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Les Boîtes de conserves à l'huile de vitriol (page n°5)

Publié le par chercheur d'histoires

1937

1937

Les Boîtes de conserves à l'huile de vitriol (page n°5)

Suite :

- Reprenons donc ce sujet -

L'avenir du Bois d'Amour ne peut se concevoir sans Amour.
L'Amour de l'Art, de la nature, de la vie, de l'art de vivre heureux en communauté : le

tout menant à terme à la création bienfaitrice d'emplois valorisants sur ce lieu magique.

J'imagine sur ce temple d'anciens emplois, la Culture des Valeurs locales suscitant et apportant des idées neuves  menant de facto à la création d'emplois des plus valorisants.
(J'exclus de mon esprit la peinturlure. Elle s'est déjà suffisamment incrustée à Pont-Aven depuis 1985, sans rien apporter de bon pour le pays et sa population)

Quoi de plus enchanteur et valorisant que ce lieu abandonné, et plus que jamais en danger car survolé depuis peu par des vautours.

Pont-Aven en a besoin pour survivre :

Pour survivre comme il y a un peu plus d'un siècle, lorsque les touristes et les peintres ont brutalement désertés la ville devenue inhabitable : C'est-à-dire à l'époque où les conserveries ont poussées comme des champignons !

S'instruire sur la mémoire de ce lieu avec ses forces et ses défauts en réfléchissant sur son potentiel au sein d'une vision éclairée de l'ensemble de la commune et de sa population serait indispensable à mon avis.

Les emplois valorisants de demain ne seront plus ceux que les vieux que nous sommes imaginent aujourd'hui.

Pour autant, il nous est possible de préparer "la potion magique" d'un futur Pôle d'excellence en matière de Culture et d'emplois valorisants.

Une image d’excellence se déclinant par magie entre deux mondes aujourd'hui en conflit à Pont-Aven. L'écrasante médiocrité touristique ne bénéficiant qu'à un tout petit nombre d'individus sans scrupule anéantissant toute source de progrès valorisant pour tous.

Les élèves de l'ancien CIAC (Ecole Internationale d'Art Contemporain) ont côtoyé durant des années cet espace. Un grand nombre d'entre eux se projetaient non pas vers la peinture, mais vers des carrières valorisantes de créativités liées à la culture.

Par exemple vers des emplois en matière de Design, de Communication, de Pub, etc., où l'imagination et la créativité artistique ou esthétique jouent un rôle primordial.

Je n'invente rien, je ne fais que constater et mettre le doigt sur la réalité de cet espace.

Nous ne savons pas ce que seront les emplois de demain, mais Pont-Aven peut s'y préparer "modestement et à sa manière" en sauvant de la destruction l'ancien et précieux site industriel du Bois d'Amour.

- De l'EMPLOI,
- De la créativité durable,

- Du bien vivre,

- Des espaces réservés à la Culture locale, concomitamment à la libre expression des entrepreneurs créateurs et inventeurs du futur.

- Un  lieu "branché autant que populaire" propice aux rencontres, aux discussions, aux débats entre ces artisans du futur et leurs visiteurs.

Un espace sans discrimination sociale.

Je mets sur le tapis de mes réflexions la nécessité pour Pont-Aven et sa population endormie, de remettre l'art en débat public.

Le pôle d’attractivité naturelle de Bois d’Amour est propice à l’éclosion de tout cela, et à bien d’autres bonnes choses.

Sera-t-il lui aussi gâché comme le centre historique du pays au profit de quelques intérêts privés ?

Suite et fin demain matin

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Les Boîtes de conserves à l'huile de vitriol (page n°4)

Publié le par chercheur d'histoires

Robert LE GLOUANNEC : Diplomé Ingénieur Agronome

Robert LE GLOUANNEC : Diplomé Ingénieur Agronome

Les Boîtes de conserves à l'huile de vitriol (page n°4)

- Alors : que faire de la friche de BOIS d'AMOUR ? -

Nous devons aujourd'hui constater que la mémoire collective de la cité des anciens peintres de talent ne se transmet plus oralement comme autrefois.

Ne restent donc comme éléments de transmission de notre patrimoine culturel commun aux générations futures que les écrits et autres éléments d’expressions modernes ou contemporaines

Il serait temps de reconnaître, ou d’apprendre, que la mémoire du pays a été d’une certaine façon confisquée ou détournée par quelques individus «dominants» afin de l’exploiter à leur profit.

+ + + + + + +

J'ai constitué une bibliothèque personnelle de cette riche mémoire de Pont-Aven. Je parle donc en toute connaissance de cause.

Entre1997 et 2011 j'ai régulièrement puisé dans mon propre fonds documentaire pour préparer les nombreuses expositions que j'ai proposées sur ce sujet à Pont-Aven.

Depuis 2011, faute de locaux adoptés, faute de manifestation d’intérêt par la population actuelle, j'expose ailleurs.

La préparation d'une exposition de ce genre réclame un long travail préparatoire. Ces actions patrimoniales ou culturelles furent à chaque fois pour moi exaltantes, mais surtout instructives sur l'histoire de la commune.

Ne serait-ce pas là une façon judicieuse d'attirer la curiosité des gens du pays, et plus particulièrement de ses jeunes, vers la reconnaissance puis la sauvegarde d'un patrimoine local hors du commun mais en danger ?

- Vers des missions collectives et participatives au sein d'une association :
- Vers un objectif commun de sauvegarde de la mémoire et du patrimoine architectural, environnemental, et
culturel de la Cité des anciens moulins.
Une Association opérant dès maintenant dans le cadre d'une médiathèque "en devenir".

Un établissement à implanter « à terme » dans le site en friche mais remarquable du Bois d'Amour.

Connaissant les besoins culturels de la commune, je vois la future médiathèque "bien de chez nous" comme un Cabinet de collectage permanent de toutes les composantes de l'exaltante mémoire de la cité :

De toutes ses valeurs et de toutes ses curiosités.

De l'appât irrésistible :

- Pour les vieux comme pour les jeunes, pour les authentiques amoureux de la commune en quête de connaissances sur le pays et son histoire,

(Pour les actuels comme pour les futurs élus de la commune !)

- Pour les vrais amateurs d'art à la recherche de contacts afin de partager leurs connaissances diverses, leurs envies de communiquer ou de s'exprimer.

Un espace propice à la préparation et la présentation d'animations ou d'expositions par tous ceux qui ont des idées ou du talent dans la tête à partager ou à promouvoir.

Faire comme partout ailleurs, mais avec plus de force, de convictions et de panache. L'image de la commune : non seulement le permet, mais l’exige.

Pour autant, je reste réaliste au plus haut degré.
Tous ceux que je rencontre me déclarent
que vouloir changer les choses à Pont-Aven est

impossible.
Je ne suis pas d'accord avec cette vision passéiste de l'avenir de la commune.

Ce n’est pas parce que tout est actuellement figé, et que presque tout va mal, qu’il n’est plus possible d’entreprendre de petites choses pleines d’avenir comme je le fais.

Je viens de proposer par exemple de fondre l'association "Pont-Aven, Patrimoine et Culture", avec "le comité des fêtes des Fleurs d'Ajonc"

Ce n'est pas grand-chose, mais au moins le trésor de costumes anciens appartenant de la première association pourrait être sauvé. Je le verrais bien dans le cabinet de collectage d'une médiathèque digne de ce nom plutôt que pourrissant dans l'indifférence générale, dans
le grenier humide de la mairie provisoire.

Cela donnerait une chance à la seconde association de s'élever du bas de l'échelle culturelle dans lequel elle est tombée.

S'élever en reprenant les objectifs de la première, en commençant par la collecte,
la conservation et la mise en valeur de la riche mémoire documentaire de l'identité du pays et de ses illustres personnages (Dont Théodore BOTREL).

L'état piteux dans lequel baigne le pays exige de la modestie. Je reste donc modeste à souhait dans mes propositions immédiates.

Cependant, j'ai clairement une vision d'ensemble de l'avenir de la commune qui est infiniment plus ambitieuse, mais ce n'est pas le sujet de cet article.

- Reprenons donc ce sujet -

A suivre demain

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Les Boîtes de conserves à l'huile de vitriol (page n°3)

Publié le par chercheur d'histoires

L'ancienne  conserverie Robert LE GLOUANNEC

L'ancienne conserverie Robert LE GLOUANNEC

Les Boîtes de conserves à l'huile de vitriol (page n°3)

Suite :

- Que faire ? -

A mon sens, avec un minimum de volonté il serait facile à la population de refonder à Pont-Aven une association patrimoniale et culturelle de sauvegarde et de mise en valeur de toutes les richesses du pays.

Pour tout dire et pour tenir compte de la situation actuelle, j'imagine cette indispensable structure prenant la forme d'une sorte de Comité de Salut Public.

- Et alors ? -

je suis persuadé qu'une bonne dizaine de personnes motivées suffirait pour amorcer la pompe de ce renouveau.

J'ai par exemple récemment proposé aux responsables du Comité des Fêtes des Fleurs d'Ajonc de fusionner avec l'association "Pont-Aven, Patrimoine et Culture"

Cette structure permettrait certainement de sauver la seconde du naufrage, et à la première de prendre de la Hauteur en se replaçant correctement sur le bon chemin de sa célébrité d'antan.

Ce qui serait déjà un progrès et un tremplin vers une renaissance culturelle de la Cité des anciens Peintres de talent.

J'en ai marre d'entendre à peu près tout le monde me déclarer qu'à Pont-Aven on ne peut plus rien faire de bon pour l'avenir de la population.

Il faut de l'argent : Certes, mais les impôts locaux servent aussi à répondre aux besoins, au bien être, et à l'intérêt général des habitants, me semble-t-il !

C'est très loin d'être le cas aujourd'hui.

Je poursuis mon idée :

L'étape urgente serait pour cette association de sauvegarde, de mener des actions envers la municipalité afin qu’elle s'engage à réfléchir sérieusement sur de devenir de la friche du Bois d'Amour, avec pour option la création à terme d'emplois valorisants,

Et pourquoi pas :

En y intégrant l'idée géniale d'y implanter une médiathèque des Mémoires locales bien adaptée à la richesse valorisante de Pont-Aven.

Une médiathèque "Haut de Gamme" implantée comme un panthéon sur une pépinière d'entreprises aux emplois valorisants.

Une pépinière d'emplois implantée sur le séduisant et attirant site de Bois d'Amour, réhabilité avec intelligence afin de concilier l'amour de l'Art et de la Culture avec celui de l'Entreprise.

Il n'y a rien d'utopique dans ce que je raconte.
Cet admirable site ne s'étendant que sur une surface des plus limitée, il n' a pas de folie des grandeurs dans ce que je propose.

Un peu plus si l'on veut bien y intégrer judicieusement l'ancienne gare et la rue du Général De Gaulle en perdition depuis quelques années.

Créer une médiathèque de la mémoire de Pont-Aven reste une exigence lorsque l'on se targue d'appartenir à ine Cité mondialement réputée..

La mémoire de la minuscule ancienne bourgade de Pont-Aven est riche et étonnante comme aucune autre dans le secteur.

Une médiathèque, « bien de chez nous », gérée et animée par une équipe de bénévoles motivés, pourrait rapidement se positionner honorablement sur l'échelle des valeurs culturelles régionales.

- Il faut l'imaginer comme un lieu convivial, vivace, et créatif. - Un espace de Liberté, de rencontres, de réunions, de débats.

- Un lieu d'expressions où le public et plus précisément les amateurs d'art retrouveraient la place qu'ils ont perdue à Pont-Aven depuis une génération.

Le passage "éclair" en fin du XIXe siècle de quelques peintres de talent est incrusté profondément dans la mémoire de l'ancienne Cité des Moulins.

Cette Histoire apporte à Pont-Aven un immense privilège.
Celui qui serait à même aujourd’hui de le considérer comme
le pays des amateurs d'art.

A condition bien évidemment que les commerçants, les entrepreneurs, les associations, et les habitants de la commune sachent mettre en valeur les potentialités culturelles de la Cité, et être à la hauteur de ce privilège.

Ce n'est plus le cas actuellement.

Le petit musée "bien de chez nous" avait été imaginé en ce sens à la fin des années 1950 par de locaux amateurs férus d'art.

Dans les années 1980, ce sont des amateurs de cette trempe qui auraient dû : en nombre, prendre la relève dans la vie de la cité.

Ce ne fut pas le cas non plus.
Les boutiquiers pour touristes ont envahi le pays à partir de 1985 : Date du 1er agrandissement du musée. Ils n’ont manifestement pas assuré cette relève.

Le centre de la ville n'est plus, et ne vivra plus, qu'au rythme bancale de la spéculation touristique alimentée par l'appât d’un musée que je pressens comme la locomotive de la poursuite du désastre en cours.

- Alors : Que faire de la friche de BOIS d'AMOUR ? -

A suivre demain

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Les Boîtes de conserves à l'huile de vitriol (page n°2)

Publié le par chercheur d'histoires

Souvenir des conserveries du Bois d'Amour

Souvenir des conserveries du Bois d'Amour

Gast ah gast : C'est foutu, la boîte est vide !

Gast ah gast : C'est foutu, la boîte est vide !

Les Boîtes de conserves à l'huile de vitriol (page n°2)

J'ai décidé de republier ici le mémoire que j'avais écrit sur le devenir de la friche du Bois d'Amour en 2015 à l'attention des élus de l'époque.

Je le rediffuse car aucun autre pontavénain n'a depuis (ni avant), pris la peine de s'y accrocher. Même pas un seul élu !

Il y a des études sur le devenir de ce Site qui ont été financées par la commune,  mais toutes effectuées par des professionnels extérieurs ne connaissant rien à rien sur les problématiques et les besoins de la commune et de sa population. 

Depuis, le centre du bourg d'en bas s'est considérablement dégradé en devenant de plus en plus agressif, de plus en plus incontrôlable, de plus en plus intensément agressif. 

Je ne cesse de rappeler  ici que ce lieu est devenu totalement ingérable, mais pour autant tout le monde reste dans le déni absolu de cette lamentable situation.  

Après cette rediffusion devenue en partie totalement désuète en raison des aléas du temps qui passe, et surtout de la dégradation de la situation, je reprendrai après sa publication ici, plus profondément certains passages du texte initial.

Comme toujours, je prends la CHOSE très au sérieux, mème si cela ne sert pas à

grand-chose à Pont-Aven : Le pays des Sciences infuses !

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Première partie du texte de mon exposé de 2015 :

 

Exposé sur la friche du Bois d’Amour

Présenté par Gérard BERTHELOM
A l’attention des élus de Pont-Aven

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Depuis quelques années, je présente régulièrement mes expositions patrimoniales et culturelles ailleurs qu'à Pont-Aven, alors que je suis né dans la Cité des anciens Peintres de talent et que je ne cesse de mener des actions militantes envers la sauvegarde de la mémoire de ce pays, de son identité, de ses patrimoines, de ses cultures, de ses arbres ...
...
et de ses plus remarquables ruines.

- Pourquoi ailleurs ? -
Aujourd'hui j'expose ailleurs car à Pont-Aven les habitants n'ont plus leur place dans le contexte culturel municipal, sauf à jouer les singes pour les touristes ...

... ou pour d'autres, à singer les anciens peintres de talent.

Aujourd'hui j'expose ailleurs car la commune ne dispose plus d'aucun local décent à proposer à la population et à ses associations pour s'exprimer, mener des actions patrimoniales
ou culturelles, pour se cultiver en se divertissant comme autrefois, ou même plus simplement pour s'amuser à l’abri des intempéries.

+ + + + + + + + + + + + + + + +

Cela dit, il y a quelques mois j'avais transmis à Monsieur le maire l'analyse que j'avais préparée à son intention, (à sa demande) sur le devenir de la friche industrielle de l'ancienne conserverie Le Glouannec.

Un précieux espace libre qui aurait sauvé la ville de la ruine en y implantant le futur musée de Pont-Aven.

Hélas, la décision de la précédente municipalité fut tout autre.

Le musée en construction ne sera manifestement que de l'appât à touristes, perdant ainsi toute sa substance originelle, et cela pour le seul bonheur de quelques dizaines de commerces de pacotilles du centre de la ville, et : ne l'oublions pas, pour celui de sa conservatrice.

Le plus grand musée au monde consacré à l'Ecole de Pont-Aven, va bientôt "rayonner" au milieu d'une ville morte gangrenée par la spéculation immobilière depuis 1985.

- La Friche du BOIS d'AMOUR -

La friche du Bois d'Amour reste la toute dernière chance pour sauver le centre de la ville de la débâcle amorcée sous le règne de Rivet et poursuivie durant les deux mandats suivants.

Sauver l'avenir de Pont-Aven, en y créant
un pôle d'excellence culturelle et un dynamique creuset d'emplois valorisants : Les deux étroitement et judicieusement imbriqués.

Un programme ambitieux certes, mais parfaitement mesuré et adapté aux capacités foncières du secteur, et au potentiel culturel de la cité en sommeil forcé depuis plus d'une génération.

Ce serait la potion magique de l’image d’excellence de la cité en phase avec un pôle de culture et d’emplois valorisants liés à la créativité.

Depuis 1985, un grand nombre des nouveaux commerçants du centre de la ville surexploitent à outrance l'effet Gauguin sans rien apporter par eux-mêmes à l’image du pays.

D'où l'idée que j'avais proposée il y a 15 ans, juste avant que la conserverie implantée sur ce site ne ferme définitivement ses portes, d'y implanter le futur musée.

A tout point de vue, cet espace était idéalement placé pour réaliser cette opération.

Ce n'est plus d'actualité, mais tout n'est pas forcément perdu pour peu que la municipalité et la population de Pont-Aven sachent réagir.

Le temps presse car les élus se préparent à faire une nouvelle ENORME STUPIDITE en offrant cet espace aux loups de la promotion immobilière.

Dans un pays qui crève pour ne pas avoir su créer d'emploi depuis plus d'un demi-siècle, les spéculateurs immobiliers n'y ont plus leur place.

Aussi, est-il est urgent pour l'instant de ne rien entreprendre de définitif sur cette friche industrielle qui ne demande pourtant qu'à revivre au plus vite.

Il est urgent pour les élus de commencer à réfléchir un peu avant de décider à l'aveuglette du sort du futur de la commune sans la connaître :

- Sans connaître ses forces et ses grandes faiblesses, sans être capable d'éviter les lourdes fautes de jugement commises par leurs prédécesseurs, sans être en mesure d’évaluer et de maîtriser les effets nocifs de certaines de leurs décisions.

- Le temps n’est-il pas fini de penser bêtement que de brandir la tête de Gauguin au bout d'un bâton - comme une carotte - suffirait à assurer l'avenir du pays et de sa population ?

- L'état désastreux de la commune dans de nombreux domaines, et l'augmentation brutale et vertigineuse des impôts locaux (+ 10 % en 1 an), apportent incontestablement la preuve du contraire.

S’il vous plaît les nouveaux élus : soyez réalistes. Aujourd'hui, l'emploi est de la compétence de la CCA.

La précédente municipalité a sacrifié l'avenir de Pont-Aven et des activités locales, sur l'Hôtel du Musée de la CCânerie :

il n'y a donc rien à attendre de ce coté.
Par contre, la friche du Bois d'Amour présente une opportunité à ne pas rater.

Une lueur d'espoir pour l'avenir du pays, mais attention : forcement à long terme compte tenu de l'état de délabrement de la commune.

L'extraordinaire mémoire culturelle de Pont-Aven, la notoriété ancestrale du pays, les forces attractives de sa rivière etc. restent un potentiel considérable de renouveau et de progrès pour peu que la population se réveille et prenne en main l'avenir du pays.
Depuis longtemps, je m'intéresse à l'histoire générale de la commune et de ses
habitants. J'observe attentivement son évolution.

Mon esprit est comme emprunt de cette mémoire et de ses réelles potentialités, telles que devraient l'être ceux de tous les décideurs de l'avenir de ce pays,

Ce n'est hélas pas le cas depuis bien longtemps.

Pont-Aven à besoins d'imagination, d'idées nouvelles, de projets durables et valorisants en phase avec la réalité du coin.

La commune a besoin de dirigeants ayant une vision d'ensemble sur l'avenir de la commune et un minimum de jugeote pour placer les choses importantes dans le bon ordre des priorités à mener.

Ce n'est pas non plus le cas depuis des lustres.

- Que faire ? -

A suivre demain

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Les Boîtes de conserves à l'huile de vitriol Page n°1)

Publié le par chercheur d'histoires

Souvenir de l'ère RIVET

Souvenir de l'ère RIVET

Le PLAN MASSE de l'opération

Le PLAN MASSE de l'opération

Les Boîtes de conserves à l'huile de vitriol (Page n°1)

L'appel à projets concernant la friche des anciennes conserveries de la Route de Bannalec prend fin tout prochainement.

Monsieur le maire de Pont-Aven s'est longuement exprimé sur le sujet et ce qu'il a osé raconter m'inquiète au plus haut point.

Pas vous les amis du foutoir pontavéniais ?

NON ???

Il nous a pourtant une fois de plus plongés dans ses molles incantations, ses inquiétantes élucubrations et ses folles fabulations.

Que des qualités qui ont plongé le Centre Historique de la commune dans l'enfer du tourisme de masse cet été : Vous l'avez déjà oublié les Amis des démoniaques  Poulguinistes de malheurs ?

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Avant de poursuivre plus en avant un nouveau réquisitoire contre ce type d'errements si fréquents à Pont-Aven, je tiens à revenir sur une lamentable affaire municipale du même genre qui s'est déroulée durant le règne de la famille Rivet.
Un règne durant lequel Christian était le chef de file de l'opposition municipale. 

L'Achat puis la vente de Saint Guénolé : Paix à sa statue !

Après la fermeture de cette école des filles du Saint Esprit, la municipalité l'avait acquise afin que ce lieu sacré ne puisse tomber entre les griffes d'un véreux promoteur.

Acquise sans réellement savoir quoi en faire : Vive l'Intérêt Général porté par les municipalités de Pont-Aven !

Ce sont des américains qui finirent par occuper les lieux avec la bénédiction des maires de l'époque, avant que Rivet ne les fasse amicalement déguerpir. 

Un appel à projets national  fut lancé après qu'une dizaine de réunions municipales extraordinaires furent stérilement consacrée à l'AFFAIRE de ce dernier siècle. 

C'est ainsi que la municipalité Rivétiste décida de vendre cet ensemble immobilier communal à un entreprenant jeune couple du coin.

Puis ultérieurement :  D'annuler cette vente, ...
... pour finale vendre ce bien communal à un gros promoteur immobilier !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je ne me souviens pas de tous les détails de cette énorme autant que triste AFFAIRE qui dura tout de même 10 ans : 10 ans d'inter-minables tergiversations, mais Christian devrait certainement pouvoir vous en dire plus :

Lui qui connait manifestement bien la sympathique musique de ce genre de vente ratée, ... que tout le monde oublie très vite ! 

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A suivre demain. 

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Le PLAN MASSE du Jour :

A l'époque,  je m'étais insurgé contre l'irresponsabilité des élustupides n'ayant pas profité de l'occasion de cette vente communale pour réserver l'emplacement nécessaire à la  création d'une aire à virer au bout de cette étroite Ruelle de Saint Guénolé.

Ils avaient eu pourtant 10 ans pour y réfléchir ! 

La sacrée conclusion du jour :

Tant pis pour la population de ce coin de paradis.

Ils n'avaient qu'à mieux réfléchir avant de voter pour des ânes de tout bord !

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La boîte à dépôts de toutes sortes de choses (Fin) 

Publié le par chercheur d'histoires

Les Petits Maîtres de la Peinture : 1820-1920

Les Petits Maîtres de la Peinture : 1820-1920

La boîte à dépôts de toutes sortes de choses (Fin)

Je me répète : Je ne suis plus autorisé par la Justice à donner le moindre avis sur le musée de la CC'ânerie.

Pour quelle raison cela ? AUCUNE; sauf celle de dénoncer sans compter les graves et incessants errements des incomparables élustupidités du coin et leurs acolytes préférés.


Aussi, et ainsi,  je ne peux donc pas donner mon sentiment sur l'exposition consacrée cette année à l'artiste Jean PUY,

... d'autant plus que je ne l'ai pas vue.

En effet, et contrairement à tout le monde, Il n'est pas question pout moi d'entrer dans un bâtiment ouvert au public, ne possédant pas de sortie de secours vers l'extérieur de son enceinte.

Qu'en penses-tu Mon Sieur le Maître d'Hôtel de Ville, et subsidiairement Ministre de la Culture de la CC"ânerie : RIEN ?

Cela dit, il est navrant pour moi qui ai fréquenté assidument l'ancien musée de Pont-Aven depuis sa période de gestation de 1959 à 1961 : 

1961, vraie  date de sa naissance,

et cela jusqu'à la fin des années 2000 :

C'est à dire, durant un demi siècle où je me régalais de bonnes peintures liées ou  proches dans l'esprit de Pont-Aven, 

de me retrouver aujourd'hui aussi inculte qu'une vache au nez rouge de Nizon !

...........................................

Je me permets tout de même pour conclure sur une bonne note cet exercice de mauvais style, de présenter aujourd'hui l'avis du grand Expert que fut Maître Gérald SCHURR.

Son avis sur l'œuvre de Jean PUY qu'il avait présentée dans l'un de ses neuf volumes

intitulés "Les Petits Maîtres de la Peinture : 1820-1920"  publiés au début des années 1980. 

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La boîte à dépôts de toutes sortes de choses (Suite) 

Publié le par chercheur d'histoires

Souvenir des réglettes

Souvenir des réglettes

La boîte à dépôts de toutes sortes de choses (suite)  

Autre chose donc aujourd'hui :

Souvenez-vous de la raison majeure qui avait mené la municipalité de Dame la Soutane à se lancer stupidement dans la grande aventure du futur musée de la CC'ânerie ?

(Ce musée des plus démesuré qui est le principal fautif de l'immense ingérable merdier actuel du trou de peinturlure sans que personne n'ose le reconnaître) 

Cette Grande Dame qui était alors sous l'envoutante influence de la Directrice du musée de Pont-Aven.

Cette envoutante personne qui réussit à faire croire à tout le monde qu'elle avait découvert dans notre petit musée pontavénain 4500 œuvres.

Ce qui justifiait pour elle, la création d'un nouveau musée.en doublant la surface d'exposition de l'ancien.

A l'époque, j'avais ici même hurlé à l'imposture. 

Qu'en est-il aujourd'hui ?

La triste réalité est que le musée de la CC'ânerie ne possède qu'environ 1500 œuvres dont beaucoup sur papier, 

et que ce fonds ne contient tout au plus qu'une centaine d'œuvres digne d'être : sans plus, reconnues comme dans l'entourage de l'Ecole de Pont-Aven. 

GAST Ah GAST ! S'exclament tous les élèves de l'Ecole de Pont-Aven : Quelle honte pour nous ! 

- Sans oublier que la future promue Chevalière de l'Ordre de la Légion d'Honneur, avait osé déclarer officiellement  que tout ce qui appartenait à la commune avant la grande rafle de la CC'â, resterait sa propriété.

(En réalité, durant ses deux mandats elle n'a eu de cesse de mentir à ses paroissiens)

- Sachant en outre que le nouveau musée n'ayant pas de sortie de secours vers l'extérieur, ne peut pas (en principe ?) recevoir simultanément plus de 300 personnes. C'est-è-dire la même capacité d'accueil que l'ancien. 

Que pense Monsieur le maire de tout ça :  Rien ? 

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A suivre demain

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La photo rigolote du jour :

Mais pourquoi donc ces réglettes avaient-elles été arrachées durant les travaux de saccage de notre ancienne GRAND'PLACE ?

Vous ne vous en souvenez pas ?

Vous ne vous souvenez pas que c'était pour désencombrer visuellement la Place de tout les détails inutiles qui auraient gâchés la remarquable vue de la façade du futur musée ?

Qu'en pensez-vous les nouvelles  élustucrudités Rien ? 

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Jean Claude FAUJOUR

Publié le par chercheur d'histoires

vu sur facebook

vu sur facebook

Le texte de l'article de presse concerné

Le texte de l'article de presse concerné

Son commentaire

Son commentaire

Jean-Claude FAUJOUR

Je n'ai rien à ajouter si ce n'est que je le soutiens dans sa démarche. 

Les médias vont-ils reconnaître officiellement leur implication dans le détournement de sa création du POP ART RURAL ?

Un gros doute m'habite

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La boîte à dépôts de toutes sortes de choses

Publié le par chercheur d'histoires

Souvenir d'une grande période d'effervescence médiatique du musée

Souvenir d'une grande période d'effervescence médiatique du musée

La boîte à dépôts de toutes sortes de choses  

La chose du jour, dans la catégorie : 
"Les grandes tendances en vogue dans la Cité la plus tendancieuse de Bretagne"

Le plus gros volte-face de ces deux dernières années.

Le plus gros volte-face des deux dernières années que nous avons observé est celui des actions médiatiques de la puissante Direction d'un certain Musée enraciné illégalement au cœur de Pont-Aven.

De 2006 jusqu'en 2018, ce ne fut qu'un incessant déluge de communications issues de cette direction à notre intention, comme nul autre dans tout l'Ouest de la France.

Même durant les quatre années de sa fermeture.

Ce fut en réalité un déluge encore plus puissant que nous avons dû subir durant ces quatre années 

Douze années consacrées presque exclusivement au nombril d'une seule personne.

Cala dit, avez-vous remarqué que depuis, nous vivons presque dans le monde du silence ?

Où sont passées par exemple les incessantes vantardises sur les inexistants Chefs d'Œuvre tant fanfaronnés précédemment ?

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(Heureusement que des barbouilleurs de vieilles photos sont venus mettre du média dans le pays cet été !) 

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Cpnclusion du jour :

Ce n'est qu'une simple observation de ma part : Rien de plus.

Rien de plus, car je suis condamné à fermer ma gueule sur ce type d'observations pontavénaines.

Ponta'v & naines au regard des Géants du coin.

Un petit Géant cachant toujours ici un plus Grand petit que lui, ...
... attendant son tour de gloire. 

N'est-ce pas l'usurpateur d'idée et vent'art à la Nizon'art du siècle ?

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A suivre demain.

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La boîte aux ficelles à couper le beurre (Post-scriptum)

Publié le par chercheur d'histoires

Où trouver en Europe, des  enseignes de très Haut de Gamme  ?

Où trouver en Europe, des enseignes de très Haut de Gamme ?

La boîte aux ficelles à couper le beurre (Post-scriptum)

La suite de l'article :

Une dernière vent'art'dise du gourou vert de cette équipée aux couleurs exacerbées : 

"Depuis 1992, ils n'ont de cesse de revisiter la mémoire de leur petit territoire rural"

(Depuis donc 29 ans; et non 30. Je vous l'ai dit : Ils ne savent pas compter)

Je dirais plus exactement que c'est grâce à la Mémoire Photographique de Robert Gravier qu'ils sont arrivés à leur basse besogne.

Une mémoire qu'ils ont usurpée, puis détournée de ses forces patrimoniales et culturelles sans rien apporter de nouveau qui aurait pu : à la rigueur, justifier ce piratage.

La fin justifiant les moyens utilisés : Bien sûr !

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Post-scriptum :

Avec autant de Talent exprimé dans les médias,  je ne comprends pas pourquoi ces fabuleux  Nizonards n'ont jamais eu l'idée novatrice de créer ...

... une "Hangar't-Entreprise"

... dans la zone d'inactivité de Nizon.

Une entreprise fondée par une Société Ouvrière de Production à but non lucratif par exemple, spécialisée dans la fabrication d'objets de Décoration de Très Haut de  Gamme. 

Ils en avaient pourtant la capacité : Voyez la photo du jour.

Ce type d'enseigne tapageuse aurait sans aucun doute fait fureur chez les amerlocs ! 

Mais Quel gâchis ce manque d'idée !   

La photo inquiétante du jour :

Où trouver en Europe, des  enseignes de très Haut de Gamme  ?

Et bien : Exclusivement à NIZON.

Les seules ayant le "Label de Qualité : quatre étoiles de maire" délivré par les Monuments Historiques !

Comme ici dans ce bourg protégé des vandales par trois Monuments Historiques ...
... et un christ vert qui peut admirer ce chef d'œuvre H/24 : droit dans les yeux.

Mais Quel vein'art de Nizon lui aussi !

Ne cherchez plus, vous ne trouverez pas mieux ailleurs.

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