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La surprise du chef

Publié le par chercheur d'histoires

La surprise du chef

Pour une surprise, ce fut une Surprise. 

Une surprise lorsque le dimanche 21 décembre dernier, nous lisions dans les pages régionales d'un des deux cana'rts des coins-coins du coin une ode à la solidarité écrite par notre regrettée mairesse.

Elle n'avait jamais auparavant autant mérité le sobriquet de  "dame la soutane".

Extraits de l'article :

" A quelques jours de Noël et dans le tourbillon des illuminations, des paillettes et des étalages surchargés et clinquants, il est urgent de s'interroger sur le sens de tout cela et sur le vrai message de Noël "

Du haut de sa colline ... OU DE SON PETIT NUAGE,  Dame la soutane a dû rêver en écrivant ce texte se rapportant à un Pont-Aven lointain ...

... celui que les pontavénounours connaissaient avant qu'elle ne s'incruste au conseil municipal.

Où sont donc passés les illuminations, les paillettes et les étalages surchargés et clinquants dans les rues de Pont-Aven ?

Où est donc passé Mirza le message de Noël aujourd'hui à Pont-Aven :

Dans les restrictions budgétaires des colis de Noël adressés aux anciens de la commune

Madame, il faut s'exprimer avec son temps.

Le temps de l'immense désolation dans laquelle : votre prédécesseur à la tête de la commune, puis vous et vos acolytes, ont laissé la commune. 

"  ... Il y a plus de 2000 ans, un enfant est né dans le dénuement total d'une mangeoire, signe d'un monde de paix, de joie et d'espérance ! Ainsi le vrai message de Noël s'adresse d'abord aux pauvres, aux démunis ..." 

En ce bas monde, je ne supporte plus grand chose : surtout lorsque cette chose s'entremêle avec une hypocrisie aussi exacerbée que celle que je décèle une nouvelle fois dans "les prêches" de notre chère dame la soutane.

Madame, avez-vous pensé aux plus pauvres et démunis de la commune qui n'ont même pas reçu de colis de Noël de la part de la mairie ?

Je retrouve dans cet enfantin morceau de catéchisme d'un autre temps, l'esprit mou de ses éditos publiés dans le bulletin municipal durant ses deux mandats de maire.

Madame : durant votre règne communal, avez-vous une seule fois pensé à la souffrance du peuple pontavénain, à cette population de plus en plus démunie de tout : d'emplois, d'activités, de services administratifs, de commerces de proximité, de bien-être et de bien vivre, de chaleur humaine et : d'un peu de morale républicaine de la part de ses élus ?

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La photo du jour :

Publié le par chercheur d'histoires

La photo du jour :
La photo du jour :

La photo du jour : 

Le portrait de Marie Derrien, épouse Le Pape.
Une grande figure de la Belle Epoque - celle des peintres de talent - de Pont-Aven.

Elle fut la servante la plus accueillante de la Pension Gloanec,
L'amie de tous les devenus - bien plus tard - Artistes.

Je lui rends hommage en publiant son portrait car je viens de m'apercevoir que sa tombe n'ayant plus de plaque portant son nom, est tombée dans l'anonymat ... avant de disparaître sans doute comme celles de bien d'autres personnes ayant participé "humblement" à l'écriture de la célèbre Histoire de Pont-Aven.

(Voir la seconde photo du jour)

Où sont donc passés les amis de Pont-Aven, ceux de sa Grande Histoire et ceux de sa fabuleuse mémoire ?

Voilà encore une preuve indéniable que les habitants du coin vivent aujourd'hui dans l'inculture de la fabuleuse aventure de ce pays.

- - -

Vu les circonstances, j'ai décidé d'essayer de reconstituer la riche vie de celle qui fut l'une des plus grandes muses de la Cité des Peintres de talent durant toute une génération, et en particulier, la muse de Gauguin lors de ses séjours dans le plus profond trou de peinture de la Bretagne.

J'ai déjà retrouvé sa bouille d'ange sur une douzaine de photos anciennes.

(Souvent sur des photos de groupes de peintres de son époque) 

Si vous possédez des documents ou des informations sur cette immortelle pontavénus beauté, appelez-moi SVP.

 

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Je n'ai pas chômé

Publié le par chercheur d'histoires

Je n'ai pas chômé

Je n'ai pas chômé :

Durant les congés de ce blog, je n'ai pas chômé.

- J'ai sérieusement et longuement bossé sur l'avenir de la friche industrielle de l'ancienne conserverie alimentaire "Le Glouannec" comme nous l'avait proposé il y a un mois M. Le Maire.
J'ai transmis les fruits exotiques de mon travail sur le sujet à M. Le Maire et  au bureau d'étude chargé d'une étude sur ce site.

- Par ailleurs, je viens de découvrir que le Parlement venait récemment et en catimini, de rayer des tables des Lois fondamentales de notre chère REPUBLIQUE, l'une des plus importantes LIBERTES individuelles des citoyens de notre Nation.

Je parle du pouvoir accordé par la Constituante à chaque citoyen d'ester librement et gratuitement auprès des Tribunaux Administratifs. 

Depuis peu, le citoyen a perdu cette liberté. Il ne peut plus déposer une requête devant cette instance judiciaire contre les magouillages ou les irrégularités commises par des élus ou des institutions publiques, sans faire appel à un avocat.

Lorsque l'action correspond à la défense d'intérêts ou de dommages personnels, c'est supportable; mais lorsque l'action est exclusivement liée à l'Intérêt Général et que les moyens financiers du citoyen agissant dans le cadre d'un acte purement civique ne lui permettent pas de prendre en charge le coût d'un avocat, il est cuit.    

Je suis amer. En décembre dernier, j'ai déposé une nouvelle requête contre l'ouverture du futur musée de Pont-Aven en raison des gravissimes irrégularités que j'ai découvertes dans la procédure d'obtention du permis de construire de ce gigantesque " cartonnage d'emballage" Pseudo culturel.

Pour les raisons que je viens d'énumérer, je suis aussi cuit cuit que les hirondelles de l'Aven. 
Pour autant je n'arrêterai pas mon combat.

A mort la République et ses honnêtes citoyens, 

Vive ses putains de Salopes'arts !

(Vous aurez connaissance de ces travaux prochainement)

A demain

Le photo du jour : la conserverie alimentaire "Le Glouannec" au bon vieux temps du plein emploi à Pont-Aven. 

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Le Blog-Notes des derniers jours 2014

Publié le par chercheur d'histoires

Le Blog-Notes des derniers jours 2014

" Pas Grand'Chose"

Durant les congés de ce blog, ses lecteurs n'ont pas perdu "Grand' Chose".

L'actualité à Pont-Aven fut aussi pauvre et triste que les décors de fin d'année des vitrines des sinistres rues pontavéniaises.

C'est un constat.

Une fois de plus, c'est la MAPA qui mérite haut la main, le prix des meilleures animations de fin d'année sur la commune.

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Comme d'habitude le musée de la Ccânerie s'est lamentablement manifesté dans la presse,

et comme d'habitude pour "pas Grand'Chose de bon".

J'ai cependant retenu un article de presse annonçant que la conser'atroce du musée de la pêche aux "pas Grandes Choses" avait acquis (en puisant 12 000 € dans nos impôts !) "un album du peintre italien Anselmo Bucci" 

Ça nous fait une belle jambe, mais à part cela, je ne vois pas très bien ce que ce document : aussi intérressant soit-il,  vient foutre ici.

Voilà encore une extraordinaire acquisition pour le futur plus Grand Musée au monde consacré à l'Ecole de Pont-Aven !

Pendant ce temps, et durant tout le mois de décembre, les Hôtels de Ventes de Bretagne proposaient aux amateurs d'art de rares et intéressantes œuvres "Post Ecole de Pont-Aven" (à des prix raisonnables) qui auraient dignement enrichi le fonds de tableaux de l'ancien petit musée pontavénin "bien de chez nous ".

+ + +

Avec le temps ...

Avec le temps,va, tout s'en va

On oublie le visage et l'on oublie la voix ...

 

Avec le temps ...

Avec le temps, va, tout s'en va

Même les plus chouettes souvenirs ça t'as une de ces gueules

A la Galerie je farfouille dans les rayons de la mort ...

 

Avec le temps ...

Avec le temps, va, tout s'en va

Et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu

Et l'on se sent glacé dans un lit de hasard

Et l'on se sens tout seul peut-être mais peinard

Et l'on se sens floué par les années perdues

Alors vraiment

Avec le temps on n'aime plus.

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2015

Publié le par chercheur d'histoires

2015

Les vieux comme moi vont devoir faire un effort pour retenir ce nombre.
Moi j'ai un truc : c'est Marignan + 50
0 ans.

Les vieux comme moi vont également devoir mettre à jour dans leur tête le code d'accès (et surtout de sortie) de la MAPA. Il se modifie naturellement le 01/01 de chaque année.

A demain : de bonne heure et sans doute de mauvaise humeur pour ne pas changer de rôle à ce BLOG.

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Des congés bien mérités

Publié le par chercheur d'histoires

Des congés bien mérités

Ce blog sera en congés à partir d'aujourd'hui jusqu'à la fin de l'année.
Nous nous retrouverons : de bonne heure et de mauvaise humeur, en 2015.

J'espère qu'entre temps, J.M. aura terminé l'écriture de son premier édito du premier bulletin d'information municipal de son mandat ...

...  et que le Père Noël aura la gentillesse de vous le déposer dans votre cheminée. 

Salut les pontavénounours.

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Voyage dans le Finistère : P 5/5

Publié le par chercheur d'histoires

Voyage dans le Finistère : P 5/5

 Le port, près de la ville, a vingt pieds de profondeur : quand la mer est basse, son lit est à sec, il n’y coule que de l’eau douce.

         Les environs de Pont-Aven, la ville surtout, offriroient cent bizarreries au dessinateur qui voudroit y faire des études : du chantier du citoyen Aumon, on auroit sous les yeux vingt points de vue, des accidents inimaginables (Le châtelain AUMONT , maire de Nizon de 1796 à 1798, demeurant au manoir de Lezaven). On voit dans ce chantier un grand rocher, creusé par le mouvement éternel des eaux de pluie ; ce creux a trois pieds de profondeur, quatre de large, il est de forme ronde, très régulière. J’ai parlé de pareils travaux du tems, en décrivant l’Isle de Tristan, près de Douarnenez.

          A la descente de quelques émigrés, et trois mille paysans, sortis de Quiberon, Pont-Aven fut un moment à leur pouvoir.

          Depuis la révolution, le citoyen Descourbes, homme de mérite, aimable et plein d’intelligence (Descourbe maire de Pont-Aven) remplit les places principales de cette commune, dans laquelle il a su maintenir jusqu’à présent l’ordre et la paix, malgré les efforts qu’on a faits pour le détruire et le corrompre.

(tiens tiens, quels sont les manants qui se cachent derrière ces « on » ?  

Nous ne le saurons jamais. Ils se sont pourtant beaucoup reproduits depuis cette époque)

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J'ai laissé de côté l' important paragraphe consacré au manoir de Rustéphan sur lequel je me suis appuyé pour écrire un article paru il y a deux ans dans "Manoirs et vieilles demeures en Cornouaille"

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Voyage dans le Finistère : P 3/5

Publié le par chercheur d'histoires

Voyage dans le Finistère P 3/5

 

 

On sème les seigles et les gros fromens en décembre, en novembre les fromens tendres, et l’avoine en mars.  On cultive du chanvre, du lin – Les habitans commencent à s’accoutumer aux pommes-de-terre. Plus des trois quart de terres sont en friche dans le canton.

          La rivière de Pont-Aven est poissonneuse, elle abonde en saumons excellens, préférés à ceux mêmes de Quimperlé. Les meuniers se permettent un abus qu’on devroient détruire, en les punissant sévèrement ; ils prennent dans des poches une multitude de petits saumons, qu’ils nomment grésils, dont ils nourrissent leurs pourceaux. Sur les rivages de la mer, on trouve un genre de palourdes, une espèce de petits cœurs striés, en telle abondance qu’on peut en prendre jusqu’à quarante tonneaux par mois. Cette nourriture est très saine. La pêche de l’aiguillette se fait la nuit, avec des flambeaux : la lumière, qu’ils croient celle du soleil, les attire dans les filets, qu’ils savent éviter le jour. La pêche des merlus se fait aussi la nuit, dans le plus grand silence ; on les amorce avec de la morgate.

          Le climat de Pont-Aven, Névez, Riec, de ces contrées, est tempéré,

très – pluvieux ; les vents d’ouest y règnent les trois quarts de l’année.

          La rivière qui sort de l’étang de Balanec court du nord au midi. Des granits, des moëlons, des pierres micacées, sont les principales pierres du pays. On y trouve quelques perdrix blanches. On doit cette espèce dit-on, à M. de Tinténiac.

         L’imagination a ses rêves ici, comme dans tout le reste du Finistère, avec les mêmes caractères d’originalité, de bizarreries, d’antiquité. On porte aux Saints pour obtenir la guérison du mal qu’on a, ou de celui qu’on se suppose,

Des coëffes remplis de grains qu’on dépose à leurs pieds.

On voit aussi dans ce canton quelques Caqueux, Caconax, espèce de parias, proscrits, qui vivent dans les landes, éloignées des habitations, sans qu’on communique avec eux : on les croyait au quinzième siècle, juif d’origine, séparés par la lèpre des autres hommes. Ils font des cordes pour subsister. Les évêques de cette époque, ordonnèrent que ces caqueux se tiendroient au bas des églises, sans se mêler au reste des fidèles.

... etc.

--- Suite demain ------------------------------------------------

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Voyage dans le Finistère : P 2/5

Publié le par chercheur d'histoires

Voyage dans le Finistère :  P 2/5

Le paragraphe suivant concerne la commune de Névez :

Je vous en propose un extrait :

On voit, sur le rivage de Nevèz, après un quart de lieue de l’embouchure de la rivière de Pont-Aven, les restes du donjon du très ancien château de Poulguen … Ce château étoit au bord de l’eau, placé sur un rocher, entouré de bosquets et de taillis, Son seigueur avoit droit de tirer à boulet sur les bateaux qui passoient sans payer de droit d’entrée dans la rivière ;

il choisissoit les poissons les plus beaux, les oreilles et les pieds de cochons qu’on portoit à la ville ; il dîmoit en nature sur tout objet de cargaison qu’on alloit vendre à Pont-Aven.

Les grains, fromens, seigles, avoines sont la base du commerce de Pont-Aven. Ils s’exportent à l’Orient (Lorient), à Nantes, à Bordeaux ; on y vendoit beaucoup de bestiaux, une grande quantité de dindons, de canards, de volailles de toute espèce.

         Les mœurs sont pures dans ce canton : en général les habitans sont caressants, hospitaliers pour les hommes qu’ils craignent ; ils sont, d’ailleurs, durs et peu serviables : les hommes de Nevèz sont plus fortement constitués que ceux des communes terriennes.

--- Nous revenons à Pont-Aven ----------------------

         Point d’hospice, point de médecin, point de chirurgien, point d’accoucheuses à Pont-Aven. Des paysannes se chargent de cette dernière fonction, tuant l’enfan qu’elles arrachent, en estropiant la mère. A la connaissance du maire Decourbes, maire de Pont-Aven,  (Descourbes Hilaire-Pierre : homme de loi et républicain convaincu) plus de cent-cinquante enfans, en dix-huit ans, sont morts de cette manière. Les mêmes accidens ont lieu dans Riec et Nizon.

        Il y a douze foires et cinquante-deux marchés par an ; on s’y porte avec une telle affluence, qu’il faut une heure, quelquefois, pour traverser cette petite ville. Les cidres du pays, ceux de Riec surtout, sont excellens.

Suite demain

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Le document du jour :

Pont d'Avène

Extrait de la carte BELLIN - 1764 -

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Voyage dans le Finistère : P 2/5
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"Voyage dans le Finistère" page 1/5

Publié le par chercheur d'histoires

"Voyage dans le Finistère" page 1/5

"Voyage dans le Finistère" est le titre d'un voyage effectué en 1794 et 1795, par Jacques CAMBRY,

Un ouvrage publié pour la première fois en l'an VII de la République.

Je vous propose de prendre connaissance du long paragraphe que l'auteur a réservé à Pont-Aven.

___________ 

Pont-Aven :

         La commune de ce nom est à cinq quarts de lieues dans les terres. Ce petit port de mer est le séjour le plus capricieux, si je puis employer cette expression italienne. Il est placé dans l’eau, sur des rochers, aux pieds de deux monts élevés, sur lesquels sont semés d’énormes blocs arrondis, de granit, qui semblent prêts à se détacher : ils servent de pignons à des chaumières, des murs, à de petits courtils.

         Ces blocs, descendus des montagnes, gênent le cours de la rivière, qui bondit contre tant d’obstacles. Des moulins, placés sur les rives, s’en sont servi comme d’appui, pour y placer l’essieu de leurs rouages : des ponts de bois les réunissent ; les coteaux d’alentour sont habités, boisés, et d’un aspect extraordinaire, singulièrement variés ; le bruit des eaux, le bruit de vingt cascades étourdissent le voyageur, comme les moulins à foulon de Dom Quichotte, comme les chutes d’eau de la Suisse et de la Savoie.

         Des bâtimens de cinquante à soixante-dix tonneaux peuvent se rendre tout chargés, jusqu’à l’espèce de quai, pratiqué par les habitans, qu’il seroit très utile de réparer, de continuer jusqu’à l’Islot, sur une distance de deux cents toises. Des bâtimens de cent-cinquante tonneaux pourroient alors se charger à Pont-Aven.

         Je n’ai rien vu de brisé, de rompu, de cahoteux, comme la rue qui conduit au quai : elle est placée sur des rochers, dont les blocs inégaux font faire aux roues , des chutes de dix-huit pouces ; sans les efforts des hommes qui les conduisent, jamais les animaux ne pourroient faire franchir à des voitures, même à vide, des pas si dangereux.

         Les bâtimens de sept cents tonneaux peuvent, à vide, mouiller à l’embouchure de la rivière de Pont-Aven. Cette rade est foraine, mais assez close pour qu’ils soient en sûreté.

--- Suite demain ----------------------------------------------------------------------------------------------------------

La photo du jour :

La Place au beurre et aux œufs en fin du XIXe 

"Voyage dans le Finistère" page 1/5
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