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Une initiative des plus géniale !

Publié le par chercheur d'histoires

Une initiative des plus géniale !

Rendez-vous compte, Pont-Aven a eu l'honneur d'être présentée en page régionale des can'arts des coins-coins du coin de la semaine passée.

A deux reprises de surcroît !

Que du bonheur pour les pontavénounours ... du moins pour presque tous.

Cela mérite d'être signalé sur ce blog car même le musée de la CCânerie n'y a plus le droit depuis quelque temps.

Les journalistes de haut niveau auraient-ils plein le cul de diffuser toujours les mêmes conneries CCânesqueuses ?

Revenons à nos moutons du jour.

A nos moutons ? :

je dirais plus exactement pour faire de la Fontaine :  au loup et à son mouton.

- Lu à la page régionale du Télégramme :

" Pont-Aven, Grièvement blessé après une agression dans un appartement"

Lu à la page régionale d'Ouest France :

"Pont-Aven : un homme retrouvé grièvement blessé"

Et deux jours après dans ces deux canards, et toujours princièrement en page régionale :

" Pont-Aven : L'auteur présumé des violences interpellé"

"Un homme grièvement blessé à Pont-Aveen, un homme interpellé"

Serait-ce un islamiste venu faire son djihad au pays des moulins ?

Et bien NON : 

Nous apprenons que ...

Suite et fin demain matin

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1988 (page n° 5)

Publié le par chercheur d'histoires

1988 (page n° 5)

Cette situation qui fait une place à la peinture dans la ville de Pont-Aven n'a jusque dans les années 80 rien de très remarquable par rapport à d'autres lieux sinon peut-être qu'on trouve probablement plus de toiles chez les habitants de Pont-Aven qu'ailleurs et que les lieux fréquentés par Le public (mairie, hôtels, commerces...) sont plus qu'ailleurs décorés de peintures.

Pont-Aven reste une petite ville très touristique et les visiteurs qui viennent pour le site apprécient de se rendre dans quelques expositions. Les plus cultivés reviennent sur Les pas de Gauguin en longeant la rivière dans le bois d'Amour. Ce sont les années 80 qui vont changer cette situation somme toute assez banale.

Les premières années de cette décennie connaissant une progression certaine des lieux d'exposition d'été qui se fait par la location de boutiques qui ferment que des peintres réaménagent et investissent l'été. On peut alors estimer à environ une vingtaine tout au plus ces salles et elles se fondent parmi les autres boutiques de la ville que ce soit les commerces quotidiens ou les magasins d'objets pour la vente touristique. Pont-Aven commence à concentrer les expositions mais dans une ambiance feutrée et sans aucun sentiment de changement important. Néanmoins, par l'implantation de galeries nouvelles, par l'habitude des expositions estivales, Pont-Aven se ressent comme un lieu privilégié par l'art ou plus exactement privilégié pour l'art. On considère que le site et Le charme de la ville explique l'intérêt que Les artistes lui accordent et on se rappelle volontiers que Gauguin y a fait des oeuvres d'importance. Pendant toutes ces années d'ailleurs, Pont-Aven a abrité des peintres et des artistes mais leur nombre est peu important et leur place traditionnellement marginale.

C'est probablement de 1983 que date le tournant le plus important pour Pont-Aven et son image avec la décision de la création d'un musée qui verra le jour en 1985.

                                                                               - - -    

Vous pouvez lire la suite de ce passionnant texte sur le site :

http://www.sylvette-denefle.fr

Mes conclusions :

Il serait utile que cette dame revienne aujourd'hui analyser et porter un avis  tout aussi juste et pertinent, sur le champ de ruine qu'elle découvrirait en flânant dans les rues de ce devenu trou de peinture dégoulinante.

Où sont passés les artistes peintres qu'elle avait cru découvrir en 1988 ?

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1988 (page n° 4)

Publié le par chercheur d'histoires

1988 (page n° 4)

1988 (page n° 4)

... extrait n° 4 .......................................................................................

Dans le début des années 50, avec le soutien du maire Henri Sinquin, va s'amorcer vraiment la prise en compte de la peinture par Pont-Aven. On organisera alors les premières expositions des oeuvres de peintres de l'École de Pont-Aven. Puis Roger Lucien Dufour, un peintre bordelais de la place du Tertre, obtient l'aménagement de salles municipales pour exposer des peintres de l'École de Paris et créer le Grand Prix de Peinture de Pont-Aven qui sera décerné par la Société du Grand Prix de Peinture de Pont-Aven qui réunit les notables de la ville. Ces expositions qui durent pendant les deux mois d'été seront reconduites et orientées vers les oeuvres de l'École de Pont-Aven mais le Grand Prix disparaîtra assez rapidement.

Dans les années 60, les salles de la mairie seront régulièrement louées à des peintres qui se succèdent tous les 15 jours et qui exposent leurs œuvres pour la vente. Il n'y a, dans ces années-là, toujours pas d'autres lieux réservés à la peinture. Mais le rôle des salles municipales n'est cependant pas sans importance pour la suite car les peintres qui réussissent bien dans la vente de leurs œuvres dans ces présentations vont rechercher dès le début des années 70 des locaux indépendants pour exposer leur travail. Et il est assez remarquable de voir que, parmi Les peintres qui ont des lieux d'exposition propres aujourd'hui à Pont-Aven, les plus anciennement installés sont des peintres qui ont exposé d'abord dans Les salles de la mairie.

Dans les années 70, va donc se produire la première amorce des expositions de peinture avec l'établissement de deux galeries de peinture et l'installation de quelques peintres dans des lieux d'exposition pendant l'été et bien sûr la poursuite des expositions dans les salles de la mairie et celle d'expositions organisées par la Société de Peinture qui, après avoir quelques avatars, s'est reconstituée en 1971, à la mairie qui se transforme pour les deux mois d'été en "musée" provisoire.

A suivre demain ...

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1888 (page n° 3)

Publié le par chercheur d'histoires

1888 (page n° 3)

... Extrait n° 3 .........................................................................

Cela valait certainement la peine d'approfondir ces particularités tout à fait singulières de la cité des Fleurs d'Ajoncs. Car je ne saurai oublier le rôle important qu'a joué Théodore Botrel dans l'image de Pont-Aven en étant à l'origine de la première fête des Fleurs d'Ajoncs dès le début du siècle.

On le voit Pont-Aven a fait parler d'elle et l'histoire de l'image qu'elle donne d'elle-même est une histoire complexe construite par des initiatives très diverses. Pour tenter de montrer comment se sont constituées les différentes images de Pont-Aven, il faut tout d'abord se rappeler que Pont-Aven est une commune de 3295 habitants qui réunit depuis une vingtaine d'années deux communes : celle de Nizon en zone rurale et la commune ancienne de Pont-Aven qui, à l'heure actuelle comprend environ 1800 habitants. Ce détail géo-administratif est important pour la question qui nous intéresse car le développement de la peinture concerne la commune ancienne de Pont-Aven qui avait, entre autres, pour particularité d'être un bourg pratiquement sans zone rurale. Aussi, les habitants de Pont-Aven sont-ils, depuis fort longtemps, des gens de la ville par rapport à tous leurs voisins. Et, de fait, Pont-Aven se présente traditionnellement comme une cité. L'implantation des moulins que le site permettait et qui s'est prolongée par le développement d'une industrie agro-alimentaire de conserverie a renforcé le caractère urbain de cette toute petite ville finistérienne. De surcroît un tourisme très précoce a mis la population en contact avec des citadins, en particulier des parisiens, et a accentué le sentiment que les habitants de Pont-Aven ont de n'être pas des paysans. L'extrême raffinement des vêtements traditionnels qui font du costume de Pont-Aven le plus élégant de cette partie de la Cornouaille n'en est qu'un témoignage parmi d'autres.

A suivre demain ...

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1988 (Page n° 2)

Publié le par chercheur d'histoires

1988 (Page n° 2)

... Extrait n° 2 ------------------------------------------------------------------------

Depuis une bonne dizaine d'années, ce n'est plus Le site des moulins qui figure comme attraction principale de Pont-Aven mais la peinture. On s'est souvenu, après la seconde guerre mondiale, que des peintres célèbres avaient porté le nom de Pont-Aven vers la gloire en constituant à travers leurs oeuvres produites dans la région sur des thèmes bretons un courant pictural important connu sous le nom "d'École de Pont-Aven". Et insensiblement, l'intérêt touristique de la cité s'est déplacé de son site agréable vers la référence à Gauguin et à "l'École de Pont-Aven et l'on est passé de "la cité des moulins" à la "cité des peintres" ... 

En 1974 encore, les guides de voyage présentent d'abord le site des moulins avant de faire un rappel de la venue des peintres alors que, dans les années 80, le site de la ville est présenté comme celui qui figure dans les oeuvres des artistes et c'est l'évocation de l'école de peinture qui constitue l'essentiel des textes sur la ville.

Ce premier déplacement est en lui-même surprenant et je tacherai de montrer comment il s'est produit dans Le temps. Mais il est doublé d'un support matériel beaucoup plus surprenant encore qui est le déferlement (et le mot n'est pas trop fort), en trois ans, des  peintres qui exposent essentiellement en période estivale dans tous les lieux disponibles de la ville.

Ainsi le visiteur de l'été 1988 a pu se rendre dans plus de 60 lieux d'exposition dont la plupart a présenté plusieurs artistes. Quelle petite ville de moins de 2 000 habitants, et même quelle ville beaucoup plus importante, peut-elle se prévaloir de présenter les oeuvres de plusieurs centaines d'artistes en un été ?

A suivre demain ...

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1988 (Page n° 1)

Publié le par chercheur d'histoires

1988 (Page n° 1) 

Je vous propose aujourd'hui - et durant les jours prochains - de prendre connaissance de quelques extraits d'une publication éditée* en 1989 par Madame Sylvette Denefle, (Professeuse d'Université) à la suite de son séjour à Pont-Aven en 1988.
Cette publication présente de façon juste et pertinente la métamorphose de la ville trois ans après le 1er agrandissement du musée.

Une ville qui s'épanouissait soudainement dans la grande illusion de son illustre passé.

Une époque factice et sans lendemain, mais durant laquelle chacun s'amusait insouciamment dans le coin. 

* Je ne sais où

---  ​Extrait n° 1 ----------------------------------------------------------------------

 

De la cité des moulins à la cité des peintres

Tous ceux qui connaissent Pont-Aven depuis assez longtemps sont frappés par le changement considérable qui s'y est produit ces dernières années. En effet, la peinture a littéralement envahi cette petite ville touristique. Toutes les boutiques se sont transformées en galeries de peinture ou en salles d'exposition mais plus encore le moindre garage ou local inhabité est devenu également lieu d'exposition de peinture. Pont-Aven toute entière semble consacrée à la peinture et ce phénomène ne peut être comparé à ce qui se passe en d'autres lieux touristiques comme Concarneau ou Quiberon en Bretagne car il s'agit d'un phénomène récent qui se produit selon une progression foudroyante en s'appuyant sur des événements anciens que l'on réinvestit avec conviction.

Bien évidemment, cela ne va pas sans changements importants dans la ville, sans conflits de corporations mais surtout sans modifications très importantes de l'image que la ville donne à ses visiteurs.

C'est précisément ce phénomène du développement de la présentation de peinture à Pont-Aven à travers son apparition, sa mise en place, les réactions qu'il provoque et les mutations qu'il engendre dans l'image de la cité, c'est-à-dire dans son identité même, que j'aborderai ici.

A suivre ...

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J.M. la tronçonneuse ! (fin)

Publié le par chercheur d'histoires

J.M. la tronçonneuse ! (fin)

J.M. la tronçonneuse ! (fin)

C'est "J.M. La Tronçonne" qui a ordonné aux employés de la ville d'arracher cinq des derniers arbres de ce centenaire jardin autrefois remarquablement aménagé en parc paysager et dont les pontavénounours d'un autre temps étaient si fiers.

Pourquoi cette nouvelle destruction du riche passé de la commune ?

Pour que le comité des fêtes des Fleurs d'ajonc puisse installer ses camions et ses baraquements durant la (dé)fête des Fleurs d'Ajonc ! 

Si ça  ce n'est pas une promesse de bistrot de plus, ça y ressemble comme deux gouttes d'eau-de-vie dirait la CHARLOT'.

LA (dé)FETE DES FLEURS D'AJONC ?

Autrefois une grandiose fête de rue que créa Botrel en 1905, dont il ne reste plus que de minables lambeaux.

L'imposant buste de ce personnage dominant le square portant son nom est aujourd'hui saccagé.

Théodore ne peut plus chanter, ni se révolter : mais moi et quelques autres sommes encore debout pour s'émouvoir et s'insurger et crier à la mort contre l'acte délictuel que viennent de dénoncer les journaux du coin.
Un acte d'autant plus délictueux que cet espace est protégé par la ZPPAU 

. Une ZPPAU qui interdit de couper des arbres dans les espaces urbains de la commune ...

... sauf en cas de danger imminent ...

... et après autorisation préalable de l'Architecte des Bâtiments de France ...

... et avec obligation de replantations à l'identique.

____________________________________________

Il y a quelques années, trois centenaires platanes avaient été arrachés à proximité de ce jardin.

L'architecte de Bâtiments de France avait donné son accord  : sous réserve d'en replanter trois autres à proximité.

Faudra-t-il attendre la saint glinglin comme toujours à Pont-Aven, pour que ce vœux "pieux"

soit exhaussé ?

A.B.F. : où es-tu, que fais-tu, m'entends-tu ?

Conclusions :

Mon petit doigt me dit que dans dix ans,

cet espace ne sera plus qu'un horrible parking touristique,

et que J.M. n'aura toujours pas été inquiété par la justice pénale pour sa "voyouterie" de la semaine.

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J.M. la tronçonneuse !

Publié le par chercheur d'histoires

J.M. la tronçonneuse !

J.M. la tronçonneuse !

Ce vendredi 13 février 2015, les journaux ont mis en pièces détachées ...

... la réputation de notre bien aimé J.M.

Vous avez sans doute découpé comme moi, les articles de presse sur Pont-Aven de ce vendredi 13  : il paraît que ça porte bonheur ...

... en tous les cas, sûrement pas à notre cher Théodore BOTREL ! 

- Ouest France

"Les habitués du square Théodore Botrel s'insurgent"

- Le Télégramme :

" Certains pontavénistes s'émeuvent"

Que ce passe-t-il donc de si effrayant sur le port, pour que des pontavénounours sortent aussi brutalement de leur torpeur hivernale ?

Je suis passé sur le port la veille de la publication de ces articles, et j'ai pris des photos.

J'ai pensé que les pompiers continuaient de chercher l'origine des déversements de fioul dans les eaux du port, (voir sur ce blog il y a trois semaines) en creusant des trous dans le jardin public adjacent (le Square Botrel.)

Et bien non mon con :

On n'a pas de pétrole mais on a des idées.

C'est J.M. La Tronçonne qui ...

Suite et fin demain matin

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Le reste en vrac

Publié le par chercheur d'histoires

Le reste en vrac

Le reste de mes analyses sur le contenu du dernier bulletin municipal.

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Une nouvelle rubrique vient d'être créée par J.M. avec pour titre :

"AVIS AU PUBLIC"

"J'm" passionnément les initiatives de ce genre. Elles sont si rares à Pont-Aven.

Le contenu de ce petit encart reste hélas modeste et correspond uniquement à des obligations  de publications légales d'informations à la population.

Cet encart concerne exclusivement l'adoption par la municipalité de révisions du PLU.

La  révision du PLU en vigueur est devenue obligatoire après l'adoption de SCOT de la CCa :

Son contenu devant être conforme aux dispositions du SCOT ...

... C'est-à-dire : aux âneries concernant l'avenir de Pont-Aven ...

... Sachant que (je me dois de le répéter) : lors de la mise au point puis l'adoption de ce SCOT, la précédente municipalité (à laquelle appartenait J.M.) a sacrifié l'avenir de Pont-Aven et de ses habitants sur l'hôtel du futur musée de la CCânerie.

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J'ai noté par ailleurs que par délibération du 31/10/2014, la municipalité avait décidé de procéder à une révision immédiate et allégée du PLU en vigueur afin de classer en zone constructible  le terrain sur lequel sont édifiés les baraquements "provisoires" servant de classes d'école à Nizon.

Un terrain actuellement en zone naturelle "strictement inconstructible", sur lequel madame le maire s'était illégalement délivrée un permis de construire.

Un espace inclus de surcroît dans la zone de protection architecturale de trois monuments historiques.

- Un permis de construire aussi gravement illicite que par exemple celui du musée -

Une question subsidiaire se pose :

Je lance ici un AVIS AU PUBLIC :

 Ces baraquements provisoires et litigieux devront obligatoirement être démontés avant la fin du mandat de J.M. :

Dans ces conditions, pourquoi donc réviser le PLU dans la précipitation, si ce n'est autre que pour couvrir l'acte délictueux commis par "dame la soutane" ?

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"LES TRAVAUX DE LA PLACE"

On ne parle plus que de cela dans la patelin, aussi je ne vais pas m'étendre aujourd'hui sur le sujet.

Ceux qui me lisent savent que j'ai déposé en décembre dernier, une requête auprès du Tribunal Administratif dans laquelle je dénonce : entre autres, l'irrégularité de la réalisation des travaux d'aménagements adoptés par l'actuelle municipalité.

La composition et la structure de cette Gand'Place Historique de la ville forment un espace strictement protégé par la ZPPAU en vigueur sur la commune.

Hélas, j'ai ultérieurement au dépôt du dossier appris que depuis peu, l'assistance d'un avocat était devenue obligatoire dans ce type de litige.

Je n'ai pas les moyens financiers de me faire assister par un professionnel, d'autant plus que je ne mène par là, qu'une action citoyenne et civique d'intérêt général.

Je n'ai aucun intérêt personnel dans cette affaire.

Pour l'instant je n'ai pas reçu la décision de rejet du dossier par le Tribunal, mais cela ne devrait pas tarder.

Je ne me fais plus d'illusion sur la Démocratie à la Française.

J'ai toutefois décidé de publier l'intégralité de cette requête sur ce blog.
Vous en prendrez donc connaissance très prochainement.

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"L'ETAT CIVIL 2014"

Une excellente année pour la commune :

- 8 naissances : ça s'arrose, n'est-ce pas J.M. ?

- 44 décès !

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l'HEBDO-CHARLOT' n° ZérO,5

Publié le par chercheur d'histoires

l'HEBDO-CHARLOT' n° ZérO,5

L'EBDO-CHARLOT' n° ZérO,5

"La Charlot' en voyage"

Pour tout dire : elle n'est pas exigeante,

une couchette double lui suffirait ...

... pourvu que ce lit de fortune soit bien pourvu.

....................................

Suite et fin des insupportables commentaires sur le bulletin municipal demain matin.

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l'HEBDO-CHARLOT' n° ZérO,5
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