Le blog de chercheur d'histoires

LES PLUS GRANDES IMPOSTURES DU SIECLE (page n° 3)

Bizarre autant qu'étrange me susurre la CHARLOT' :

La cour de l'ancien hôtel de Ville n'est pas comprise dans les biens immobiliers mis à la disposition de CCA ?

En outre, tous les immeubles mentionnés à l'article 1 ont été désaffecté par la CCA, sauf l'ancien bâtiment dit de la société de peinture !

L'ancien hôtel de ville est manifestement "désaffecté", pour être prochainement après travaux : affecté au musée de la CCânerie. 

Le foyer des meunières a été démoli perdant ainsi sa précédente affectation. C'est ce qui s'appelle une désaffectation des plus radicale.
Dans la foulée,  ce sont les seules toilettes publiques de la Grand'Place : accessibles aux handicapés, qui se sont volatilisées ! 

La mise à disposition de ces bâtiments prend donc fin de plein droit et sans recours de la part de la CCA.

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Cela dit, et c'est déjà beaucoup, cette convention de mise à disposition ne comporte aucune indication sur la durée du contrat.

Serait-ce une mise à disposition perpétuelle ou une mise à disposition temporaire ?

Nul ne peut le dire, même si tout le monde pense à la mise à disposition "éternelle".

La mise à disposition perpétuelle de biens immeubles est une notion plus que floue et à mon sens, juridiquement contestable.

Pour moi, elle ressemble comme deux gouttes d'eau à une donation d'immeubles que les contractants n'osent pas avouer, pour ne pas extraire les pontavénounours de leur torpeur.  

Un chat est un chat me semble-t-il lorsque l'on est honnête envers la population.

Cette option est pernicieuse. 

Il y avait en réalité la nécessité de signer et de publier un authentique acte de transfert de propriété.
Dans ce cas, un certificat d'urbanisme concernant la faisabilité du projet de musée aurait obligatoirement dû être annexé à l'acte signé. Un document précisant que le bien cédé était couvert par une ZPPAU et un PLU, et que par déduction : le permis de construire du projet du futur musée ne pouvait pas être délivré. 

--- suite --------------------------------------------

Chapitre 2 : Transfert des biens meubles

A suivre sans hésitation demain matin

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LES PLUS GRANDES IMPOSTURES DU SIECLE (Page n° 2) 

- - - Suite  - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 

Il a été convenu ce qui suit :

Préambule :

Considérant le transfert de la compétence Musée intervenue par arrêté préfectoral en date du 31 décembre 2011 après approbation des communes membres de CCA à la majorité requise 

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J'ai recherché cet arrêté préfectoral du 31/12/2011 dans le recueil des actes administratifs de la Préfecture du Finistère, mais il n'y figure pas !!! ? 

Bizarre autant qu'étrange me chuchote la CHARLOT'

Toutefois, j'ai retrouvé l'arrêté préfectoral n° 2011-1836 du 27 décembre  2011 portant sur la  création de la CCA .

Cet arrêté précise dans un article concernant "ses compétences optionnelles" :

Sont déclarés d'intérêt communautaire :

- Le musée des beaux arts (Pont-Aven)

- Le musée de la pêche (Concarneau)

C'est tout : ce qui signifie que le musée de Pont-Aven est déclaré d'intérêt communautaire, ce qui en soit ne spécifier pas grand chose.

 Aussi, au moment de la signature de la convention que je dénonce, le conseil municipal (et non le maire seul) restait seul maître à bord, c'est-à-dire qu'il était juridiquement le décideur de toute cession ou mise à disposition des biens de la commune.

Comme à leur habitude, les couillons d'élustucrus du moment n'ont pas eu assez de couilles pour osé réagir contre le forfait commis par dame la soutane.

--- Suite -----------------------------------------

TItre I : Transfert des biens immeubles et meubles

Chapitre 1 : Transfert des biens immeubles

Article 1 : Objet

L'immeuble de l'Hôtel de Ville, ancienne annexe de l'Hôtel Julia, est mis a la disposition de  CCA en totalité, avec ses annexes, foyer des meunières et ancien bâtiment dit de la société de peinture à dater du 1er décembre 2012

Article 2 : Progression de la libération des locaux :

...

En tout état de cause, les différentes occupations prendront fin au plus tard au 30 novembre 2012.

(C'est-à-dire que les membres des Assos. du coin sont tout bonnement virés)

Article 3 :

Les biens visés à l'article 1 sont mis à la disposition de CCA à titre gratuit.

Si, par décision du conseil communautaire, CCA  désaffecte  l'un des immeubles mentionné à l'article 1, sa mise à disposition prend fin de plein droit et sans recours de la part de CCA

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Bizarre autant qu'étrange me (re)chuchote la CHARLOT' !!! ?

A suivre encore plus attentivement demain

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LES PLUS GRANDES IMPOSTURES DU SIECLE (Page n° 1)

Ceux qui suivent attentivement ce blog de merde savent que les plus grandes impostures en matière d'urbanisme et de permis de construire du début de ce siècle en France, éclosent comme la petite vérole depuis 2011 à Pont-Aven.

Je viens d'en découvrir de nouvelles.

La preuve :

J'ai enfin réussi à prendre connaissance de la  

"Convention de la mise à disposition du musée à la CCA"

Extraits :

Convention de la mise à disposition du musée à la CCA.

"Signée entre les soussignées :

La commune de Pont-Aven représentée par Madame Isabelle BISEAU, Maire de Pont-Aven

d'une part,

et,

CCA, représentée par Monsieur Jean-Claude SACRE, Président,

D'autre part.

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Arrêtons nous deux secondes  sur ce préambule :

Il me semble de mémoire que le Conseil municipal avait autorisé Madame le maire

à prendre contact avec la CCA afin de lui proposer de prendre éventuellement en charge le musée de Pont-Aven, mais aucunement de signer cette convention.

Dans ce cas, et si ma mémoire est bonne, la commune de Pont-Aven ne pouvait pas être représentée que par son maire lors de la signature de cette très importante convention, sans un acoord préalable en ce sens du conseil municipal.

Ce qui est sûr par contre, est que la population, et la grande majorité des élus de l'époque, n'ont jamais eu connaissance du contenu de cette dernière.

C'est le comble d'une démocratie dite "participative" par Madame le maire à l'époque, mais cela ne m'étonne pas :

Pont-Aven se meurt sous "des combles" de ce genre. 

- - - Suite du texte de la convention   - - - - - - - - - - -

Il a été convenu ce qui suit :

Préambule ...

A suivre attentivement demain

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La caricature antérieure aux " temps modernes" (II)

(Dessin et texte du caricaturiste "Stop")

" Monsieur l'agent, ma villa vient d'être dévalisée par des cambrioleurs ... Il faut les arrêter.

Parfaitement ... savez-vous leur nom et leurs adresse ?"

Le commentaire de la CHARLOT' :

Rien n'a changé depuis 1897 dans un certain bled breton :

Aujourd'hui, dans le trou de peinture du coin. 

On pourrait raconter la même histoire, mais en matière de zone bleue,

ou plutôt par les temps qui courent : en matière de bouillasse dans la zone bleue 

dans  la zone boueuse du centre de la ville en travaux.

C'est pas grave, cela n'empêche pas les prunes amères de mûrir.

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La caricature antérieure aux "temps modernes" (I)

"Si qu'on n'aurait pas besoin d'encourager la repopulation, y en aurait-y des contraventions à dresser"

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Serait-ce l'arrière grand père du garde champêtre, croqué par DRANER au Bois d'Amour en 1897 ?

DRANER, un célèbre caricaturiste œuvrant pour cet hebdomadaire illustré "mondain" de la fin du XIXe siècle ?

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Le BLOG-NOTES de la Quinzaine (fin)

- Brest :

Musée :

"500 toiles piquées par un champignon"

Le principal est qu'elles n'aient pas été piquées ...

... comme  -les chef d'œuvres   les toiles de l'ancien musée municipal de Pont-Aven ...

...  piquées ... 

-par la mérule-  par les démons de la CCânerie.

- Concarneau :

Merd' alors : Jean La Merdy s'est éteint,

et le tout Concarneau s'émeut.

Pour moi, ce fut l'un des peintres exposant dans les galeries de l'Hôtel de Ville de Pont-Aven dans les fastes années 1970-1980.

Il habitat même un moment dans la cité des anciens peintres de talent.

Il appartient donc à la riche mémoire de la Cité des petits peintres de cette époque, et c'est déjà beaucoup.
Cela dit, ce fut avant tout un Concarnois, et à Pont-Aven, durant cette époque ...

...  on ne mélangeait pas les serviettes sales avec les torchons  propres !

Comprenne qui peut !

- Où est-ce ? :

"Centre-ville : Non, il se s'agit pas de diminuer le nombre d'arbres"

C'est une réponse de la municipalité de Concarneau à ses paroissiens.

Pontavénounours : ne rêvez pas,  même pas en rêve !

- Pont-Aven :

"L'association - La cabane de Nizon - est née"

Voilà une bonne initiative de jeunes gens de Nizon, créée sur les fondements de la fête des cabanes.

On ne peut que les encourager, ils vont dans le bon sens.

Cependant, il en faudrait bien d'autres de ce type sur la commune pour réveiller le patelin de sa torpeur.

Je pense par exemple comme toujours à une association de sauvegarde et de mise en valeur des majestueuses ruines de Rustéphan.

Faire la fête : d'accord,

mais sauvegarder le précieux patrimoine de l'héritage communal :

d'accord aussi, et prioritairement sur tout le reste. 

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Le BLOG-NOTES de la Quinzaine (Page 2)

- Pont-Aven : 

"Musée : Des ateliers pour les enfants"

Durant les vacances de février, le succès n'a pas été démenti :

Près de 20 personnes de tous âges, de 18 mois à 70 ans, ont participé à cet atelier.

A force de PUB dans les canards du coin, la direction de la CCânerie a réussi à attirer : toute une famille  de 18 mois à 70 ans, dans son piège à C.

OK les fainiaces, mais à quel prix pour toutes des familles de 18 mois à 70 ans du territoire de la CCânerie ?

- Pont-Aven :

Musée :

"Une conférence sur les travaux du musée"

Gast-à-gast, une de plus !

Les pontavénounours n'ont jamais été aussi gâtés ...

... que depuis qu'ils en ont tous plein le cul ...

... du chantier du futur "Plus musée au monde consacré à l'Ecole de Pont-Aven"

Pour tout dire, seuls quelques membres particulièrement gâteux de la secte du christ jaune ont assisté comme d'habitude à cette nouvelle grande mascarade.

- C'est en 2011 que tous les braves gens du coin auraient dû être invité à participer à des réunions de réflexions sur ce projet d'agrandissement du musée.

- C'est en 2011 qu'une étude de faisabilité de ce considérable et coûteux projet aurait dû être menée.

- Un projet qui pour moi, ne pouvait se réaliser en raison de ses profondes discordances avec les règles de construction et d'urbanisme en vigueur sur la commune.

Hélas pour tous, une conserv'actrice fraîchement arrivée imagina dans sa petite tête de rat crevé que l'ancien musée pontavénain " bien de chez nous", était trop petit pour satisfaire ses ambitions.

C'est bizarre autant qu'étrange, ce petit  musée satisfaisait jusque-là tout le monde ?

Aujourd'hui, il n'y a plus que les nouveaux commerçants de pacotilles, et les gros loueurs de galeries peinturlureuses, à conserver cette ferveur dans le patelin !

Tous les autres habitants commencent fortement à s'inquiéter de l'avenir de leur pays. 

Suite et fin demain matin

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Le BLOG-NOTES de la Quinzaine (Page 1)

- Fouesnant :

"Les patrouilles des gandarmes équipées de voitures électriques"

Si vous n'avez "pas trouille" d'être verbalisé, ce ne sera plus des prunes que vous offriront ces gandarmes mais des châtaignes  ...

... si vous grillez un feu ...

... pour griller des châtaignes !

- Pont-Aven :

La dernière réunion de l'association : "café éco"

Le sujet de la réunion qui s'est déroulée -dans la farine  dans la taverne de ces poulguinistes :

Le thème de la soirée entre amis fidèles, se comptant sur les doigts d'une main fut cette fois :

"Le vivre ensemble, comment réussir ?"

Le bien vivre ensemble à Pont-Aven ?

C'est bien la dernière chose que ces poulguinistes imagineraient pour le pays. 

Dans toutes leurs actions envers le commune et son avenir, ils ne pensent qu'à leurs gueules, et c'est bien cela que je leur reproche en premier lieu.

Je me demande même s'ils savent qu'à Pont-Aven il reste encore des restachoux : dans les choux certes, d'une population avec qui ils devraient un peu de temps en temps chantonner le :  "vivre ensemble"

A suivre demain

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L'EBDO-CHARLOT' n° ZérO,6

- Pont-Aven ?

Je n'ai rien dit : 

Je n'ai rien dit : dit la Charlot', sur J.M. la tronçonne depuis plus d'une semaine.

En effet, il est parti à la neige, 

et comme une charlot' ne tire jamais sur un homme à terre ... !

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- Le musée de la pêche aux CCâneries :

Le 14 février dernier, la photo de J.M. posant tout près  joue contre joue  de "la conser'actrice" du musée de la pêche, a été publiée dans les can'arts des coins-coins de la Ville Closet.

Cette photo de presse a été prise à l'occasion du vernissage d'une exposition de tableaux cornéliusiens présentée au musée de la pêcherie.

Cherchez l'erreur entre ce qui n'est que de la toile marinée dans la peinture, et de la toile salée dans les eaux des océans.

Des tableaux au musée de la pêche, ce musée deviendrait-il lui aussi que de l'appât à touristes ?

Il serait bien triste que les institutions culturelles de la ccânerie n'aient plus que de la peinture par très fraîche : pas très vieille non plus !, à proposer pour attirer du toutou dans le coin. 

Cela dit : que voulez-vous que je raconte sur notre bien aimé J.M. "vice-président "à la culture" de la CCânerie, se prêtant au petit jeu de la belle au bois dormant ...

... dormant depuis 2011 ?

Qu'il posât ce jour là pour le photographe de presse : sage comme une image en attendant la sortie du petit oiseau ?

C'est nul, mais la charlot' peut mieux faire  pour vous ((a)musée)

Grâce à lui, j'ai compris que je n'étais plus qu'une "passéiste dépassée", alors que Monsieur le nouveau maire de Pont-Aven s'était transformé en un "futuriste arriviste" ... se faufilant comme il pouvait (ou ne pouvait pas) dans monde des beaux-arts.

Ainsi : grâce à lui, le futur  de Pont-Aven ne sera plus jamais comme avant,

et grâce à lui, et à sa copine du moment : 

Le passé de Pont-Aven ... ne sera plus non plus comme avant. 

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Une initiative des plus géniale ! (fin)

Et bien NON : 

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Nous apprenons que ce "présumé auteur" n'est qu'un "présumé peinturlureur" en déroute exerçant ses talents dans le trou de peinture pontavéniais.
Selon les journaux, ill aurait pété un plomb en tabassant rigoureusement l'un  de ces potes ... d'Hôpital psychiatrique.

Ce dernier est toujours dans le coma mais au moins il n'est pas mort.

L'auteur de ce coup de théâtre ne risque donc pas la décapitation.

Il sera peut-être condamné à six mois de prison ...

...  comme Gauguin à Tahiti pour avoir porté "des coups et blessures" à un bourgois du coin.

Peut-on espérer que cet artiste contemporain puisse entrer dans la Grande histoire picturale de Pont-Aven en se faisant dorénavant passé pour un peintre maudit ?

Un peintre maudit comme Gauguin et ses compagnons le furent durant leurs séjours à la Pension Gloanec.

Moralité de cette pénible affaire :

A Pont-Aven, tout fini toujours dans la joie : même le sordide.

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