorisée implantée contre la maison de Madame JEANEAU.

Signé Gérard BERTHELOM

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Pièces complémentaires annexées pour information :

A : « Permis de construire, pas de régularisation en cas de fraude »

B : « Terrasse en région montagneuse »

C : « Terrasse surélevée »

 

- Nota : Vous noterez que ces pièces complémentaires proviennent de récentes et sérieuses revues professionnelles, et écrites par des juristes ou des spécialistes du droit de la construction. 

Mais également que monsieur Dautel à participé  dans le cas présent : comme son prédécesseur,  à l'apologie des fraudes en matière de construction de piscines sans permis de construire, 

aujourd'hui dénoncées et traquées partout par les pouvoirs publics.

- Autre nota de la plus haute importance venant apporter un éclairage encore plus vif sur les agissement de ses voisins à son encontre.

Corinne, dès qu'elle s'aperçu que de l'eau provenant de la construction de ses voisins s'était imprégnée dans le mur arrière de sa maison (apparition de grosses tâches de moisissures), elle les contacta afin de leur signaler ces dégâts des eaux : Ils savaient donc très tôt que leur terrasse provoquait ces dégâts en raison du manque d'un joint d'étanchéité entre le mur arrière de sa maison et la terrasse qu'ils venaient de faire construire. A l’époque la mise en place d’un nécessaire joint d’étanchéité entre les deux murs aurait éviter la catastrophe qui en suivie, pour elle.

 Et pourtant : et de façon inadmissible autant que condamnable, ils décidèrent délibérément de ne rien faire pour y remédier. Cela durant 3 ans : Trois ans durant lesquels les eaux de pluie de leur terrasse s'infiltrèrent entre les deux mur. Aucune autre évacuation n'ayant été aménagée durant tout ce temps.  Trois ans d'angoisses permanentes pour cette voisine. Les moisissures observées s'étendant inexorablement de haut en bas sur deux des murs intérieurs de sa maison. (Des murs aujourd'hui encore gorgés d'eau) :

Gorgés d'eau, et pourtant ils ne reconnaissent toujours pas leurs responsabilités dans ces dégâts:;  dans cet insoutenable drame pour leur malheureuse victime

...aujourd'hui ruinée par les frais de justice qu'elle doit assurer. Ravagée psychiquement et physiquement, et gravement en danger de mort.

C'est immonde

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A suivre demain

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Comment va Corinne ? : "Très très mal" (page n°7)

Publié le par chercheur d'histoires

Pièce jointe n° 12

Pièce jointe n° 12

Pièce jointe n° 12 bis

Pièce jointe n° 12 bis

Comment va Corinne ? : "Très très mal" (page n°7)

- la coupe suivante (voir notre pièce jointe n°12) présente la totalité du bâtiment tel qu’il a été imaginé par les époux frapié.

Nous y observerons :

1° : Que seules les dimensions du bâtiment à construire y figurent.

(Absence donc aussi des cotes des niveaux des planchers par rapport à celui de terrain naturel)

2° : Que cet édifice comporte en réalité une fois achevé SIX niveaux de planchers construits d’un seul tenant *:

dont quatre identifiables extérieurement en façade depuis la rue basse (La rue de Keramperchec)

(Le PLU de Pont-Aven n’en autorisant que deux au moment des faits )

* D’un seul tenant car l’espace engazonné qui était prévu par l’autorisation de construire initiale, et qui avait pour effet salutaire de créer un espace naturel entre la maison de madame JEANEAU et de celle des Frapié, a été ravagé par la construction d’une dalle en béton surélevée entre les deux bâtiments.

Dalle surélevée servant de toiture au bâtiment construit illégalement contre la maison de Madame JEANEAU

C’est donc bien un édifice de six niveaux d’un seul tenant que les Frapié ont construit illégalement comme le prouve ce plan d’état des constructions réalisées. (deux étant des demi- niveaux situés à l'intérieur de la maison comme cela était bien  prévu dans le permis de construire original)

(Voir notre pièce jointe n° 12 bis)

                                                - B -

Le contenu du permis de construire modificatif M03 du 01 juin 2022 :

Nous noterons en premier lieu que ce qui a été régularisé par le maire de Pont-Aven ne concerne que des petits détails d’architecture sans réels liens avec les plaintes de Madame JEANEAU : Plaintes concernant la construction d’ouvrages sans permis de construire.

Malgré ces régularisations, ces plaintes restent donc totalement d’actualité :

Aucune des ces nombreuses régularisations ne portant sur les irrégularités des constructions

dénoncées par Madame JEANEAU

Leur nombre justifiant d’ailleurs totalement notre réaction actuelle.

Nous en retiendrons cependant trois points :

-1°- Modification de la surface plancher et de la surface taxable.

Les défenseurs des manœuvres frauduleuses des époux Frapié confondent manifestement ce qui était du domaine des anciens POS ou PLU, qui prévoyaient des règles de calcul de surfaces nettes de planchers maximales à construire sur un terrain déterminé. (COS de 0,5 dans ce cas au moment de la délivrance du permis de construire initial)

Ce que nous dénonçons, c’est l’ensemble des constructions édifiées sans autorisation quel que soit la définition de leurs surfaces (Brutes, nettes, corrigées, pondérées etc. : prises en compte ou pas dans les calculs) que nous retrouvons dans différents codes, dont celui des impôts.

Nous dénonçons des constructions illégales au regard du Code de la Construction, et peu importe de quelle catégorie juridique, ou de quelle affectation destinée. La volumétrie du bâtiment devenant aujourd’hui un élément plus important nécessitant des précisions sur les dimensions : longueurs, largeurs, hauteurs, et implantation altimétrique des bâtiments projetés au regard des niveaux du terrain naturel.

-2°- Création d’une porte sur local à vélo et poubelle

Ce ne peut être en simplement régularisant stupidement la création d’une porte sur un bâtiment construit illégalement que cette cette construction devient légale.

-3°- Création d’un local piscine enterré (non clos)

Nous lisons par ailleurs dans le dossier dont nous avons pris connaissance, que monsieur le maire de Pont-Aven avait constaté que la piscine avait été enterrée plus que prévu.

La réalité est que ce n’est pas la piscine qui a été enterrée, mais le bâtiment qui la surmonte qui a été surélevée.

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A suivre demain

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Observations supplémentaires à celles du document initial ;

Observez sur le document n° 12 la volumétrie de cette monstruosité au regard de la maison de Corinne totalement écrasée dessous. Le bâtiment occupant environ 90 % de la surface du terrain.

En outre, Un risque de glissement de terrain ne peut être écarté. Aucune étude préalable du sous-sol du terrain (particulièrement gorgé d'eau à cet endroit) n'a été réalisé.

Vraisemblablement aucune étude des bétons armés  non plus,  pourtant indispensable pour assurer pour le moins la tranquillité du voisinage.

De surcroit, il faut savoir que dans le règlement du PLU actuel le secteur est classé en zone de moyenne densité (Avec on COS de 0,5 au moment de la délivrance du permis de construire)

C'est à se demander ce qui correspond à une zone de forte densité (Cos de 1 et plus) dans l'esprit saint des deux maires de Pont-Aven concernés dans ce scandale.

 

 

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Comment va Corinne ? : "Très mal" (page n°6)

Publié le par chercheur d'histoires

Pièce jointe n° 9

Pièce jointe n° 9

Pièce n° 10

Pièce n° 10

Pièce jointe n° 11

Pièce jointe n° 11

Comment va Corinne ? : "Très très mal" (page n°6)

- Analyses complémentaires -

Concernant les permis de construire n° M02 et M03 dont nous avons pris connaissance de leur existence au moment de l’audience du 12 juin 2023

…………………………………………………………………………………………………..

- A -

Le contenu de la demande de permis de construire modificatif M02 du 09 mars 2021 :

Outre le caractère tacite de l’autorisation finalement accordée, ce sont les plans joints à cette demande du 09 mars 2021 qui nous ont interpellés :

En effet :

- L’un des plans indique des cotes de nivellements de différentes natures totalement incompréhensibles à quiconque. (Voir notre pièce jointe n°9)

- Deux autres plans sont en principe des copies exactes des coupes longitudinales du projet initial (de bas en haut)

Nous observerons sur l’un d’entre eux : (Idem pour l’autre)

. Remarque n° 1 : Le niveau de la rue haute, et celui du garage du permis de construire octroyé le 06 juin 2017, coïncident comme par enchantement.

. Remarque n° 2 : La construction neuve édifiée derrière la maison de Madame JEANEAU n’y est pas présentée comme cela devait l’être normalement pour la bonne compréhension de la situation.

. Remarque n° 3 : L’absence également des cotes des niveaux des deux planchers accordés dans le permis de construire initial.

(Voir notre pièce jointe n° 10 pour l’une de ces coupes)

- En outre, le plan représentant la façade basse du bâtiment des Frapié (donnant en principe sur un « jardin engazonné ? ») sur lequel la silhouette de la maison de Madame JEANEAU est dessinée, apporte la preuve irréfutable que la construction des époux Frapié a été fortement surélevée. En effet, la dalle (la terrasse) du plancher bas du rez-de-chaussée de la maison des époux Frapié est présentée sur ce plan juste en-dessous du faîtage de la toiture de la maison de Madame JEANEAU.

Ainsi donc, dès cette date, les intentions frauduleuses et préméditées des époux Frapié était définitivement actées à leur sens, au point de le dévoiler au grand jour dans une nouvelle demande de permis de construire modificatif.

(Voir notre pièce jointe n°11)

A suivre demain

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………………………………………………………………………………………………………..

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Comment va Corinne ? : "Très mal" (page n°5)

Publié le par chercheur d'histoires

Pièce annexe n° 7

Pièce annexe n° 7

Pièce annexe n° 8

Pièce annexe n° 8

Pièce annexe n° 8 bis

Pièce annexe n° 8 bis

Comment va Corinne ? : "Très mal" (page n°5)

Revenons à la coupe longitudinale du premier permis de construire (Pièce jointe n°1)

Cela paraît totalement loufoque mais en y regardant de près, nous observons que le niveau du rez-de-chaussée de la maison : c’est-à-dire au niveau du garage sur rue haute se situe sur le plan initial approuvé à deux mètres en dessous du niveau de cette rue ?

Ces observations expliquent l’étrange raison apportée par les époux Frapié dans leur demande d’un permis de construire modification précisant que :

« Suite au terrassement du projet et à l’importance du vide sanitaire généré, une piscine a été installée sous la maison » (Voir notre pièce jointe n° 7)

Alors que le permis de construire accordé n’autorisait : sur plan, que la construction d’un édifice ne comportant qu’un vide sanitaire sur terrain naturel de hauteur réduite.

Ce délit sautant aux yeux sur les perspectives cavalières annexées jointes à la demande du permis modificatif. (Voir notre pièce jointe n°5)

C’est donc une construction sur pilotis que les Frapié se sont permis de construire illégalement dans la partie basse de celle ci.
Tout cela s’expliquant par leur volonté de surélever secrètement leur maison.

Ce qui signifie incontestablement que les époux Frapié ont misé sur la stupidité et les incompétences des élus et des instructeurs de leurs dossiers afin d’arriver à leurs fins.

Et ils y sont arrivés (du moins pour l’instant)

Nous n’en avons pour autant pas fini :

Examinons en détail le dossier du permis de construire modificatif M01, portant rappelons le la régularisation juridique de la création d’une piscine en raison de :

« Suite au terrassement du projet et à l’importance du vide sanitaire généré, une piscine a été installée sous la maison » (Pièce jointe n°7)

Un dossier de demande comportant 14 plans joints.

- 14 plans pour simplement préciser les longueur, largeur et profondeur de celle ci.

- 14 plans donc pour répondre à cette simple nécessité d’information sur l’étendue et la hauteur de l’ouvrage dans le projet comme prévu dans le code de la construction.

Une piscine devant discrètement être implantée sous le bâtiment, mais qu’en raison de la surélévation effectuée est devenue une piscine de plein air sur trois côtés.

- 14 plans illisibles, confus au point de devenir informes par excès de barbouillages, de traits, et de détails inutiles, dont il est difficile dans bien des endroits d’en définir le rôle et la raison d’être.

- 14 plans d’une intolérable incohérence les uns des autres, alors même que la cohérence entre les pièces jointes à une demande de permis de construire est d‘une exigence absolue.

- 14 plans très chargés permettant de détourner l’attention des instructeurs du permis de construire sur les vrais inavouables objectifs des propriétaires.

- 14 plans pour indiquer les dimensions d’une piscine : Piscine qui n’est plus dans ce cas qu’un élément dérisoire sur cette liasse de plans :

Tellement dérisoire que dans cette configuration, le dossier de la demande n’a plus aucun sens, n’a plus la moindre légitimité en soi.

Il n’est pourtant pas possible en France d’accepter d’instruire et d’autoriser la construction d’une piscine en n’y joignant que des plans concernant la construction d’une maison ou de toute autre importante construction en dur quelle qu’elle soit.

Cela dépasse l’entendement : C’est démentiel et pourtant, c’est une réalité dont Madame Corinne JEANEAU est gravement la victime.
De surcroît il faut bien reconnaître qu’il est impossible que l’ ensemble des intervenants ayant des compétences professionnelles en matière de construction et d’urbanisme, ne se soient pas rendu compte de cette entourloupe durant l’instruction puis la délivrance du permis de construire ou des permis rectificatifs.

Impossible qu’aucun d’entre eux ne se soit pas rendu compte des manœuvres crapuleuses et prémédités imaginées par les époux Frapié afin d’atteindre leur funeste fin :

Funeste pour madame JEANEAU.

En outre : Nous « apprécierons » les terrasses d’agrément des époux Frapié avec vues directes et implantées en limite séparative des propriétés voisines . Des terrasses strictement interdites par le code Civil (voir en exemples nos pièces jointes n°8 et 8 bis)

il en découle que de nouvelles plaintes contre les époux Frapié par des voisins pour ces inadmissibles méfaits devaient voir le jour sans tarder.  

En définitif, et en étant rigoureux comme cela se doit, nous observerons que pas un seul décimètre carré de béton n’est coulé régulièrement sur ce bâtiment selon les éléments portés dans le permis de construire ou permis rectificatifs délivrés.

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A suivre demain  ... Peut-être ?

... Peut-être car mon combat pour que la vérité soit révélée au grand jour se retrouvant tout d'un coup en danger de censure. 

En intervenant ainsi je savais évidemment ce que je faisais, et que c'était pour moi le prix à payer pour que cet abominable acharnement contre Corinne soit rendu public. 

Croyez-moi, ravagée comme elle est déjà, c'est lui plonger un peu plus la tête sous l'eau. 

Et moi l'incroyant,  Qui croyais jusqu'ici que la torture était abolie en France depuis 1789 ?

Et pourtant, c'est nettement ce qu'elle subit sans arrêt depuis 5 ans. 

Er ça continue,  et continuera vraisemblablement encore très longtemps pour elle si la municipalité ne réagit pas rapidement comme c'est son devoir dans un cas si tragique pour elle. Je suis près à en discuter avec les élus non impliqués dans cet immense et honteux scandale.

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(re)Bonjour à tous

Publié le par chercheur d'histoires

Y aurait-il un nouveau problème ? OUI

Y aurait-il un nouveau problème ? OUI

(re)Bonjour à tous

Je viens d'apprendre à l'instant que les Frapié avaient porté plainte contre moi pour vous avoir informé de la situation.

J'attends donc d'être convoqué.

C'est vrai que ce que je dénonce est particulièrement grave, mais c'est de la faute de qui ?

Ses voisins viennent d'être relaxées par le tribunal. Je devais vous en parler prochainement 
 car en épluchant finement le dossier des secondes enquêtes portées devant le tribunal, je viens de découvrir que la situation était encore bien plus grave que ce que je pensais jusqu'ici. 

C'est un scandale devenu National que je dénonce en réalité tellement la situation est grave.

 Que voulez-vous, la correspondance de Corinne dont vous prenez actuellement connaissance sur ce blog,  et qui était destinée à tous les élus, n'a pas été portée à leur connaissance.

Je fais donc ce qu'il faut pour cela, et cela n'est qu'un début. 

A l'heure actuelle je ne suis plus à uniquement la défendre mais plus exactement à porter assistance à une personne en danger de mort.

Toutes mes démarches actuelles ont pour but d'essayer de la rassurer un peu.   

Que veulent-ils ? : Que les pompiers viennent retirer son corps des eaux du port ?

Pour l'instant ils ont donc porté plainte auprès du procureur contre moi : mais il faut savoir qu'il est déjà au courant de ce que je dénonce car je lui envoie des copies de mes nouvelles actions.

Post scriptum :

Voici la copie d'une correspondance que Corinne vient d'adresser aux élus de la commune, et que je devais publier ici un peu plus tard  

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Madame Corinne JEANEAU

10 rue de Keramperchec

29 930 PONT-AVEN

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L’objet de cet envoi :

Notre lourd litige judiciaire avec nos voisins : Les époux Frapié

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Mesdames, Messieurs les élus de Pont-Aven.

Vous avez sans doute pris connaissance de notre précédant envoi à la mairie vous étant destiné.

J’espère que vous avez compris la gravité de la situation pour nous.

Nous savons que monsieur le maire à l’intention de délivrer sans tarder le certificat d’achèvement des travaux réalisés par les époux Frapié. (C’est ce qu’il a indiqué au parquet du tribunal correctionnel de Quimper)

Nous vous prions d’insister auprès de lui pour qu’il ne commette pas cette nouvelle lourde faute.

Nous sommes victime sans aucun doute d’une manœuvre pouvant se définir comme une tentative d’assassinat à petit feu de la part de deux monstres.

C’est terrible ce que nous subissons depuis ces 5 dernières années.

Christian Dautel, de part sa posture récente dans cette affaire, s’en est fait l’un des complices.

Ce certificat ne peut être délivré pour les raisons que nous avons développé dans notre complainte :

C’est à dire en particulier, en raison des manœuvres crapuleuses et prémédités imaginées par les époux Frapié afin d’atteindre leur funeste fin :

Cette fin étant de surélever illégalement « discrètement » d’un niveau leur maison.

C’est à vos consciences d’élus et de citoyens responsables que nous nous adressons.

Il n’y a plus d’autres solutions pour amoindrir le scandale et nos maux.

Nous vous adresserons une autre correspondance prochainement, et restons à vos dispositions pour toute autre précision.

Nous vous en remercions d’avance

Pont-Aven le 26 juillet 2023

Madame Corinne JEANEAU

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A demain matin pour la suite de la diffusion de la complainte de Corinne. 

 

 

 

 

 

 

    

 

  

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Comment va Corinne ? : "Très mal" (page n°4)

Publié le par chercheur d'histoires

Pièce jointe n° 6 mentionnée précédemment

Pièce jointe n° 6 mentionnée précédemment

Pièce jojnte n° 1 bis

Pièce jojnte n° 1 bis

Pièce jointe n° 2 bis

Pièce jointe n° 2 bis

pièce jointe n° 3

pièce jointe n° 3

pièce jointe n° 4

pièce jointe n° 4

Comment va Corinne ? : "Très mal" (page n°4)

Page n° 4 de sa complainte

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Sachant de surcroît que les contenus des quatre dossiers des permis de construire demandés étant tellement embrouillés que nous sommes contraint de nous attarder longuement et mettre en perspective des détails paraissant anodins mais en réalité capitaux pour comprendre la réalité des manœuvres frauduleuses et préméditées commises par les époux Frapié.

Analysons attentivement les dossiers des deux permis de construire autorisés :

- Observons finement la coupe longitudinale du projet annexée dans le premier permis de construire, et surtout les cotes des niveaux des planchers du futur bâtiment. (Voir notre pièce jointe n°1)

C’est-à-dire le projet de construction en altimétrie dans sa version originale.

Nous observons deux lignes transversales de gauche à droite sur le plan.

- L’une dessinée en vert présentant le profil du terrain naturel établi sur les indications d’un plan dressé par un confrère.

- L’autre de couleur noire, tracée en tiretés, (petits traits espacés) définissant en particulier l’altimétrie du plancher du rez-de-chaussée de la maison autorisée par rapport au terrain naturel.(Cote 29,13)

Le Géomètre Expert que nous sommes va dans sa démonstration logique, tirer un trait horizontal sur le plan à partir de ce niveau du rez-de-chaussée jusqu’à la toiture de la maison de Madame JEANEAU afin de bien définir concrètement un repère fixe dans l’environnement du projet. (Point A sur le plan) Ce point se situant un peu en dessous de la moitié de la hauteur de la toiture de Madame JEANEAU. (Voir notre pièce jointe n°1 bis)

- Observons maintenant la coupe longitudinale supposée identique produite dans le permis de construire « modificatif » M01, sur laquelle est positionnée la piscine. 

(Voir notre pièce jointe n° 2 bis)

Nous observons en opérant de la même façon que la projection horizontale du rez-de-chaussée de la construction Frapié vient presque frapper le faîtage de la toiture de la maison de Madame JEANEAU :Soit environ 2 mètres verticaux plus haut (Point B sur le plan)

Comme par hasard (qui n’en est pas un), du côté de la rue haute, l’extrémité de la ligne représentant ce niveau, a été sans raison apparente gommée sur ce plan.

Seule la ligne représentant le terrain naturel reste intacte sur ce plan.

- Observons enfin sur le plan le plus litigieux des 14 plans joints à la demande de permis de construire modificatif , celui qui présente la coupe de l’ensemble des constructions réalisées.

Le principal élément qui change radicalement sur ce plan est qu’au niveau de la rue haute, le niveau du terrain naturel vient étrangement coïncider avec celui du rez-de-chaussée du bâtiment ( le garage)
Ce qui signifie que le bâtiment construit à été édifié : non pas conformément à la demande accordée,
mais à un niveau bien supérieur.

(Voir notre pièce jointe n°3)

Il est curieux et interpelant de constater en outre que sur ces deux derniers plans les cotes de

niveau des planchers du bâtiment ont elles aussi disparues !

Ni vu ni pris !

- N’ayant pas accès à la propriété des Frappé nous avons pris une photographie depuis le bas de la rue au seul endroit où il est possible de photographier à la fois le niveau extérieur du rez de chaussée de la construction Frapié (sa terrasse extérieure) et la toiture de la maison de madame JEANEAU. Si cette opération apporte des résultats moins rigoureux que des mesures prises sur place, elle permet toutefois de constater - ou du moins présumer grosso modo - que le prolongement horizontal du rez-de-chaussée de la maison Frapié sur la toiture de celle de Madame JEANEAU passe légèrement au-dessus de la cheminée de cette dernière. Une constatation à vérifier plus précisément sur place si besoin en était. (Voir notre pièce jointe n°4)

Dans ce cas (ce qui représente visuellement sur la photographie tout de même près d’un mètre de hauteur) il serait probable que pour ce faire, des marches aient été créées à l’intérieur du bâtiment Frapié.

Toutefois et malgré cette imprécision, il est indéniable que les Frapié ont décidé de surélever de façon significative illégalement et de façon préméditée, leur maison d’un étage, ce qui leur permet de bénéficier d’une vue plus étendue sur le port de Pont-Aven par dessus la toiture de la maison de Madame JEANEAU.

Il faut aussi retenir que le PLU de Pont-Aven n’autorisait à l’époque des demandes des deux permis de construire, d’édifier dans ce secteur que des maisons comportant au maximum deux niveaux. Donc pas de vue étendue sur le port possible depuis le rez-de-chaussée de la maison autorisée.

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A suivre

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Comment va Corinne ? : "Très mal" (page n°3)

Publié le par chercheur d'histoires

Pourquoi lui donner un nom ? Parce que c'est une tradition dans ce quartier.

Pourquoi lui donner un nom ? Parce que c'est une tradition dans ce quartier.

ece que c'est une tradotion dans le quartierComment va Corinne ? : "Très mal" (page n°3)

Page n° 3 de sa complainte

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- Le 08 décembre 2021, dépôt par Monsieur et Madame Frapié d’une demande de permis de construire modificatif enregistrée sous le n° M03, ayant pour objet :

Concernant une maison d’habitation sur deux niveaux :

- Modification de garde corps

- Modification de la surface plancher et de la surface taxable (idem n° M02)

- Modification du revêtement béton matricé en façade par du béton peint

- Modification de deux ouvertures

- Création d’une porte sur local à vélo et poubelle

- modification de l’emplacement du puisard, d‘escalier, de la profondeur de la piscine

- Création d’un local piscine enterré (non clos)

- Pose d’un portail et surélévation du muret sur voie

- ajout d’un demandeur ?

Article 2 : Les prescriptions du permis de construire d’origine restent et demeurent applicables pour le présent modificatif

Voir également notre analyse en fin de cet envoi.

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- Le Lundi 12 juin 2023, le tribunal correctionnel de Quimper nous invitait à nous présenter comme victime, à l’audience de la comparution des époux Frapié

Ce n’est que quelques minutes avant cette audience que notre avocate nous apprenait qu’elle venait tout juste de recevoir le dossier de la procédure contre les époux Frapié, nous annonçant ainisi que deux permis de construire modificatifs * supplémentaires avaient été délivrés quelques mois auparavant (* ou bénéficiant d'un permis de construire tacite) par monsieur le maire de Pont-Aven, afin de régulariser les constructions dont nous avions dénoncées l’illégalité dans nos plaintes.

Alors même que précédemment ce maire nous certifiait qu’il n’était pas question pour lui de régulariser des construction édifiées illégalement.
- Voir également la correspondance que ce monsieur Dautel nous avait adressé le 26 Juillet 2021 (Voir notre pièce jointe n° 6)

C’est donc dans cette nouvelle configuration de ce scandale que nous prenons notre plume afin de dénoncer ce que nous avons intitulé :

« L’art et la manière de tromper énormément tout le monde »

Et pour cause :

Le scandale serait donc en principe clos : Les époux Frapié s’en sortant « peut-être » les mains propres sans poursuite ?

Peut-être en effet car le poids des déclarations d’un maire ou des agents publics dans une procédure judiciaire primant haut la main sur les dires de la victime de délits comme celui ci.

Sauf que malgré ces incompréhensibles régularisations à répétition, les délits que Madame JEANEAU dénonçaient dans ses plaintes après de Monsieur le Procureur de Quimper puis auprès de Monsieur le Procureur Général de Rennes, ne sont pas pour autant absous de poursuites judiciaires possibles.

En effet, mais pour comprendre la situation, cela demande une attention particulière à ce que nous allons développer.

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A suivre demain

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